Le Royaume de Bretonnie
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 FAQ (à lire avec attention, sous peine d'écartèlement)

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Baron Guilhem de La Tour
Messie nazi brasseur de Mad Beer
Baron Guilhem de La Tour


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Date d'inscription : 07/07/2007

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MessageSujet: FAQ (à lire avec attention, sous peine d'écartèlement)   FAQ (à lire avec attention, sous peine d'écartèlement) EmptyLun 1 Sep 2008 - 20:40

FAQ
(Fréquentely Asquède Kouèchtieunsse)
ou
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le flouffe bretonnien sans jamais oser le demander
par sa très-noble, très-vaillante et très-érudite seigneurie le baron Guilhem de La Tour, Baron bis, membre de la secte des utilisateurs d'Internet Explorer, capitaine de la Compagnie des Floodeurs de Choc du Roy, héros de la Guerre des Grillades, initiateur de la contre-charge, cofondateur de la CTPTBP, Roi des Pinailleurs, Prince des Troubadours et plussoyeur fou officiel du forum, reconnu d'utilité publique (méfiez-vous des imitations)



Le présent topic compile un certain nombre de questions récurrentes (assorties de leurs réponses -vous voyez que je fais bien les choses) concernant l'historique du royaume de Bretonnie. Leur traitement étant délibérément superficiel pour que l'ensemble reste digeste, si vous avez besoin de précisions, n'hésitez pas à ouvrir un nouveau topic. D'autre part, soit que vous ayez pensé à une question qu'il serait bon d'évoquer ici, soit que vous ayez une remarque ou une suggestion à faire, ce topic reste à votre disposition. Je compte bien entendu sur la participation de chacun pour améliorer cette FAQ.

Sur ce, bonne lecture, et que le flouffe soit avec vous.


Question préliminaire

Le Novice Innocent : Heu... c'est quoi, le flouffe ?
Le Baron bis : Le terme flouffe est une altération de l'anglicisme fluff, lui-même à peu près synonyme de background (que l'on pourrait traduire par toile de fond), mot qui désigne pour nous l'histoire du monde de Warhammer.


Questions diverses concernant la noblesse

N.I. : La noblesse en Bretonnie, comment ça marche ?
B.b. : Le système de base est très simple. Le roi domine le pays entier, qui se trouve divisé en quatorze duchés, chacun confié à un duc (je vous assure) ; chaque duché, à son tour, est divisé en de nombreux fiefs, chacun placé sous l'autorité d'un seigneur. A cette hiérarchie s'ajoutent les simples chevaliers, des nobles servant un seigneur et qui peuvent ou non posséder une terre. Les barons sont un peu à part : ils ne sont pas aussi puissants que les ducs, mais tiennent comme eux leur fief du roi lui-même. Un baron n'est donc soumis à nulle autre autorité que celle du roi, mais ses vassaux sont cependant tenus d'obéir au duc (ce qui doit poser de sérieux problèmes -mais passons). L'ordre hiérarchique est donc le suivant : vient d'abord le roi, puis les ducs, suivis des barons, des seigneurs, et enfin des chevaliers.

Il existe en outre pas mal de titres essentiellement là pour faire joli. Le roi peut ainsi nommer comte un noble particulièrement puissant à qui il a envie de faire plaisir. Le titre de marquis désigne quant à lui un seigneur en charge d'un domaine susceptible d'être assailli (en particulier les frontières, donc), celui de gouverneur un noble à qui son seigneur a confié toute autorité sur une de ses places fortes, celui de grand justicier un officier chargé de rendre la justice (si, si) à travers les terres de son seigneur, et enfin, celui de paladin un chef de guerre renommé.

Toute cette hiérarchie est décrite avec un peu plus de précision dans Les Chevaliers du Graal, le supplément du jeu de rôle Warhammer consacré à la Bretonnie.

Notons en outre que le livre d'armée évoque (c'est à la page 67) les titres de vicomte et de maréchal, sans davantage de précisions.

N.I. : Gilles le Breton étant originaire de Bastogne, pourquoi est-ce le duc de Couronne, Louen Coeur de Lion, qui est roi de Bretonnie et non celui de Bastogne, à savoir Bohémond le Fléau des Bêtes ?
B.b. : C'est bien triste à dire, mais cela n'a jamais été expliqué. On sait pourtant que Bohémond descend directement de Gilles le Breton, ce qui devrait faire de lui le roi de Bretonnie. Aussi en est-on réduit à supposer que le trône est passé d'une famille à l'autre, pour une raison inconnue. Mon sentiment personnel est que ces messieurs de Lenton ont fait de Couronne le siège du pouvoir royal parce qu'ils l'identifiaient plus ou moins à Paris -en oubliant bêtement que Gilles le Breton venait de Bastogne. Le sujet a été abondamment traité dans ce topic, puis dans cet autre.

N.I. : Existe-t-il des ordres chevaleresques genre Templiers en Bretonnie ?
B.b. : A ma connaissance, aucun n'a jamais été mentionné, et je pense que l'on peut se risquer à dire qu'il n'y en a pas. Ce type de confrérie est plutôt caractéristique de l'Empire. En Bretonnie, les chevaliers combattent sous la bannière de leur seigneur, pas sous celle d'un ordre. En revanche, des ordres sur le modèle de celui de la Jarretière ou de la Toison d'Or, sortes de clubs très privés réunis autour d'un grand seigneur, pourquoi pas ?


Questions diverses concernant la roture

N.I. : Mais pourquoi les nobles sont-ils si méchants avec les paysans ? Normalement, les Bretonniens, c'est des gentils...
B.b. : Pas du tout. Dans le monde glauque, crade et sinistre de Warhammer, tout le monde est plus ou moins méchant ; la bonté des chevaliers bretonniens est donc toute relative. C'est bien entendu à prendre avec humour, comme une caricature du Moyen Age européen d'images d'Epinal : difficile en effet de croire que les paysans versent réellement les neuf dixièmes de leurs productions à leur seigneur ainsi que l'affirme le livre d'armée (imaginez un instant les terribles problèmes de stockage auxquels la noblesse serait alors confrontée). Bref, rappelons que Warhammer est un monde fantastique où l'humour (souvent noir et de mauvais goût -c'est ce qui fait pour une bonne part le charme du jeu) prend le pas sur le réalisme (et les bons sentiments).

N.I. : Mais cette vision d'une Bretonnie où les paysans sont des gueux crasseux et exploités et les seigneurs des méchants même pas gentils n'est-elle pas récente ?
B.b. : Pas vraiment. Dans les anciennes versions de Warhammer, la Bretonnie était à peu près aussi folichonne que l'Empire. La première version du jeu de rôle en faisait même un pays corrompu et décadent dont la noblesse atteignait des sommets de cruauté (à côté, celle que nous connaissons est une aimable plaisanterie). Puis vint Nigel Stillman qui fit tout voler en éclats à l'aube de la cinquième version de Warhammer : la Bretonnie devint le pays des beaux chevaliers qui combattent des vilaines sorcières, sauvent des princesses prisonnières en haut d'une tour, les épousent et ont beaucoup d'enfants. Bon, il a aussi eu l'idée défendable d'y introduire des bouts de légendes médiévales (en particulier arthuriennes), mais on échappe mal à l'impression que la Bretonnie de la V5 n'a plus grand-chose de warhammeresque. Avec le livre d'armée de la sixième édition, on retrouve une version moins mièvre de notre beau royaume, sans pour autant que soit renié tout le flouffe stillmanien ni que l'on en revienne à une Bretonnie corrompue jusqu'à la moelle. Une sorte de juste milieu, si l'on veut.

N.I. : Une armée bretonnienne fidèle au flouffe ne devrait-elle pas compter une écrasante majorité de roturiers et seulement quelques chevaliers en guise de troupes d'élite ? Les paysans sont quand même de beaucoup les plus nombreux. Et pis au Moyen Age, c'était comme ça, d'abord.
B.b. : Sache, petit impudent, que la Bretonnie n'est pas le Moyen Age. Warhammer est un monde imaginaire, fantastique, et qui ne s'inspire guère du Moyen Age qu'en le caricaturant à outrance. En Bretonnie, les nobles combattent et les manants travaillent ; si la roture prend les armes, c'est avant tout pour soutenir la noblesse, pas pour faire tout le boulot. Il n'est donc pas choquant de voir plus de chevaliers que de paysans au champ d'honneur : une armée n'est pas représentative de la société. Bien entendu, on peut toujours penser à certains cas particuliers où les roturiers constitueraient l'essentiel d'une armée, mais la règle est tout autre.


Questions de religion

N.I. : La Dame du Lac est-elle l'unique divinité adorée par les Bretonniens ?
B.b. : Certes non, mécréant ! Les Bretonniens, ainsi que l'ensemble des peuples du Vieux Monde, sont polythéistes, ce qui implique qu'ils se tournent vers telle ou telle divinité selon les circonstances. Hormis la Dame, qui est une déesse propre à la Bretonnie (tout à fait comme Sigmar l'est à l'Empire), leurs dieux sont plus ou moins les mêmes que ceux de leurs voisins impériaux ou tiléens : citons par exemple Manann, dieu des océans, Morr, dieu des morts et des rêves, Taal et Rhya, dieu et déesse de la nature (et de l'amour dans le cas de Rhya), ou encore Shallya, déesse de la compassion et de la guérison, dont le culte est très commun parmi la populace.

N.I. : A propos de la Dame, n'aurait-elle pas quelque chose à voir avec les elfes sylvains ?
B.b. : Si fait, c'est suggéré plus ou moins subtilement dans les livres d'armée des Bretonniens et des elfes sylvains : la Fée Enchanteresse a le profil d'une elfe et monte une licorne, la Dame du Lac est apparue à Gilles le Breton au moment précis où les elfes avaient besoin que les Bretonniens fussent unis sous une même bannière face aux orques, etc. Le supplément Les Chevaliers du Graal confirme quant à lui que Morgiana est une elfe, et le roman de Graham McNeill (un maraud plus connu sous le sobriquet de McNouille la Fripouille) Les Gardiens de la Forêt, que je massacre allègrement dans ce topic, laisse lourdement entendre que la Dame qui est apparue à Gilles n'était autre qu'Ariel, reine de la forêt de Loren et incarnation de la déesse elfique Isha.

Quoi qu'il en soit, le monde de Warhammer a cela de merveilleux que la croyance répandue et prolongée en une divinité finit par la faire apparaître dans le Warp, univers parallèle d'où provient toute magie et où vivent les dieux et les démons. Partant, même si la Dame qui est apparue à Gilles était en fait Ariel, ou encore un hamster, voire Morghur avec du maquillage et une perruque blonde, une déesse correspondant à l'idée que les Bretonniens se font de la Dame du Lac est depuis née dans le Warp. La preuve, c'est qu'elle nous accorde une sauvegarde invulnérable quand on le lui demande gentiment.

Pour ceux que la chose intéresse, la question a fait l'objet de trois topics (celui-ci, cet autre et ce dernier) en notre beau foroume, et d'un autre sur Warfo.

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Spoiler:


Dernière édition par Baron Guilhem de La Tour le Sam 25 Avr 2009 - 17:23, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: FAQ (à lire avec attention, sous peine d'écartèlement)   FAQ (à lire avec attention, sous peine d'écartèlement) EmptyDim 7 Sep 2008 - 20:09

Saloperie de forumactif qui limite arbitrairement la longueur des posts, m'obligeant à charcuter ma belle FAQ (note du Baron bis).


Questions d'héraldique

N.I. : Quelles sont les règles de l'héraldique bretonnienne ?
B.b. : Elles ont été définies dans le White Dwarf numéro 117 de janvier 2004 (soyons précis). Bien entendu, l'héraldique bretonnienne s'inspire largement de son équivalent médiéval. Elle est basée sur cinq couleurs principales. Trois d'entre elles sont des émaux : le noir (ou sable en jargon héraldique), le rouge (ou gueules) et le bleu (ou azur) ; les deux autres, le jaune (ou or) et le blanc (ou argent), sont des métaux. Cette distinction est importante, car jamais on n'appose un métal sur un autre métal, ni inversement un émail sur un autre émail. Un blason représentant par exemple un lion d'or sur fond d'argent ou un dragon de gueules sur fond de sable est donc à proscrire.

Les armoiries d'un chevalier dénotent la famille dont il est issu, aussi en existe-t-il une infinie diversité ; cependant, il est fréquent que les vassaux d'un duc emploient des variations de son blason : le dragon sera ainsi un symbole très courant en Bastogne, de même que l'épée en Gasconnie, etc.

Le précédent livre d'armée proposait un système très différent, où le blason d'un noble était fonction du fait d'armes qui lui avait permis de devenir un chevalier du royaume. Le blason d'un chevalier errant était une simple association de formes géométriques, et recevait ensuite une ou plusieurs figures (par exemple un dragon s'il avait eu le bonheur d'en occir un). Les chevaliers de la Quête (alors appelés Paladins) portaient quant à eux une ou plusieurs fleurs de lys sur leurs armoiries, et les chevaliers du Graal pouvaient y ajouter, fort logiquement, un Graal (notons que c'est toujours le cas).

N.I. : Est-il flouffiquement correct de peindre son armée entière selon un même schéma de couleurs ? Mes chevaliers peuvent-ils par exemple ne porter que du rouge et du blanc ?
B.b. : C'est tout à fait acceptable dès lors que chaque chevalier possède un blason différent. Des chevaliers appartenant à la même maison ou à la même famille peuvent fort bien porter des armes très semblables quant aux couleurs (et aux motifs). Si l'on veut respecter le flouffe, l'essentiel est qu'il n'y ait pas deux blasons identiques.

N.I. : Mais justement, pourquoi ne pas donner le même blason à tous mes chevaliers, hein ? Ce serait toujours du boulot en moins.
B.b. : Rappelle-toi, vil fainéant, que le blason d'un chevalier dénote son appartenance à une famille. On voit donc mal comment deux chevaliers pourraient partager un même blason, à moins d'un hasard ou d'un lien de parenté très étroit (on peut ainsi supposer qu'un noble transmet son blason à son fils aîné, quoique le flouffe ne le dise pas explicitement). En tout cas, la possibilité qu'un ost entier de chevaliers puisse combattre sous un seul et même blason me semble exclue.

N.I. : Beuh ! Mais les vassaux d'un seigneur ne devraient-ils pas porter son blason en signe d'allégeance ? Hein ?
B.b. : Encore une fois non, car le blason dénote l'appartenance à une famille (once again), et non une quelconque allégeance. Du reste, si l'on poussait ton raisonnement jusqu'à sa nécessaire conclusion, tous les chevaliers de Bretonnie, en tant que vassaux du roi, devraient porter le même blason, celui de Louen Coeur de Lion. Allons, tu vois bien que tu te fourvoies, béjaune...

Ceci étant dit, rappelons-nous bien que les hommes d'armes, eux, portent bien le blason du chevalier qu'ils servent, ce qui devrait consoler un peu les joueurs en quête d'uniformité.

N.I. : Les chevaliers errants n'étant pas encore des chevaliers à part entière, ne serait-il pas logique qu'ils ne portent pas encore de blason, ou que leurs blasons soient distincts de ceux des autres chevaliers ?
B.b. : Le blason d'un chevalier dénote son appartenance à une famille (jamais deux sans trois, dit-on) ; il lui est transmis une bonne fois pour toute et ne change plus par la suite, à l'exception de quelques fioritures négligeables, ainsi que l'expose le livre d'armée bretonnien, en prenant pour exemple les armes de Louen Coeur de Lion. Un chevalier errant a donc droit à un blason convenable.

N.I. : Tant qu'on parle d'héraldique, qu'est-ce que c'est que cette histoire de vert ? Il paraît qu'on a même pas le droit de l'utiliser ! C'est pas juste !
B.b. : Le vert se trouve en effet exclu de l'héraldique bretonnienne telle que Games Workshop l'a définie dans le White Dwarf numéro 117 que j'évoquais plus haut. Alors que le vert était présent sur les blasons bretonniens à l'époque de la V5, seul le Chevalier de Sinople s'offre encore aujourd'hui le luxe de porter la couleur d'où il tire son nom.

Néanmoins, les gens qui aiment le vert (dont je suis) auraient grand tort d'y renoncer. Dans un vaste royaume comme la Bretonnie, il existe forcément des exceptions à la règle.

N.I. : Comment peindre une armée de croisés ? Sait-on si les chevaliers qui prirent part aux croisades portaient un symbole quelconque comparable à la croix ?
B.b. : Rien n'est dit là-dessus. La croix paraît hors de propos dans un Vieux Monde qui ignore tout du Christ, mais bon nombre de peintres retiennent malgré tout cet emblème qui a l'avantage d'être simple et évocateur. Un signe religieux comme une fleur de lys ou un Graal cousu sur les vêtements semblerait plus approprié pour une guerre sainte. Cependant, les seules croisades évoquées dans le flouffe sont celles menées contre le sultan Jaffar, qui n'avaient pas de rapport particulier avec la religion. De même pour ce que le livre d'armée appelle des Guerres Saintes. Il semble donc très probable que les troupes prenant part à toutes ces expéditions n'aient en fait pas porté davantage que leurs emblèmes héraldiques habituels.


Autre question

N.I. : Le livre d'armée raconte que lorsqu'un enfant montre des talents magiques, il est emporté par la Fée Enchanteresse ; les filles peuvent revenir en Bretonnie en tant que damoiselles du Graal, mais nul n'entend plus parler des garçons. Que deviennent-ils ?
B.b. : La Fée Enchanteresse a l'air de les considérer comme une menace et ils ne quittent plus la forêt de Loren, où ils servent les seigneurs elfes en tant que pages éternellement jeunes. Dans le roman Les Gardiens de la Forêt, le chevalier Léovric reçu parmi les elfes sylvain rencontre ainsi un membre de sa famille disparu longtemps auparavant, et cependant toujours enfant.

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