Ost de Bourgoÿgne, les chevaliers parjures...

Bonjour à toutes et tous,

Je sais, c'est ambitieux de commencer une nouvelle unité alors qu'il y a tant de retard sur la liste des peintures en cours... Mais que voulez-vous, l'appel du pinceau à ses voies qui lui sont propres....

Avant de vous donner l'historique de cette nouvelle unité je vais d'abord développer mon choix concernant celui-ci:

Dans le livret des bretonniens pour le 9ème Âge, en troupe spéciale nous pouvons choisir les "Hommes d'arme", une unité de fantassin que l'on peut améliorer de trois façons différentes, pour ma part je compte les passer en Chevaliers Parjures (ils gagneront une épée bâtarde et Courage). Ils serviront d'unité "complémentaire" à mon pâté de miliciens et l'épauleront pour les futurs combats à venir.

Comment les peindre?

Pour résoudre cette question j'ai décidé de m'orienter vers les ordres de moines soldats issus des Croisades, dans mon esprit, les chevaliers pénitents sont, comme leur nom l'indique, en voie de rédemption, en chemin vers la quête du Graal, une sorte de quête purificatrice nécessaire à toute recherche plus poussée du précieux ciboire...

Ici point question de faire de classiques Templiers, d'abord parce que c'est trop fréquent sur les tables, et vous connaissez tous mon affection pour ce qui sort des sentiers battus, et les Templiers, ben c'est cliché...
Ensuite, parce que l'ordre que je veux "créer" est d'abord un ordre hospitalier, dans le sens médiéval du terme, c'est à dire soucieux d'aider son prochain par les soins donnés aux nécessiteux...



D'un point de vue Historique, les ordres religieux sont la conséquence des croisades, car nés après la première croisade et les suivantes, plutôt que les ayant précédées.

Pour l'époque ils sont une véritable révolution "culturelle", puisqu'il s'agit d'ordres religieux accueillant des "laïcs" au sein de structures fonctionnant comme des congrégations religieuses, et, de ce fait, assujetties à leurs règles; mais aussi se sont des combattants, chargés de défendre la foi partout où celle-ci se trouve menacée.

Bien entendu il y a des exceptions à la vie monacale "classique" des ordres prieurs, comme la possibilité de manger de la viande, des adaptations sur les temps de prière lors des campagnes militaires et bien d'autre choses encore...

Cela peut nous sembler aberrant mais il ne faut pas oublier que le sentiment religieux "commun", à l'époque, est très fort, et nombreux furent ceux qui les rejoignirent ou leurs firent de nombreuses donations, accélérant ainsi leur montée en puissance. D'autre part, le Moyen-Orient de l'époque reste essentiellement peuplé de chrétiens, tout d'abord car c'est dans cette région que c'est d'abord développée cette foi, mais aussi parce qu'avant d'être dans le giron musulman elles étaient des possessions de l'Empire byzantin...

Cependant, il ne faut pas croire que leur création/existence fut bien vue de tous, en effet, l'esprit "premier" des chrétiens de l'époque reste le pacifisme, et certains des docteurs de la foi considérèrent ces ordres comme des aberrations contraire à la morale chrétienne, même s'ils vivaient suivant les préceptes établis par Bernard de Clairvaux (concile de Troyes en 1129); Jean Flori les qualifia de "monstruosité doctrinale"...


Une autre idée reçue concernant ces ordres de moines soldats, c'est de croire qu'ils fussent cantonnés aux seuls théâtres d'opération du Moyen-Orient, à l'époque médiévale la foi chrétienne avait de nombreux voisins ne partageant pas sa culture, soit parce qu'ils étaient d'une autre confession, comme les musulmans ou les juifs, notamment en Espagne, soit tout simplement parce qu'ils étaient païens (c'est à dire ceux pratiquant des religions polythéistes, souvent largement antérieures à la foi chrétienne)...

De fait, les ordres combattants devinrent le "bras armé" de l’Église, et participèrent aux différentes guerres de conquête/conversion que celles-ci soient sur le continent européen (Europe de l'est, Espagne) ou ailleurs (le Moyen-Orient).

Attention cependant à ne pas tomber dans le piège d'une milice pontificale aux ordres strictes de la papauté, les différents Maistres des ordres en question suivaient chacun leur propre "politique" et les frictions furent nombreuses avec les "civils" (ici les nobles locaux, du simple baron jusqu'au Roi), tout autant qu'avec la papauté voire d'autres ordres religieux (pour information il y avait une inimitié connue et reconnue entre les Templiers, les Hospitaliers et les Teutoniques)...

Leurs chutes furent souvent retentissantes, soient parce qu'elles furent la conséquence d'une guerre "larvée" avec les autorités laïcs de l'époque, soucieuses de s’émanciper de la tutelle pontificale et percevant ces ordres soldats comme de possibles dangers (réels ou supposés), ce fût le cas des Templiers dont l'histoire touche quasiment au mythe à notre époque; soient à l'issue de défaites retentissantes leur enlevant, en même temps que leur prestige, toutes leurs possessions et titres de seigneurs locaux, ici c'est le cas des teutoniques...


Il est intéressant de noter que parmi la pléthore d'ordres de moines soldats ayant existé, seuls deux ont "survécu" en revenant à leurs fondamentaux: les soins:

- L'ordre des chevaliers de Saint-Jean de l’Hôpital, plus connu sous le nom des chevaliers de l'ordre de Malte.

- L'ordre des Chevaliers de Saint Lazare, qui a fusionné avec le précédent.


Bizarrerie absolue, ces deux ordres furent d'abord STRICTEMENT des ordres hospitaliers exclusivement dédiés au soins des blessés/malades chrétiens en pèlerinage au Moyen-Orient AVANT de devenir des ordres de moines soldats....

Dans les deux cas ils soignaient tous les blessés/malades, chrétiens ou non, la particularité du second étant de s'occuper exclusivement des lépreux.

Avec le temps et les besoins du moment ils développèrent aussi une "branche armée" tout autant crainte et respectée que celle des Templiers à titre d'exemple.

Pour rappel, la chute de Saint Jean d'Acre vit combattre ensemble templiers, teutoniques, hospitaliers et lazarets (lesquels accueillaient en leur sein les moines soldats des autres ordres contaminés par la lèpre) en un dernier chant du cygne de la geste épique des croisades au Moyen-Orient...




Pour ce qui nous concerne, l'ordre que je compte donc "créer" sera directement inspiré de l'ordre de Saint-Lazare, graphiquement il me permettra de développer des schémas de couleurs intéressants, historiquement il existait encore en tant qu'ordre indépendant à l'époque de la Bourgogne des Ducs de la maison de Valois...

Bref du tout bon....


Maintenant les photos:










Je veux clairement distinguer l'unité de celles de l'ost de Bourgoÿgne, tout d'abord par son schéma chromatique, que je développerai ultérieurement, mais aussi par l'allure même de ses armures.

Ici nous avons des chevaliers parjures, des individus parcourant les contrées afin de retrouver leur honneur avant de pouvoir aller plus avant dans leur quête du Graal...

Finie la vie de cour, les larbins lustrant le matériel pour leur maître, les chevaliers doivent d'abord faire preuve d'humilité afin d'attirer sur eux le regard de la Dame, son attention, et par le fait, le début de leur quête...

Pour du bretonnien, noble de surcroit, cela représente déjà un énorme effort sur soit que faire acte de contrition...



PS:

Quelques liens et notes sur les ordres religieux:

- Ici un lien sur le site de l'ordre de Saint Lazare:

https://ordre-st-lazare.fr/histoire-de-lordre/

Là son historique:

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_de_Saint-Lazare_de_J%C3%A9rusalem


En lecture je conseille ceci:

Les Templiers, éditions MSM, c'est bien fait, factuel et explique très bien l'époque et sa complexité, outre l'historique de l'Ordre le livre recadre son contexte, ses influences, notamment architecturales, que l'on retrouve partout en Europe et surtout en France...

Et bien vaste programme que voila !

Bon les références historiques te donnent une sacrée base pour avancer. Par contre les armures intégralement couleur or, je suis pas convaincu. Déja ca risque de vite te saouler vu le peu de détails du coup et puis sur le champ de bataille, ca ne risque pas de "jurer" un peu?

Par contre j'adore les figs. Pile poil dans ce que j'aime.

Tu va faire une unité avec combien de soldats? 20? Si ce ne sont que des figs de cette période, ca va claquer comme il faut.

@ Saural:

Ben ce ne sont pas des armures en "or" mais oxydées...

Comme quoi je fais vraiment des photos pourries...

Concernant l'unité, il y aura en tout une quinzaine de figurines, se sera une unité d'appoint à ma milice paysanne.
Ce choix est la conséquence d'une bataille avec Alexis MLS où j'ai pu constater qu'une unité seule, même en formation étendue, ne peut pas l'emporter, même sur le long terme, face à deux unités de cavalerie...

Du coup, cette nouvelle troupe servira de "renfort/soutien" à la milice de Haarlem, histoire de lui permettre une meilleure survie...


Pour les figurines le restant des troupes sera plutôt constitué de chevaliers à pieds période XXII/XXIII èmes siècles, c'est voulu car lié à l'historique de l'unité...



D'ailleurs le voici:


De l'histoyre de l'Ordre de Sainct Lazaret, dit le Sage.

Lazare en sa jeunesse ne fût point le plus sage,
Allant par monts et par vaux, galopant à tout crin,
Pourchassant l'ennemi avec moult cri de rage,
La mort il affrontait avec un noble dédain.

Un jour parti Croisé, les Orcs alla affronter,
Loin dans les confins du Vieux Monde, dans les Principautés...
Moults exploits et grand hauts faits réalisa-t-il,
Ne fuyant ni l'ennemi ni la vermine...

Malheur dans sa vie pourtant lui arriva!
Prisonnier de l'engeance que l'on nomme Hommes Rats,
Fut dépouillé de tout, son armure et ses armes,
Mais jamais ne le fût de sa foi!

Soumis aux pires sévices de cette espèce pleine de malice,
Endura mille maux, souffrit mille supplices,
Toussant, crachant la Mal mort,
Fiévreux, pria la Dame de réparer ses torts.

Celle-ci l'entendit et exauça son vœu,
De faire à vie pénitence, pour les excès passés,
De ne plus qu'aux soins des autres se consacrer,
De vivre et mourir au combat en homme pieux.

Lors se leva un nouvel homme, guérit de ses maux,
Le regard embrasé d'un sainct et lumineux courroux,
Il tua le sombre prêtre aux maléfiques fourneaux,
Puis sorti des tunnels, libéré de tout joug.

Commença nouvelle vie, faite d'humilité,
Soignant de ses mains les terribles infections,
Guérissant les blessés, les malades, par l'intercession,
De la Dame resta toute sa vie le médecin champion...





Le lai, dont une courte partie est exposée ci-dessus, est connu de tous les membres de l'ordre des Lazarets, plus connus dans les principautés frontalières comme "Les Pauvres Chevaliers de Sainct Lazare".

Ordre modeste, il n'en reste pas moins respecté par tous, humains comme Elfes ou Nains, son hospital, dédié aux soins en général, mais s'étant fait une spécialité des maladies contagieuses, a plus d'une fois réussi à couper court toute nouvelle épidémie frappant les habitants des principautés, que se soit celle de la Mal mort, la fièvre pourpre, ou la toux aux mille bubons...

Leurs médecins forcent l'admiration des lettrés elfes quant à leurs connaissances des plantes médicinales et de leurs multiples emplois pour les soins, leur bibliothèque, entièrement consacrée aux diverses façon de soigner autrui, est, de l'aveu même du Duc de Bourgoÿgne, un trésor de savoirs millénaires...

Ouvert à tous, il accueille en son sein les chevaliers pénitents soucieux de retrouver le chemin de la Dame. Pour se faire ils se doivent de vivre une vie faite de piété, d'humilité, de chasteté, de prières et de dénuement.

Le premier acte de foi est d'ailleurs de faire don à l'ordre de son équipement, et de prendre celui de l'ordre, souvent issu d'un autre âge mais restant très résistant en dépit de ses traces de rouille et d'usures avancées...

Particularité quelque peu "surprenante", l'ordre accueille aussi bien les chevaliers de fiers lignages que les simples gueux, tous s'appelant "frères" et formant un rempart inébranlable de boucliers au combat. Il n'est d'ailleurs pas rare que les lépreux pourpres fassent partis de leurs effectifs, trouvant en leur sein une famille de substitution en remplacement de celle qui les aura rejetés...
Fait intéressant, nombreux sont ceux dont la maladie semble en "rémission" dans leurs effectifs, mais ils restent néanmoins terribles à regarder tant ils sont défigurés par la maladie, c'est pourquoi l'on ne voit presque jamais leurs visages...

Les ennemis ne manquent pas dans les Principautés, mais aucun des potentats locaux n'oserait provoquer cet ordre, craignant tout autant son courroux que sa terrible efficacité au combat.

Il est d'ailleurs intéressant de noter que les Skavens les craignent plus que tout, non content de sembler immunisés aux vapeurs délétères de cette engeance souterraine, ils restent aussi insensibles à leurs attaques empoisonnées et semblent particulièrement doués pour les débusquer lorsque ceux-ci tentent quelques incursions hors de leurs tunnels...


Depuis quelque temps, néanmoins, certaines rumeurs ont commencé à circuler, rien de très clair, quelques propos confus...

Un secret caché, une terrible chose, rien de très précis...

Pure calomnie aux yeux du Duc qui sait très bien pouvoir s'appuyer sur les effectifs de l'Ordre si le besoin s'en fait sentir...

De fait ils ont effectivement un "secret", Lazare en s’échappant des tunnels de la citadelle souterraine Skaven, s'empara de l'un de leurs artefacts, lequel est scellé et protégé dans une crypte consacrée, gardé 24heures sur 24; une guerre de l'ombre sans pitié se joue maintenant depuis plusieurs siècles entre l'Ordre et les engeances chaotiques, le sort des Principautés en dépend...

Et bien Saint-jean, je trouve ces deux magnifiques chevaliers extrêmement bien réalisés et convaincants, en plus d'être vraiment chouettes à l'état brut. Sculpture magnifique, avec un côté à la fois très rude, "costaud" et pourtant beaucoup de finesse. Ils méritent en effet un traitement particulier, et la voie que tu empruntes est fort intéressante.

Le traitement à la fois brillant et oxydé des armures rend très bien. Au passage, il n'est pas historiquement et techniquement impossible. Qui doit entretenir des armes, équipements et outils en fer réalisés à l'ancienne (faits à la forge tradi et donc relativement peu carbonés, qui ne sont jamais tout à fait en acier) voit vite arriver la rouille, ou toute forme d'oxydation, fonction du métal. Sable, (re)ponçage, nettoyage à l'acide oxalique, graissage à l'huile d'olive, de lin ou en faisant un "pot" de nutrition (parfois avec des glaises, des sèves), tout cela va, au fil du temps, colorer le métal, lui donner des reflets parfois inattendus.

Pour s'en convaincre, le montagnard/randonneur/cueilleur de champignons qui a toujours un opinel à portée de main peut facilement comparer l'état de sa lame, après deux ou trois années d'utilisation, à celui d'un couteau neuf. Le métal change et évolue au fil du temps, et la patine, même sans rouille, est une réalité objective. Sur des pièces à renfoncements et rebords, il y a en outre des zones difficilement accessibles pour l'entretien, qui vont évoluer différemment, dans le temps, par rapport aux surfaces faciles d'accès.

Bref, ces armures me plaisent et font "plus vraies que nature" de mon point de vue. Tu as la main, pour moi.

Propos intéressant sur les ordres militaro-religieux. Je note en plus, pour la petite histoire, que les gens d'armes (chevaliers) et sergents d'armes (serviteurs armés, non nobles), n'ont pas toujours constitué l'essentiel de ces ordres. Aux époques médiévales, fonction des ordres et des zones, nous avions là des micro-sociétés complètes : valets, bouviers et pâtres, maquignons et éleveurs de chevaux, paysans et ouvriers, artisans, soldats, comptables, prêtres et laïcs. Chaque communauté appartenant à un ordre visait à l'autosuffisance ou devait pouvoir trouver facilement le complément dans ses "filiales" et "maisons soeurs".

Je note aussi que tous les membres d'un Ordre n'étaient pas logés à la même enseigne : les "voeux" prononcés par chacun, et ceux requis par chacune des catégories d'hommes, n'étaient pas forcément ni les mêmes, ni universels (complets). On pouvait appartenir à un Ordre et n'y être que prêtre, càd occupant des fonctions strictement religieuses (chapelain, prieur) ou n'y être que soldat, "miles", sans aucune fonction, ni droit, ni pouvoir d'ordre spirituel. Il y avait en outre ceux qui "faisaient un temps" et donc prenaient des engagements en conséquence (dispense de certains voeux), et d'autres qui passaient leur vie dans l'Ordre et finissaient, avec le temps, à envisager des repositionnements (guerrier à 30 ans, prêtre à 50 ans).

Tu cites deux ordres "militaires et religieux" nés au Moyen-Âge, avec une survivance actuelle. J'en connais au moins quatre autres, très localisés il est vrai, avec peut-être un maximum de 300 à 400 chevaliers aujourd'hui : ce sont les ordres de Santiago, de Calatrava, d'Alcantara et de Montesa. Comme pour la Légion d'Honneur en France, La Toison d'Or ou La Jarretière, l'entrée dans ces Ordres est aujourd'hui strictement honorifique, comme une sorte de super-récompense publique, le Roi en étant de Grand-Maître.

Encore un projet dans lequel se lance Alain, cela manquait

Peux-tu nous en dire plus sur la gamme de figurines utilisées ici ?

@Tortus: ce sont de vieilles figurines Citadel ou Maraudeur, tu les retrouveras sur le site de Stuff of Legend; et oui j’ai quelques vieilles pièces qui dorment dans mes cartons…

@ Niger: Bien entendu j’ai résumé l’historique des ordres de moines soldats… Ordres monacaux, ils bénéficient de terres, souvent issues de nombreuses donations, sur lesquelles travaillent tout un tas de « métiers », agriculteurs, meuniers, ouvriers spécialisés divers, etc…

Un film suédois, Arn chevalier du Temple, reprend bien les éléments que tu as évoqués, je n’ai pas tes connaissances en matière médiévale mais celui-ci m’a semblé d’une grande exactitude sur les vêtements /armements…

Concernant les ordres « survivants » il est intéressant de noter que les rois de France ou d’ailleurs ont toujours souhaité en pendre possession… Il est vrai que bien souvent les terres détenues par ceux-ci, et les les avoirs qu’ils en tiraient attiraient bien des convoitises…

Dernière remarque, il y avait un « distinguo » entre les chevaliers issus de la noblesse et les roturiers, clairement identifiables de part les vêtements portés, véritables « uniformes » permettant la distinction entre les ordres mais aussi au sein de ceux-ci…

Les chevaliers parjures n’ont pas été négligés lors de mon planning peinture, preuve en est:










Plutôt satisfait du résultat, reste maintenant à préparer le reste de l’unité, dans un premier temps, les nobles appartenant à l’Ordre…

Avec des photos en plus gros plan, je vois bien mieux que ce ne sont pas des armures dorées !

J'ai plus que hâte de voir cette unité finie, ces figs, j'adore.

@Saural: C’est vrai que pour une fois je suis parvenu à un résultat correct concernant mes clichés, le début d’un « coup de main »???…

Bon, ce n'est pas parce que je n'ai rien photographié que les choses n'ont pas avancées... Comme j'ai pu trouver un peu de temps devant moi j'ai fait des photos des deux figurines bel et bien terminées!...










Il reste encore beaucoup de pièces à monter/ébarber/préparer/peindre...

L'unité sera composée d'un mix d'hommes d'armes et de chevaliers à pieds, le tout reprenant l'héraldique des Chevaliers de l'ordre de Saint Lazare...

En terme de jeu ils pourront être joués comme chevaliers démontés ou en pèlerins (le temps que je me fasse une unité de ceux-ci, pas avant... fouilloux!!!!.... Loin!...)...