Tournoi nationnal Warhammer : le dernier match

La course à la mer
Bataille de 2.500 points


Listes :
Elfe noir :
Sorcière Suprême niveau 4 Métal
Assassin Khainite
Maître Arbalète à répétition, Arme lourde, Armure lourde, Cape en peau de Dragon des mers, GB
Matriarche
Sorcière niveau 1 Magie Noire

7 Cavaliers Noirs Arbalète à répétition, Bouclier, EM
20 Corsaires des Arches Noires Arme de base additionnelle EC
18 Sombretraits M
2 Balistes Faucheuses
5 Chevalier sur Sang-Froid EC
20 Exécuteurs de Har Ganeth EC
15 Gardes Noirs de Naggarond EC
5 Conjurateurs du Feu Maudit

Bretonnie :
Seigneur bretonnien bouclier sur destrier caparaçonné
Propétesse niveau 4 vie
Paladin bouclier lance sur destrier caparaçonné
Paladin bouclier sur destrier caparaçonné, GB
Damoiselle niveau 2 bête

8 chevaliers du royaume EMC
12 chevaliers errants EMC
10 archers M braséro
11 archers tirailleurs C braséro
4 chevaliers pégases EMC
5 sergents montés M x2
8 chevaliers du Graal EM
2 trébuchets


Nos fiers protagonistes



Et voilà enfin ma tronche !
Qui vient de dire : « remets le casque, vite, par pitié ! » ?

Le rêve d’Heneric s’était fracturé face à la dure réalité : créer un nouveau duché grâce à une croisade qu’il avait pu financer avec l’argent de son père, et ainsi se hisser au titre le plus prestigieux en dépit de sa naissance de la cuisse gauche. Mais ses talents de tacticien n’avait pas été à la hauteur de son ambition. Il y eut certes de belles victoires, mais de dures défaites avait érodé ses forces, et les rapports de ses messagers n’étaient guère encourageant : sur tous les fronts des terres arides méridionales, le chaos avançait et les forces de l’ordre était au mieux sur la défensive, au pire en pleine débâcle. Quitter ces terres maudites devenait la seule option viable et pour cela, il lui fallait atteindre les bords de mer et y sécuriser un point d’embarquement. L’idée était ainsi d’aider les ultimes forces de la lumière en créant une tête de pont pour permettre l’évacuation au cas où la défaite devenait inévitable, car bien que la motivation première d’Heneric était l’ambition, il avait évolué au fur et à mesure des batailles pour devenir plus impliqué dans son combat contre le mal et sa dévotion à la Dame, mais son repentir n’a pas suffi à amener la victoire.

Un sergent, parti en éclaireur, arriva en catastrophe, extirpant le jeune noble de ses tristes pensées : ‘’ Des fées ! De maléfiques fées, sur le chemin !’’ Heneric comprit bien vite que l’inculte paysan parlait des elfes noirs, qu’il avait déjà combattu par ailleurs. Il se doutait qu’il ne serait pas le seul à vouloir atteindre la mer, et il s’était préparé à une confrontation. Il ordonna à ses troupes de se déployer et d’avancer en direction de ses adversaires : la situation était certes désespérée, mais c’est justement dans ce genre de situation que la vaillance est nécessaire !



Le cavalier noir arriva devant sa maîtresse, la redoutable sorcière Mélusine, pour lui apporter la nouvelle : ‘’Les hommes de Bretonnie arrivent, comme vous l’aviez prévu.’’ Cela mit un sourire malsain sur le visage de la magicienne : ‘’Tu vois, ma chère disciple, je t’avais bien dit qu’ils viendraient,’’ souffla-t-elle à sa jeune apprentie sur un ton condescendant qui ne cherchait aucunement à masquer tout le mépris qu’elle éprouvait à son égard. La jeune Khaliathi ne pipa mot, encaissant encore une fois la morgue de sa professeure, se contentant de baisser les yeux. La générale se satisfît de la réaction, et se tourna vers ses autres lieutenants, notamment l’assassin : ‘’Est-ce que tout est prêt ?’’
Ce dernier répliqua aussitôt : ‘’Si vous avez bien vu, alors il n’aura pas la moindre chance. Pour le reste de la tactique, ce n’est pas de mon ressort !’’
‘’ Tout est en place,’’ déclara l’officier en charge de l’étendard, empli d’une confiance étonnamment communicative. ‘’Le piège est prêt et tout donne à penser que les humains s’y engouffreront tête baissée.’’
Mélusine fit un geste lançant la mise en place de ses troupes. Elle allait enfin se venger de ce petit baronnet qui lui avait mis tant de bâtons dans les roues. Par deux fois, il s’était mis en travers de sa route, et par deux fois, il avait réussi à vaincre ses armées. Mais là, son plan était parfait !



Comme à leur habitude, les bretonniens invoquèrent la Dame, posant genoux à terre dès qu’ils eurent fini de déployer leurs troupes. Les elfes noirs en profitèrent, évidemment, pour commencer les hostilités. La sorcière druchii commença à psalmodier, et les enchanteresses se préparèrent à contrer les maléfices à venir, en vain ! En effet, Mélusine souhaitait vraiment malmener au plus vite les rangs de la chevalerie et sortit un parchemin de pouvoir pour rendre son sortilège inarrêtable. Dans un rire à la limite de la démence, elle arracha la vie à 3 chevaliers du royaume grâce à sa main de plomb, mais vite son rire s’estompa pour laisser place à un cri de terreur. Jouer avec les vents de magie peut avoir un coût, et il peut s’avérer fort élevé.
Dans une tonitruante déflagration, un portail apparut juste au-dessus de Mélusine, et une pince immense en émergea, s’abattant à une vitesse foudroyante sur la sorcière qui ne put l’éviter. Se refermant prestement sur l’elfe, elle fut arrachée du sol et emmenée dans les confins des royaumes du chaos avant que le portail ne se referme sous le regard consterné des elfes noirs et les hourras bretonniens.


Premier sang pour les elfes noirs…


… mais à quel prix !

Les elfes noirs, ébranlés mais encore fermes, commencèrent leur déluge de tirs, mais mis à part quelques paysans en avant-garde, peu de pertes fut à déplorer du côté humain. Heneric pensait qu’il fallait profiter de la perte de la générale pour enfoncer le clou et en finir. Il avait noté que la troupe de corsaires s’était avancé de manière confiante, et il se doutait qu’un piège l’y attendait ; mais entre la protection magique de l’enchanteresse, la vaillance de ses hommes et ses prouesses de combat qui égalaient les meilleurs duellistes elfiques, il pensait avoir une chance. Il envoya des ordres afin qu’une unité de sergents se faufile dans le centre ennemi afin de gêner le plus possible les unités ennemis le temps de gérer les corsaires. De plus les pégases s’étaient également lancés à l’assaut des conjurateurs, laissant présager l’obtention du contrôle du flanc droit. De toute façon il n’avait pas le choix, rester en arrière trop longtemps revenait à s’exposer aux tirs nombreux des arbalétriers et balistaires : il fallait casser la distance et réduire au plus vite les ennemis.


Ces paysans ! Deux petits morts, et ils détalent ! Typique !

En prévision de cette percée, la prophétesse se prépara à renforcer le bataillon avec ses enchantements, mal lui en a pris : en effet, les vents de magie, encore agités du récent fiasco, furent particulièrement difficiles à contenir, et si elle ne fut pas aspirée dans les steppes du chaos comme sa némésis, son esprit fut durement affecté et ses capacités magiques conséquemment diminuées.


Je ne lance que 3 dés, comme ça, je vais éviter les fiascos, non !... Non ?

La charge fut ordonnée et impacta de plein fouet les corsaires et le baron à la tête de cette folle cavalcade hurla : ’’Je suis le baron Heneric de Lestang, fier guerrier de la Dame du Lac, et je suis ici pour vous faire goûter l’acier de Bretonnie ! Y a-t-il, parmi le tas de gougnafiers efféminés que vous appelez guerriers, quelqu’un avec assez de courage pour venir m’affronter en duel ?’’







C’est alors que bondit sur le chevalier le maître assassin qui s’était jusque là dissimulé dans la masse ; dans sa main, une lame bien étrange s’était mise à vibrer, et cette vibration s’était amplifiée au fur et à mesure que le fer de lance se rapprochait, comme si elle sentait l’héroïsme des individus qui la compose et s’en nourrissait pour restituer la somme de leurs forces à son porteur. Bien entendu, l’assassin avait pris soin d’enduire ladite lame de poison. Heneric était confiant : il avait pris soin de prendre les meilleures pièces d’armure disponibles et il ne doutait en rien qu’elle ne fut impénétrable. Il avait tort.


J’avais bien équipé mon seigneur, mais je ne m’attendais pas à l’épée tueuse de héros

Animée d’une force et d’une vigueur qui aurait fait pâlir de jalousie un dragon, l’assassin explosa sans peine l’armure qui faisait la fierté du preux combattant et enfonça dans la chair du bretonnien la lame empoisonnée. Le baron tomba à terre et dans l’inconscient. A partir de ce moment, plus rien n’allait aller dans le sens des serviteurs de la Dame.


8 attaques de Force 8, avec coup fatal ! Mon armure 1+ re-lançable n’aura pas suffi !

Le reste des chevaliers du royaume firent des dégâts importants aux corsaires, désireux de venger leur meneur, mais sous la férule du porteur de leur grande bannière dont le charisme surnaturel émouvait même ses adversaires, les elfes noirs encaissèrent et restèrent inamovibles, se préparant à l’arrivée des renforts.


On n’a pas fait attention en les achetant, mais les armures sont du ‘’made in Cathay’’ !

Les chevaliers pégases se ruèrent sur les conjurateurs du feu maudit, relativement confiants, mais cette confiance s’avéra vite mal fondée car les armures ne firent par leur travail de protection, doublé par le fait que les lances des survivants n’arrivèrent pas à affecter suffisamment leurs ennemis. Malgré l’élan de la charge, les pégases ne délogèrent pas leur cible, pis encore, ils perdirent beaucoup des leurs.
De plus, les montures des chevaliers du Graal semblaient réticentes à l’idée de courir et s’immobilisèrent bien loin de leurs adversaires. Les chevaliers errants étant loin de tout ne purent que s’avancer, étant hors de portée des lignes adverses.
Seule source d’espoir pour les bretonniens, une belle précision de la part des trébuchets, mais dont les projectiles eurent bien moins d’effets qu’attendu.


Joli comme image, n’est-ce pas ? Problème : ce n’était pas du caillou mais du polystyrène !


Je ne vois pas ce qui pourrait mal se passer !

Les arbalétriers abattirent les sergents dégageant ainsi la route pour les méfaits futurs de leurs congénères.


Où qu’ils sont passés les sergents ?


Ben ils sont au cimetière !

De même, les balistes éclaircirent les rangs des errants


Non, Lilith ! Arrête de viser les arbalétriers ! Ils sont avec nous qu’on te dit !


Quasiment la moitié d’une unité en 2 tirs !

Les corsaires tiennent les chevaliers, offrant le flanc aux chevaucheurs de sang-froid. Encore une fois, les armures bretonniennes ne se montrèrent pas à la hauteur de leur réputation et le massacre fut sanglant, entraînant la fuite des rares survivants. Les sang-froid les poursuivirent mais sans réussir à les rattraper.



Revenez les gars, ils veulent juste jouer… avec vos tripes !

Sans oublier les cavaliers noirs qui venaient d’atteindre les machines de guerre bretonniennes !


CC4 avec relance contre CC2 ! Je pense que j’ai une chance !

Le combat commence à tourner au vinaigre pour les servants de la Dame. Perdu pour perdu, autant y aller : les chevaliers du Graal chargent les gardes noirs, dans une attaque kamikaze, espérant faire le plus de dégâts possibles, et ils y arrivèrent, mais sans réussir à ébranler la volonté de ses stoïques guerriers.


Personne n’a chargé les exécuteurs ? Ben, en fait…

Les chevaliers errants s’élancent vers les exécuteurs mais les chevaux, visiblement perturbés par les tirs reçus semblaient peu enclin à s’avancer et piétinèrent quasiment sur place. Permettant aux chevaliers sur sang-froid et corsaires de les intercepter et de les détruire, laissant ainsi quartier libre aux exécuteurs qui purent assister les gardes noirs contre les chevaliers du Graal.


Il me fallait un 5 aux dés ! Vous sentez venir la catastrophe ?


Ça commence à ressembler à la fin !

Le massacre fut total, sur la droite, les chevaliers pégases furent massacrés, entrainant la fuite des tirailleurs qui n’eurent même pas l’occasion de tirer la moindre flèche, le fonds de cour fut nettoyé par les cavaliers noirs qui ne laissèrent nul survivant, et les unités de chevaliers furent noyés sous le nombre et la pression des flancs.


Il y a une chose où ils ont été bons : la fuite !



Ça se passe de commentaires !



Voilà à quoi ressemble une table vidée de ses bretonniens

Plus rien ne pouvait renverser le cours des choses, il y eût bien un dernier tir chanceux de trébuchet qui arracha la vie à plusieurs corsaires, mais la machine fut détruite en représailles par les cavaliers noirs qui massacrèrent ses servants dans la foulée


Le tir qui sauve l’honneur !



Les derniers survivants réussirent à reprendre leurs esprits et rassembler leur courage, mais il ne restait plus qu’eux : une prophétesse aux pouvoirs diminués, un champion sans son unité et un malheureux paladin. Ils eurent à peine le temps de se retourner qu’ils reçurent un déluge de projectile.


_ Ils sont combien ?
_ Une trentaine !
_ Combien est-on ?
_ Trois !
_ Parfait, encerclons-les !


Venez ! Je vous prends tous !

A la fin de la pluie de projectile, seul le paladin, un certain Boromir, était encore debout, ses compagnons, gisant agonisant à ses côtés. Il tenta une dernière charge héroïque afin de partir tel un brave, au corps à corps, mais il n’atteignit personne : les elfes noirs s’acharnèrent avec l’intégralité des tirs de leurs armée sur lui, et même si l’armure de Borormir arriva à détourner beaucoup de projectiles, leur nombre bien trop important ne laissa aucune chance au pauvre humain.



La mort de Boromir


Table rase tour 4 ! Victoire incontestable des elfes noirs


Épilogue :

Une nausée violente, doublé d’horribles maux de tête, extirpa Heneric de son coma. Il ne lui fallut pas longtemps pour sentir le contact froid du métal de ses chaînes sur sa peau dénudée qui entravaient la plupart de ses mouvements. Il était visiblement dans une cave d’un quelconque bâtiment abandonné improvisé à la va-vite en cellule.

‘’Enfin réveillé ?’’ Demanda la voix de Khaliathi sur un ton à la fois suave et dérangeant. ‘’le poison que nous avions demandé à notre assassin était quelque peu expérimental, et nous craignions qu’il ne vous tuât. Mais vous semblez bien récupérer.’’

‘’Mes hommes… ?’’ Balbultia péniblement l’humain.

‘’Tous mort, ou en voie de l’être ! J’ai cru comprendre que certains de vos paysans avaient réussi à courir dans le désert. Si mes éclaireurs ne les trouvent pas, l’hostilité de ces terres en viendra vite à bout,’’ répondit presque nonchalamment l’elfe.

Heneric récupéra assez ses esprits pour lancer un regard de défi à la sorcière : ‘’Tuez-moi qu’on en finisse !’’

‘’Ne faites pas votre dramatique,’’ répondit-elle. ‘’Votre mort, c’était le souhait de ma maîtresse à votre égard, et elle ne vous l’aurait pas accordé immédiatement. Elle avait l’intention de vous faire souffrir le plus longtemps possible. Il faut la comprendre, vous l’aviez vexé en la battant dans le passé, elle voulait se venger. Je reconnais : c’était un peu mesquin de sa part ! Mais, maintenant, cette vieille garce a joué avec les arcanes une fois de trop et en a payé le prix fort, me laissant ainsi les commandes, et c’est sous ma volonté que vous êtes dorénavant !’’

Heneric n’était pas sûr de l’implication des dires de sa geôlière : ‘’si vous ne voulez pas me tuer, qu’attendez-vous de moi ?’’

Khaliathi, presque amusée de la situation, prit le temps avant de répondre : ‘’Quand j’étais plus jeune, j’avais trouvé un oiseau blessé, une hirondelle si je me souviens bien. Je l’avais recueilli, amené chez moi, et je commençais à m’en occuper, j’avais beaucoup d’affection pour cet animal. Mais un jour, mon père me surprit avec et brisa son cou sous mes yeux.’’

‘’Je suis désolé,’’ dit le bretonnien, presque par réflexe.

‘’Oh, il ne faut pas ! Mon père a fait ce qu’il fallait pour débarrasser de moi ces sentiments inutiles que sont la compassion et l’attachement, je lui en suis reconnaissant finalement. Mais, j’avoue que la joie d’avoir un animal de compagnie me manque, et j’ai toujours rêvé d’en avoir un !’’ Les yeux de l’elfe se posèrent sur le chevalier avec une lueur sadique qui dansait au fonds de son iris.

Heneric comprit alors que trop bien les intentions de cette sombre femme : ‘’Jamais je ne me plierai à tes jeux tordus, vile catin ! Plutôt mourir !’’ Cria-t-il en finissant son laïus en crachant en direction de son hôtesse.

L’elfe sourit : ‘’vous autre bretonniens êtes tellement prévisibles ! Je m’attendais à une réponse de ce genre,’’ fit-elle en s’emparant d’une trousse de tissu qu’elle avait posée non loin d’elle. ‘’Vois-tu, ma maîtresse, puisse-t-elle souffrir mille morts dans le royaume de Slaanesh, avait bien des défauts, mais elle était une excellente pédagogue, que ce soit dans les arts des arcanes, ou la torture !’’ Elle déroula la trousse où se trouvait divers objets pointus et tranchants, au forme exotique et inquiétante. ‘’Elle appelait ça la thérapie contre l’obstination,’’ conclut-elle après avoir extirpé une sorte de poinçon avec des barbelés tout en se retournant vers son prisonnier.

Cette nuit-là, d’horribles cris déchirèrent le ciel des terres arides.


Et voilà l'épique et triste conclusion de mon épopée, après 3 mois de campagne intensive, le résultat est en demi-teinte au niveau militaire, car j'ai eu en tout 3 victoire, 1 nul et 4 défaite, mais fut grandiose au niveau humain et ludique. Cela m'a permis de rencontrer plein de passionnés, des gens fort sympathiques et enthousiastes (presque autant que moi, c'est dire !), de réintégrer un club ludique de figurines. J'espère que vous avez apprécié les lectures de mes rapports. j'ai essayé d'aller de plus en plus dans le narratif et l'interprétatif sur les derniers, et sans vouloir paraître prétentieux, je suis plutôt heureux du résultat.
Voici donc la conclusion de l'odyssée de Heneric de Lestang, bâtard de la lignée des Longueville, aux grandes ambitions mais qui tomba dans le piège tendue par une vile elfe noire. Mais qui sait, peut-être le reverra-t-on un jour ?
P.S. : j'ai été déclaré champion des forces de l'ordre en Île de France... Au vu de mes résultats, je vous laisse imaginer l'hécatombe

@ Maxence de Longueville: Une sacrée partie que voilà! Bon, avec une triste fin, mais avec panache !….

Un seul regret, que tout n’ai pas été peint…

"On n’a pas fait attention en les achetant, mais les armures sont du ‘’made in Cathay’’ ! "

"seul le paladin, un certain Boromir, était encore debout" ah bah ça change .... " leur nombre bien trop important ne laissa aucune chance au pauvre humain." je n'ai rien dit .

C'était une belle bataille malgré la défaite. La dame offre de nombreux pouvoirs, mais pas encore la victoire automatique. C'était un beau récit également.
Félicitations pour le titre de champion ! C'est déjà une belle victoire que ce titre revienne à la Bretonnie

Merci encore a toi Maxence de Longueville pour ce rapport de bataille et cette narration !

C'était vraiment sympa malgré le déroulé des évènements...

Que la Dame te vienne en aide !

Effectivement c'est mieux lorsque tout est peint, mais il ne faut pas que ça empêche de rencontrer des joueurs et de passer de bons moment avec eux !

Je suis content de cette campagne nationale qui a été un super prétexte pour se retrouver entre passionné et recroiser le fer, j'espère qu'il y en aura d'autre, et que les gens vont profiter du souffle qu'a relancé The Old World pour réorganiser des évènements et recréer une dynamique autour de ce nouveau jeu et narrations !

J'ai hâte de connaitre la suite des péripéties de ton armée, c'est très intéressant a lire, et les photos permettent de bien illustrer ce qu'il s'est passé.

Bonne continuation et pour la Dame !

Bretonniennement.

Saphirre