[4000 points] Bataille du blanc moulin (empire / bretonnie)

Oyez à tous!

Une terrible bataille en 4000 points a eu lieu à eu lieu aujourd'hui entre les régiments imperiaux de nuln et d'averland et l'ost d'Itançe. Le combat a été long et des messagers vont bientot nous parvenir pour en connaître la suite. Qui du canon ou du cheval va avoir raison?

Le champ de bataille

Les deux armées se rencontrèrent sur une vaste plaine non loin d’un petit moulin aux murs blancs. En d’autres heures, on aurait pu imaginer le chant des oiseaux, le bourdonnement des insectes, les troupeaux se reposant à l’ombre des arbres et les moissons des gueux. Mais le moment était à la parole des armes !



Arrivé les premiers sur les lieux, les impériaux occupèrent la colline et ses alentours. Voyant leur dispositif, le comte Philippe d’Itançe ne recula pas et aligna ses hommes en ordre de bataille.

Notons que certaines troupes ne sont pas réellement représentées par les figurines correspondantes et veuillez m'excusez de la qualité des photos.

L’armée et le déploiement impérial

Déploiement



Le flanc droit de l’armée impériale (1ere photo) est composé d’une ligne d’arquebusiers d’Averland. Venant d’étancher leur soif avec de la bière, emmené à grand frais de leur province, ils sont près à en découdre. Ils sont secondés par un régiment d’hallebardiers aux couleurs d’Altdorf et commandés par un prêtre guerrier de Sigmar. Il faut noter qu’un mage niveau 4 du domaine des cieux s’y est faufilé. Le détachement que possède le régiment sur son flanc le rassure. Enfin, les impériaux ont fait appel à une arme terrible : le tank à vapeur feu d’enfer. Né de l’intelligence d’un Tiléen et d’autres ingénieurs de Nuln et d’Altdorf, cette invention blindée démontre tout le courage de ces hommes…

Le centre de l’armée impériale (photos 2 et 3) s’appuie sur la seule position surélevée du terrain. Il est un point fort du dispositif car on y trouve de fortes unités à savoir une horde de 20 flagellants, un régiment de joueurs d’épée avec détachement, un régiment de lanciers avec détachement. La troupe impériale y est en nombre. Des troupes de tirs, sous la forme d’arquebusiers, les soutiennent sur la colline. Deux grands canons et un feu d’enfer se préparent à ouvrir le feu. Des hommes oiseaux mercenaires ont même été achetés a prix d’or (il s’agit des socles noir et blanc … désolé). Ce centre a fier allure. Voila pourquoi le comte électeur a pris place au centre des joueurs d’épées, la grande bannière dans les lanciers, et deux mages de niveau deux, ombre et vie, dans ces deux régiments.

L’aile gauche de l’Empire (photo 4) est placée sous le signe de la cavalerie. On y trouve un fort ensemble de chevaliers du cercle intérieur de la Reiksguard. Mené par leur grand maître, ils sont le fer de lance de la force impériale. Un groupe de pistoliers est à leur coté. Pour soutenir leur avance, un grand canon est prêt à tirer à tout moment.

Tactique

Des mots du comte electeur, les canons vont avoir une grande importance à jouer. La pluie de boulets et de balles d’arquebuses doit ouvrir de large trouée dans les fers de lance bretonniens. Pour freiner l’avancée de ces derniers, les hommes oiseaux mercenaires essayeront de se poser derrière la cavalerie. Une fois, l’armée ennemie au con tact, le centre du dispositif a reçu pour tâche d’encaisser les charges, d’engluer les chevaliers adverses, et même, de les contre charger. Cela permettra à l’aile gauche de contourner l’armée bretonnienne et de porter l’estocade ! Que la poudre noir et Sigmar soit loués !!

L’armée et le déploiement Bretonnien



Déploiement

L’aile droite d’Itançe (photo 1) s’est déployée autours du moulin. On y trouve deux fers de lances de chevaliers de la quête ou ont pris place une damoiselle niveau 2 de la vie et la grande bannière de l’armée. Devant cette force, une pieuse piétaille s’est installée. Il s’agit des pèlerins du graal. Le régiment de gueux, en première ligne, en est rendu plus silencieux. De plus, ils ne veulent pas offenser les chevaliers du royaume se trouvant sur leur droite.

Il faut noter que le comte d’Itançe n’a pas voulu garnir de troupes le centre de son armée (photo 2). On y trouve seulement un trébuchet et une ligne d’archers. C’est un point faible visible.

L’aile gauche (photo 3) est beaucoup plus étendue et fourni en hommes. Deux trébuchets sont prêts à tirer. Reste à voir si ces gueux peuvent servir à quelque chose sur un champ de bataille. D’autres seront certainement plus efficaces au combat à savoir un régiment de piétaille abritant la prophétesse niveau 4 du domaine des cieux, des tirailleurs, et des archers. Au niveau de la cavalerie, le comte a placé en première ligne deux unités de sergents montés et juste derrière, deux unités de chevaliers errants. Cette première vague d’assaut est secondée par deux fers de lances de chevaliers du royaume, avec un paladin dans leurs rangs, une unité de chevaliers de la quête avec damoiselle niveau 2 de la vie, et une sainte compagnie de l’ordre du Saint Calice menée par le comte Philippe en personne.

Tactique

Le comte a prévu d’attendre l’ennemi sur un endroit de sa ligne de bataille. Les pèlerins et la piétaille devront se charger de recevoir les premiers coups avant que les chevaliers ne puissent contre charger. A la fin du déploiement, il est clair que cette tâche est dévolue à l’aile droite bretonnienne.
De l’autre coté, la première vague d’assaut doit mettre à mal les troupes de tirs ennemis. Bien sur, elles auront des pertes. Mais elles sont là pour encaisser. Les fers de lances de la deuxième ligne ont pour tâche de balayer le terrain. Pour les appuyer, les archers et les tirailleurs devront se faufiler.
Ne voulant pas subir les tirs, je compte sur mes trébuchets pour réduire les masses de fantassins de l’Empire. Un tir bien placé peut toujours faire du dégât. Louée soit la Dame!!

La Bataille



Tour 1 Empire.



Alors que les bretonniens s’agenouillent pour prier la Dame, le tank à vapeur feu d’enfer commence à avancer avec toute la vapeur possible. Il pique droit vers le centre du terrain. De leur coté, les hommes oiseaux se déplacent au maximum de leur mouvement pour aller se cacher dans la forêt tandis que la reiksguard avance au petit trot. Constatant que le centre bretonnien est peu garni et que son aile droite est menacé par une forte attaque adverse, le comte électeur ordonne à ses pistoliers de fondre au milieu du champ de bataille. Le reste de l’armée attend l’arme au pied l’ennemi. La fougue et le courage des bretonniens ne résistera pas à la tactique enseigner à Nuln !
La phase de magie conforte le comte électeur dans ses choix. 3 archers tirailleurs sont frappés par un éclair et les pistoliers sont transportés au centre du terrain. A la poudre de parler maintenant !
Les arquebusiers de l’aile droite descendent 4 sergents montés. Les sourires illuminent les visages. Cependant la joie est de courte durée puisque au même moment le feu d’enfer du tank à vapeur explose. Seuls 3 archers sont morts. En arrière des lignes impériales, les artilleurs sont choqués par l’explosion qui a secoué le tank au milieu du champ de bataille. Cela explique pourquoi les deux canons situés sur la colline ont connu des dysfonctionnements. L’un a sauté et l’autre ne peut tirer que dans 2 tours. Il n’y a que le canon situé sur l’aile gauche qui a réussi son tir en tuant un chevalier du royaume.

Contrarié par ses coups du sort, le comte électeur est cependant satisfait de la fuite des archers bretonniens au centre de la table et des sergents montés derrière la maison.

Tour 1 Bretonnie.



Se relevant de leur prière, les chevaliers enfourchèrent leur monture et commencèrent à avancer.
Sur l’aile droite, la piétaille se rangea en première ligne de manière à prendre la charge de la cavalerie impériale avec les chevaliers de la quête derrière. Le centre peu garni n’est pas rebouché. Seuls des fers de lances sont tournés de manière à charger tout ennemi s’aventurant trop près. Enfin, aux ordres du comte Philippe, l’aile gauche avance résolument vers la ligne impériale en vague successive.
La magie permit d’éliminer le dernier canon de la colline grâce à la fureur des roches... C’est alors que la prophétesse fut frappée d’un trou de mémoire en voulant lancer une comète. Le sourire du mage impérial sera vengé !
C’est au tour des trébuchets de rentrer dans la danse. Visant les joueurs d’épées, les tirs sont tous ratés et dévient largement de leur trajectoire. Seul un servant du canon feu d’enfer est tué par un éclat de pierre…

Tour 2 Empire



Ne pouvant plus tirer, le tank à vapeur tourne sur la droite pour preter main forte à l’aile droite impériale. Les pistoliers avancent de toute leur vitesse au centre du terrain tandis que les hommes oiseaux viennent se placer en arrière de la ligne bretonnienne. L’heure de vérité approche. Il en va de même à droite du terrain ou les flagellants suivent le tank à vapeur. L’ennemi est attiré dans un piège…
La magie ne donne rien. Les tirs sont plus chanceux et touchent à de nombreuses reprises. Mais la Dame protège ses défenseurs. Le canon de l’aile gauche ne tue qu’un chevalier de la quête et les arquebusiers de l’aile droite un errant.

Tour 2 Bretonnie



Alors que les archers au centre se rallient, les trompettes sonnent et la première vague d’assaut charge ! Les chevaliers errants et 3 sergents montés arrivent au contact des arquebusiers sur l’aile gauche bretonnienne malgré les tirs de contre charge. Au centre, 3 charges sont ratées puisque les pistoliers ont décidé de fuir le combat. Les chevaliers seraient ils tombés dans un piège ?
En tout cas, les autres unités avancent. Les tirailleurs prennent la direction de la maison et les chevaliers du graal continuent leur trot droit devant. L’aile droite se positionne toujours pour recevoir la charge de la reiksguard.
Tirs et magie ne donnent rien. Seuls les armes ont la vérité !! Cette doctrine est vérifiée puisque les arquebusiers perdent 7 de leurs semblables et prennent la fuite. Les errants ne les rattrapent pas et arrivent lances en avant dans un détachement d’hallebardiers. En avannnttt !!!!

Tour 3 Empire



Entendant le bruit de la bataille et les cris de leurs officiers, les arquebusiers et les pistoliers impériaux se rallient. Sigmar les regarde. C’est d’ailleurs en criant son nom que la reiksguard charge la piétaille adverse aux abords de la forêts. Il en va de même pour les hommes oiseaux qui défient le trébuchet et ses servants non loin du moulin. Le tank à vapeur essaye quand à lui de faire bonne figure en rentrant à pleine vitesse dans un fer de lance bretonnien. Les autres unités avancent à leur tour. Les hallebardiers d’Altdorf suivent les flagellants et se préparent à affronter la cavalerie ennemie. Au centre, les pistoliers reviennent au milieu du champ de bataille. Le comte électeur est ravi. Ses jeunes hommes mènent une véritable tactique de cavalerie légère en essayant d’attirer les chevaliers face au feu d’enfer et aux charges de l’infanterie impériale. Si la victoire est au bout du combat, il les félicitera personnellement.
C’est alors qu’un nouveau coup du sort tombe sur l’Empire. Le mage de niveau 4 réalise un fiasco et permet au bretonnien de lancer un sort avec succès gratuitement. Les servants du canon feu d’enfer sont réduits à un. Les tirs sont à leur tour défaillants. En effet, le dernier grand canon n’atteint pas sa cible et le feu d’enfer ne peut tirer pendant un tour entier… Seul un chevalier a mordu la poussière sous le tir des arquebusiers de la colline. C’est à croire que Sigmar a abandonné l’Empire.
Au niveau des combats, le détachement résiste à la charge des errants. Le tank à vapeur écrase un chevalier. La reiksguard écrase la piétaille et choque, de tout son élan, les chevaliers de la quête juste derrière. Enfin, le trébuchet chargé est jeté à terre par les hommes oiseaux qui, dans leur élan, tombent sur les archers.

Tour 3 Bretonnie



Louée soit la Dame !!! Sa bénédiction est merveilleuse. Au tour d’Itançe de faire mal à l’ennemi !
Voyant la cavalerie ennemie à leur gauche, les pélerins du graal la charge de flanc. Le combat va être rude entre tous ces protagonistes. Au centre, les pistoliers fuient à nouveau une charge mais le feu d’enfer n’est ne représente plus une menace. Les fers de lances arrivent donc en face des impériaux sans grand danger. Ailleurs, le reste de l’armée avance à son tour vers les lignes impériales ou se place pour pouvoir charger. La veille, le comte Philippe avait exhorté ses vassaux à ne pas être irréfléchis devant ces fourbes sigmarites. Il est heureux de voir ses conseils respectés.
Après une magie sans grand succès, les trébuchets n’arrivent pas à toucher les lignes adverses. Seuls les tirailleurs, cachés dans la maison, parviennent à tuer le dernier servant du canon feu d’enfer. L’artillerie de l’Empire est maîtrisée.
Enfin, les corps à corps font désormais rages sur toute la ligne de la bataille. Sur la droite bretonnienne, la reiksguard, menée par son grand maître, ne parvient pas à éliminer les chevaliers de la quête et perdent le combat. Cependant, le champion du régiment impérial parvient à s’emparer de la grande bannière d’Itançe… et redonne ainsi confiance à ses frères d’armes qui réussissent leur test de moral. Le nombre des pèlerins du graal va fortement compter lors du prochain tour. Non loin, les hommes oiseaux parviennent à faire fuir les derniers archers. De l’autre coté du terrain, le combat continue entre les errants et le détachement d’hallebardiers. Malgré la perte de sa bannière, le comte Philippe est serein.

Tour 4 Empire



Voyant les bretonniens se rapprochés dangereusement, le comte électeur fait charger ses pistoliers sur les chevaliers du royaume au centre de la table tandis que le tank à vapeur, à la dérive, continue d’avancer dans le vide. Le comte électeur fait aussi avancer ses hallebardiers et ses flagellants sur son flanc droit pour contrer la menace d’un probable contournement. N’ayant presque plus d’artillerie, il exhorte ses homes à tenir coûte que coûte.
Au même moment, le canon du flanc gauche ouvre le feu et parvient à tuer 2 nobles bretonniens de la quête. Mais Sigmar ne semble pas pour autant apporter son aide à son peuple puisque la reiksguard fuit le combat avant d’être rattrapée et exterminée par les chevaliers de la quête survivants qui arrachent fièrement des mains ennemis la grande bannière d’Itançe capturée. Seule réjouissance pour le comte électeur est la fuite des chevaliers du royaume devant les pistoliers qui n’arrivent pas à les rattraper. Rien ne semble se passer comme prévu.

Tour 4 Bretonnie



Louée soit encore la Dame du Lac !!! Elle a permit de venir à bout de la cavalerie impériale !! Les chevaliers du royaume se rallie et malgré leur faible nombre font face. Ils sont renforcés par les chevaliers de la quête victorieux. Sur le reste du champ de bataille, les fers de lances se positionnent de nouveau pour charger au prochain tour dans de bonnes conditions. Il faut noter que sur l’aile droite, un fer de lance de nobles de la quête traverse la forêt grâce à la bannière du crépuscule. Ils font désormais face au flanc du centre impérial.
La magie ne donne toujours rien…et un trébuchet parvient même à toucher un chevalier du royaume. Il s’en sort miraculeusement…Louée soit la Dame !! Le combat final approche.

Tour 5 Empire



Ne pouvant plus attendre, le comte électeur fait charger les archers et les errants par ses flagellants ses hallebardiers de son aile droite. Il mène lui-même une attaque frontale sur des chevaliers du royaume avancés trop près. Non loin du moulin blanc, les pistoliers et les homes oiseaux chargent les chevaliers victorieux de la reiksguard. L’Empire tente le tout pour le tout.
C’est à se moment que le dernier canon explose… et que les tirs des arquebuses rebondissent sur les armures des nobles de la quête arrivant sur leur gauche.
Au niveau du corps à corps, la charge du comte est victorieuse car elle parvient à mettre en fuite le fer de lance qui avait subit l’attaque. Ne pouvant poursuivre à cause de la bannière du Griffon, les joueurs d’épées restent sur place impassibles … tandis que les chevaliers bretonniens se reforment non loin. Ailleurs, tous les combats impériaux sont perdus. Le détachement fini par être détruit en poursuite, par les errants, sur l’aile droite. Les arquebusiers les prennent en pleine vitesse. Juste à coté, malgré la destruction des archers par les flagellants, les errants résistent à la charge des hallebardiers. Combattant sous le regard du comte Philippe, ils ont voulu prouver leur valeur. Au centre, les pistoliers prennent la fuite et sont suivis de très près par les « quêteux » victorieux de la reiksguard. Les hommes oiseaux restent seuls au contact de leur adversaire… Un vent de défaite souffle…

Tour 5 Bretonnie



C’est l’heure de charger !!! A la tête des chevaliers du graal de l’ordre du Saint Calice, le comte Philippe attaque de flanc les hallebardiers d’Altdorf. Les sergents montés attaquent à leur tour les arquebusiers en suivant l’exemple de l’autre unité de chevaliers errants. A quelques lieux, le centre impérial est chargé de tout coté. Seuls, les joueurs d’épées et les arquebusiers de la colline sont en dehors du combat.
L’heure n’est plus qu’à la parole des armes… Sur l’aile gauche bretonnienne, les hallebardiers sont anéantis dans leur fuite. Philippe et ses hommes font désormais face au flanc droit du centre impérial. Il peut constater de ses yeux que sa chevalerie traverse les rangs impériaux en exterminant un régiment de lanciers et un détachement. Notons qu’il a la joie d’apercevoir la grande bannière impériale tombée aux main d’un jeune chevaliers de la quête… celui qui avait récupéré la grande bannière d’Itançe. La victoire se fait jour !! Noël !! Noël !!

Tour 6 Empire



Ne pouvant plus rien escompter, son artillerie détruite, ses magiciens morts, le comte électeur attend la charge bretonnienne… Seuls les pistoliers se reprennent et attaquent les chevaliers du graal pour empêcher leur future charge…

Tour 6 Bretonnie



L’heure de l’estocade a sonné. Devant se débrouiller sans le concours du comte Philippe aux prises avec les pistoliers, deux fers de lances de chevaliers du royaume s’élancent sur les joueurs d’épées. L’attaque est furieuse et de nombreux impériaux s’écroulent en essayant de protéger leur bannière et leur comte électeur. Ripostant avec son croc runique, il ne peut empêcher la fuite de ses hommes. La dernière image que voit le comte électeur est la destruction des pistoliers par le comte Philippe… avant de sentir une pointe métallique s’enfoncer dans son dos… Sur la colline, les arquebusiers sont emmenés à quitter le champ de bataille. Le soleil se couchant à l’horizon, l’heure de compter les morts est arrivée.



Pour Itançe, c’est un jour de gloire !! L’armée impériale a été massacrée!! Seul les flagellants et le tank à vapeur fortement endommagé sont parvennus à se sauver à la tombée de la nuit. En tout cas, la Dame est vraiment la personne du match Elle en a dégouté les impériaux hihi

Noël !! Noël !! lol

Voilà messires! j’espère que ce rapport vous a plu

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