Le Royaume de Bretonnie
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Le Royaume de Bretonnie
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 Battletome bretonien ''The Lady's Protectors''

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Enguerrand le guerroyeur
Arthas
Nox-50
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Nox-50
Gueux



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MessageSujet: Battletome bretonien ''The Lady's Protectors''   Battletome bretonien ''The Lady's Protectors'' EmptySam 11 Avr 2020 - 18:54

Bonjour tout le monde !( je ne ne savais pas trop où poster si ce n'ai pas le bon endroit je m'en excuse)

Voilà je me suis lancé dans un projet pour AOS il y a un peu plus de deux semaines (il me semble..), un projet assez fou de donner à la Bretonnie un battletome.
J'ai donc créé une allégeance, des traits de co, artefacts, domaine de magie, décor et des duchés ( l'équivalent des enclaves, loges, cités...). J'ai encore pour objectif de faire dessus le sommaire et un mode Glory, peut être même la description des unités. Je vous mets le lien de mon Drive. Je n'attends pas que ce se soit un battletome "pété" mais juste équilibré. Et si vous avez des commentaires sur l'amélioration ou si vous trouvez des choses trop fortes, pas assez fortes, je suis preneur pour avoir un meilleur équilibre et avoir quelque chose de cool et approuvé par pas mal de monde.

(Je fais ce bt sur mon téléphone portable j'ai pas de PC)

Je vous souhaite une bonne lecture
(Si je peux avoir un droit pour mettre le lien désolé)
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Arthas
Saint vivant
Arthas


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MessageSujet: Re: Battletome bretonien ''The Lady's Protectors''   Battletome bretonien ''The Lady's Protectors'' EmptySam 11 Avr 2020 - 20:12

Le plus simple pour AOS, c'est de poster en section AOS. Mr. Green

https://labretonnie.forumactif.com/c7-bretonnia-l-age-de-sigmar
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http://www.notrehistoire-mamemoire.blogspot.com
Nox-50
Gueux



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MessageSujet: Re: Battletome bretonien ''The Lady's Protectors''   Battletome bretonien ''The Lady's Protectors'' EmptySam 11 Avr 2020 - 20:25

Désolé.... Un modérateur peut-il changer le sujet de place ou j'en recrée un?

Modération: Deux fois que je dois repasser sur la rédaction... en deux messages. Pense vraiment à faire un effort stp.
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Enguerrand le guerroyeur
Hussard de Bretonnie
Enguerrand le guerroyeur


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MessageSujet: Re: Battletome bretonien ''The Lady's Protectors''   Battletome bretonien ''The Lady's Protectors'' EmptySam 11 Avr 2020 - 20:47

Modération: Je me suis permis de déplacer le sujet dans la section appropriée, et j'ai retouché plusieurs fautes de rédaction sur le premier message. Le projet a l'air sympa, bon courage, mais attention à la rédaction stp .

Pour pouvoir mettre un lien sur le forum, il me semble qu'il y a un délai d'attente pour les nouveaux qui viennent de créer un compte.

_________________
"Créfieu messire, n'oubliez point que le monde est rond comme cul de pucelle!"
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Nox-50
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MessageSujet: Re: Battletome bretonien ''The Lady's Protectors''   Battletome bretonien ''The Lady's Protectors'' EmptyDim 12 Avr 2020 - 12:02

Merci pour voir mis le sujet au bon endroit. Je vais essayer de faire un effort en ce qui concerne l'orthographe. Aujourd'hui, je suis en phase du correction du bt car je l'ai écrit a l'instinct.
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Nox-50
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MessageSujet: Re: Battletome bretonien ''The Lady's Protectors''   Battletome bretonien ''The Lady's Protectors'' EmptyJeu 23 Avr 2020 - 14:09

Bonjour, pardonnez mon retard. Voici le lien pour le bt. Je suis impatient d'avoir vos retours. Je tiens a m'excuser d'avance pour les fautes et la syntaxe. Une personne m'aide pour cela. D'où le texte en bleu et noir.
Bonne lecture !!!
https://docs.google.com/document/d/1sI7m1ny2Ap_9fjpUqg8AOWLyD540B5whvlwq4rI0MYQ/edit?usp=drivesdk
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Valens_De_Baillal
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MessageSujet: Re: Battletome bretonien ''The Lady's Protectors''   Battletome bretonien ''The Lady's Protectors'' EmptySam 9 Mai 2020 - 21:13

Et un lien pour le battletome !

Bon courage mon cher Nox. Bon courage, Ton travail mérite la récompense d'être utilisé par les joueurs fidèles à la Dame en Age of Sigmar



Même si Arkanis ne sera jamais ma dame

Et même si nos visions changent, entre Heralds et Protectors, je te souhaite le meilleur!
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Bradousky
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MessageSujet: Re: Battletome bretonien ''The Lady's Protectors''   Battletome bretonien ''The Lady's Protectors'' EmptyVen 10 Juil 2020 - 22:39

J'aurais besoins de quelque clarifiaction a propos de tes regles :

Pour l'Enchantresse, l'aptitude le calice de l'eau sainte, un jet de lancement fait probablement reference a un jet de sort, mais un jet de sort ne peut donner 1, est-ce que tu veux dire donne un resultat de 1 sur nimporte quel dé.

Parfois tu parle de démon et parfois de deamon. Est ce que quand tu parle de démon tu parle du tag Chaos et Deamon du tag Deamon ?

Je suis presque sur que les archer ont des clairons au lieux de tambours mais je peux me tromper la dessus.

Il n'y a pas de mention des lord on pegasus, je les joue en duc sur hippogryphe ou en seigneur a cheval ?

Il serais plaisant de pouvoir jouer l'esprit protecteur, mais comme il nas pas de points, on ne peux pas.

Est-ce que artefact de pouvoir fleaux benis de sauvagerie peut etre cumuler a la rage des juste de l'épee du rocher ?

Pour le sort Fureur de la fée, on ajoute 1 a quoi ? Le nombre de dés ou le 5+ ?

Finalement, pour l'aptitude d'allegeance benedictions du lac, est ce que all out attack et all out defence sont considérés comme des aptitudes de commandement générique.

Merci @nox-50 pour ce livre que je compte bien utiliser tant et aussi longtemps que des regles officielles ne serons pas editées.
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Toison d'or
Chevalier à l'épée de bois
Toison d'or


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MessageSujet: Re: Battletome bretonien ''The Lady's Protectors''   Battletome bretonien ''The Lady's Protectors'' EmptySam 11 Juil 2020 - 0:51

La Bretonnie est terre de tradition, et il y est coutume de se présenter avant toute intervention sur le forum. Ami Bradousky, je ne doute pas que tes questions trouveront une réponse, mais il faut avant tout que tu te présentes, en suivant le saint patron. C'est une série de question qu'il te faudra remplir au plus vite ! rambo
Voici le lien vers le sujet de présentation :

https://labretonnie.forumactif.com/f2-presentations

_________________
Mes titres : Toison d'or, chevalier à l'épée de bois, roi d'armes du Très-Noble et Respectable Ordre Chevaleresque des Gros Glands Incapables de Terminer leurs Figs à Temps pour les Concours du Foroume ; chevalier du slip sur la tête -première promotion- ; également connu comme "Très-Haut et Très-Saint Prince des Barbouilleurs de Figs" ou comme "Toison de Vinci" ; admis à siéger parmi les illustrissimes et révérendissimes membres du conseil de cet auguste forum, j'ai même bénéficié autrefois des super pouvoirs d'administrateur  ...mais, s'il vous plait, continuez de m’appeler "Toison".
N'hésitez pas à visiter mon site
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une armée médiévale bourguignonne à partir de figurines gw converties et peintes
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http://toison.d.or.free.fr
Viromandui
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MessageSujet: Re: Battletome bretonien ''The Lady's Protectors''   Battletome bretonien ''The Lady's Protectors'' EmptyMar 1 Juin 2021 - 16:34

Bonjour à tous,

Présentation faite, je trotte de sujet en sujet et interviens parfois elephant ...

En survolant ce livre d'armée de bon augure, il semble un peu s'écarter de ce que j'ai pu apprendre relatif à "Bretonnia" sous l'Âge de Sigmar, c'est beaucoup d'informations et de possibilités de jeu données à nos pairs, 9ème Âge inclus ?

Un humble travail à titre personnel a été rédigé créant un lien possible entre le Vieux Monde et les Huit Royaumes... Certaines lignes rejoignent celles du texte qui nous est présenté mais pas toutes et on a tenté une mise en parallèle de "l'ancienne histoire" des Bretonni avec l'Âge des mythes, du Chaos et celui de Sigmar study .

Le sujet est resté un an de côté I don't want that , a-t-il pris fin ou est-il considéré comme clos Question

Bien à vous,
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Viromandui
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MessageSujet: Re: Battletome bretonien ''The Lady's Protectors''   Battletome bretonien ''The Lady's Protectors'' EmptyVen 4 Juin 2021 - 15:09

Bon, ben… Qui ne risque rien n’a rien Evil or Very Mad !

Je me permets donc de vous présenter une petite histoire « revisitée » de Bretonnie (sans autre ambition que de faire partager le texte Shit ).

Il ne s’agit pas d’un texte original… Mais plutôt d’un ensembles de textes extraits de plusieurs sources et mis bouts à bouts Embarassed .

Sources : WH Bretonnie (livre d’armée pour WH, v. confused , 2003), WH AoS (Bretonnia, Warscrolls compendium VF, 2017), WH AoS (livre de base, 2018) et Order Battletome – Cities of Sigmar (en français contrairement à ce que pourrait laisser croire le titre, 2019) jocolor

Il était une fois...

L’Âge des Mythes

La destruction du Monde-qui-fut, la Grande Victoire des Dieux du Chaos, la Fin des Temps… Cette triste époque porte de nombreux noms. Seuls les dieux de jadis et les Slanns immortels s’en souviennent, et l’exactitude de ces événements est enterrées sous la poussière des légendes.

Le noyau de ce monde brisé fut projeté à travers le vide de l’éther, Sigmar s’y agrippait, et il arriva finalement jusqu’aux Royaumes Mortels, des univers nés du maelström d’un monde déchiqueté où s’étaient cristallisées les énergies libérées par la destruction de sa planète.

Sigmar partit pour de longues exploration dans les Huit Royaumes. Il trouva des lieux peuplés d’hommes primitifs et de bêtes monstrueuses. Sigmar apprit bien des choses aux humains, qui commencèrent à le vénérer. Une éternité durant il illumina les royaumes. D’illustres civilisations et leurs empires s’élevèrent, les chasseurs à lames de silex se sédentarisèrent, ils se mirent à bâtir de grandes cités et des forteresses à hauts donjons. Le commerce devint florissant et les villes prospérèrent dans tous les Royaumes Mortels.

Sigmar retrouva ou réveilla d’autres déités, il forma un nouveau panthéon, composé notamment des dieux duardins Grungni et Grimnir. Ils furent rejoints par des êtres sombres, comme Malerion du Royaume de l’Ombre et Nagash le Grand Nécromancien ou le dieu bicéphale brutal nommé Gorkamorka, qui désiraient aussi des mondes où régnait l’ordre à diriger. Alarielle la Reine Éternelle vit en Sigmar un espoir de vie nouvelle.

Ces dieux étaient si différents que toute cause commune ne pouvait faire durer leur alliance, qui se délita au fil du temps. Insidieusement, les murmures et les manigances d’un autre panthéon, les Puissances de la Ruine, distillèrent la trahison et la division dans les royaumes, jusqu’au moment où ils seraient mûrs pour être conquis. Sigmar ne vit pas le danger avant qu’il soit trop tard. Il est difficile de discerner le fait historique de la légende, puisque cette ère est emplie de mythes.

L’Âge des Mythes est voilé de légendes, sous forme de lais narrant de grandes alliances, d’extraordinaire œuvres de magie, l’asservissement de bêtes zodiacales et la fondations de cités colossales. Les races mortelles prospérèrent et les merveilleuses cités de cette époque abritaient des peuples aussi nombreux que les étoiles. Sur les balcons des arboretums de Thyria, dans les Royaumes de Jade, les fleurs de la magie d’Alarielle s’épanouissaient sous toutes les arches gracieuses.

L’Âge du Chaos

Presque infinie est l’étendue des Royaumes Mortels, et elle embrasse toutes sortes de paysages imaginables, des plus lugubres déserts aux paradis les plus fascinants. Ghyran fourmille de toutes formes de vie. Les peuples de ce domaine sont très variés physiquement et intellectuellement. Les Ghyranites ont bien souffert des invasions de Nurgle, mais pas uniquement…

La forme de chaque sphères de royaume obéit à une logique propre, et Ghyran n’échappe pas à la règle. Les domaines des humains fondés lors de l’Âge des Mythes siègent au cœur de ces royaumes. Les Confins de chaque Royaume sont impropre à la vie mortelle sans être réellement des barrières physiques ; certains sont des déserts infinis, d’autres des mers brumeuses. La bordure du Royaume de la vie est une jungle impénétrable.
L’avènement de la Bretonnie

Un des mythes fondateurs des Royaumes Mortels raconte comment un certain Gilles le Breton apporta sécurité et union aux terres d’un ancien peuple, les Bretonni… C’est en Ghyran que, des siècles durant, leurs ancêtres demeurèrent. Enclavés entre ce qu’ils appelaient Le Grand Océan et L’Empire.

De nos jours, il est impossible de situer avec précision les lieux de vie où les Bretonni élurent domicile. Cependant, nous trouvons encore certains rouleaux précieux et d’anciennes cartes au sein des Palais de la Connaissance en Azyrheim. Une représentation cartographiée de ces territoires (vous) est proposée plus loin dans le manuscrit, mais elle reste mystérieuse dans ses découpes géographiques et son étrange vocable.

En ces temps lointains datant d’avant la première apparition de la Dame du Lac, les monstres à peau verte semaient la terreur et la désolation en Bretonnie. Bien des tribus ancestrales de sa Sainte Terre furent massacrées. Des myriades de créatures immondes ravageaient jusqu’au cœur du plus sacré de ses sanctuaires. Au nord, les plus braves ployaient sous les coups des barbares qui pillaient les côtes. Les monstres des forêts se déversaient de leurs tanières. Les morts eux-mêmes parcouraient librement les terres, marchants en osts implacables.

Les Bretonni semblaient condamnés et la nature elle-même pleurait pendant que sa vie lui était ôtée. Les gens cherchaient refuge dans les forteresses de leurs Seigneurs pendant que les hommes d’épée restaient figés d’effroi face à la dévastation de leurs terres.

Il en fut Un, le jeune Gilles, qui osât se dresser contre les ténèbres. Il chargea l’ennemi, accompagné de ses fidèles. La Sainte Terre rappela à elle beaucoup de Bretonni ce jour-là, mais il triompha et bannit le mal. Des visions lui montrèrent ceux qui tourmentaient les siens et souillaient leurs terres. Les survivants chevauchèrent à la rencontre des peaux-vertes, car s’il advenait que ceux-ci unissent leurs forces, rien ne les arrêterait plus.

Au crépuscule naissant ils bivouaquèrent, prêts à donner leur vie dans la bataille qui s’annonçait. Ils prirent un peu de repos et à l’aube, une apparition s’offrit à eux, c’était une femme d’une incommensurable beauté, entourée d’un nimbe alors qu’elle s’élevait du lac près duquel Gilles et ses compagnons avaient dressé leurs pavillons. Elle leurs accorda ses dons, leurs corps se revigorèrent et irradièrent d’une puissance nouvelle. Ils devinrent les premiers Chevaliers du Graal, ou Compagnons du Graal.

Ce matin-là l’ennemi recouvrait la plaine tel les brins d’une herbe haute, d’un vert malsain. Gilles et les siens chargèrent et ils dispersèrent leurs adversaires comme des fétus de paille dans le vent. Les prairies et les champs rougirent sous le nombre des morts. Ce combat fut la première des douze batailles majeures remportées par Gilles.

Sans goûter au repos, pris de visions et de rêves de la Dame du Lac, ils parcoururent sans cesse la Sainte Terre de Bretonnie, combattant sur tous les fronts. Le pouvoir de la Dame les menait et ils chargeaient tout ennemi visible. La colère de la Dame était telle que ses champions se sentaient invincibles, la forêt elle-même vint à leur aide.

Ils poursuivirent et combattirent des hordes entières de peaux-vertes, parfois montés sur des loups ou sur des créatures serpentines semblable aux dragons, des guivres, des trolls et autres monstres. Ils rencontrèrent encore d’autres armées, des morts revenus de la tombe entourés de bêtes impies trainant côte à côte leurs carcasses putrides, des monstres énormes à tête de dragon ou à deux têtes. Au nord encore, les cités côtières et portuaires ployaient sous les assauts des hommes sauvages, vêtus d’acier et de peaux de bêtes. En une autre occasion, trolls, géants et autres créatures maléfiques rôdaient avec des tribus d’hommes-bêtes. Ils inondèrent les fraîches prairies, pendant que se déversaient, tribus après tribus, d’autres peaux-vertes ! Le destin frappa tragiquement, car à cet instant ils furent assaillis par la vermine, les légendes parlent de rats marchant comme les humains, surgissant soudain pour s’en prendre par traitrise aux héros.

Pressés de toutes parts par tant de monstres, les quatorze Seigneurs des quatorze terres des Bretonni s’unirent comme un seul homme, transcendés par leur foi en la Dame qui les protégeait des coups.

La Fondation du Royaume

Iadis (lisez Jadis), Gilles le Breton apporta sécurité et union aux terres des Bretonni, fondant ainsi le royaume de Bretonnie. Les chefs de guerre lui prêtèrent allégeance, le proclamèrent roy et le reconnurent comme leur souverain.

Tous reçurent le titre de duc, et les frontières traditionnelles du pays furent établies, le divisant en XIV duchés.

Gilles devint donc souverain de toute la Bretonnie… Proclamés roys, la Couronne d’Or de Bretonnie, présent de la Dame en personne était posée sur le front martial des successeurs de Gilles par la Fée Enchanteresse, la sainte émissaire de la Dame du Lac.

Contrairement aux premiers ducs, aucun chevalier, ainsi décrété et si noble qu’il fût, ne devait devenir Seigneur de Bretonnie sans avoir reçu la bénédiction de la déesse en buvant au calice de la Dame du Lac.

C’est ainsi que naquit la tradition du Chevalier de la Quête. Parcourant pendant des années la Bretonnie, accomplissant maints exploits et affrontant le mal où qu’il se terra.

La première décision royale fut de formaliser le code de l’honneur et les Serments des Chevaliers qui sont encore conservés aujourd’hui dans le trésor royal. Dans toute la Bretonnie, des chevaliers les embrassèrent. Plus d’un noble abandonna ses terres pour se consacrer à la voie du Chevalier de la Quête.

Une vague de foi traversa le pays et la Dame du Lac devint rapidement la divinité tutélaire de la noblesse. Des chapelles du Graal furent bientôt élevées en des lieux saints et la Fée Enchanteresse guida les bretonniens dans leur vénération de la Dame. Les ducs continuèrent de bouter le mal hors de leurs frontières et la Bretonnie prospéra malgré son isolement.

Pendant les siècles qui suivirent, les terres de la Bretonnie continuèrent d’être menacée. En ces occasions, elle dressait toute sa puissance, unifiée et prête à s’opposer à tous ses ennemis. Toujours plus de chevaliers accomplissaient leur Quête du Graal, très aguerris ils occupèrent une place prépondérante au sein des duchés.

D’illustres victoires furent remportées. Les tribus peaux-vertes furent écrasées, les flottes des morts-vivants furent mises en déroute et les atroces bêtes des bois furent repoussées vers le cœur de leurs forêts ténébreuses. Les ducs tournèrent également leur regard au-delà de leurs frontières.

Les Croisades et les Guerres Saintes

Face à l’invasion de leur royaume méridional par les oasiens, des diplomates furent dépêchés auprès du roy de Bretonnie et le souverain lança l’appel aux armes. Celui-ci résonna dans tous les duchés et d’innombrables preux vouèrent leur lance à cette cause.

Les envahisseurs ne purent résister longtemps et se replièrent vers leur désert, où ils furent pourchassés sans relâche. Même le climat cruel du désert ne put ralentir les Bretonniens. Face à des terres trop inhospitalières et trop vastes pour être durablement conquises, ils remirent le cap sur leur verte patrie.

Une 2ème armée s’était croisée et avait quitté la Bretonnie en progressant par voie de terre. Ayant eu vent des succès de leurs compagnons, elle ne poursuivit pas jusqu’au désert, dépitée de n’avoir pu prendre part aux combats contre les royaumes des sables et leurs rois.

En lieu et place, ils explorèrent des terres qu’aucune race civilisée n’avait encore pu parcourir. Poussés par un désir de gloire et d’honneur, ils défirent les armées de peaux-vertes qui infestaient la région et portèrent un grand coup à leurs ennemis. Ces terres furent plus tard baptisées Principautés Frontalières et certains chevaliers s’y établirent et y érigèrent leur château dans les années qui suivirent.

Malgré ces équipées au-delà des frontières bretonniennes, les duchés ne restèrent pas sans défense, car de potentielles menaces résidaient encore en ces lieux. L’une d’entre elles coïncida avec l’apparition de la Fièvre Rouge qui ravagea les duchés méridionaux, décimant ses populations les plus misérables. Comme s’il c’était agi d’un signal, d’ignobles créatures jaillirent de leurs repaires souterrains, des rongeurs qui marchaient debout et brandissaient des armes rouillées dans leurs pattes griffues. Le mystérieux peuple-fée marcha alors à la rencontre de l’armée ducale et les chevaliers bénéficièrent de son aide surnaturelle pour détruire la menace avant de disparaître à nouveau.

Bien d’autres périls furent encore repoussés, comme les assauts chaotiques, qu’il s’agisse d’attaques des sanguinaires nordiques ou des atroces bêtes des bois.

Au travers des siècles, d’autres croisades furent lancées. L’une d’elle s’aventura loin à l’est des royaumes des sables et vit de nombreux conflits entre les chevaliers et les horribles rois morts-vivants. D’autres encore amenèrent les bretonniens bien loin de chez eux, jusque dans des jungles étouffantes.

Certaines croisades furent déclarées Guerres Saintes, une tradition qui veut que de jeunes Chevaliers Errants se voient confier une tâche qu’ils doivent accomplir pour mériter leurs éperons.

Il arrive pourtant qu’en temps de guerre ou de grand péril, le roi déclare une Guerre Sainte. En de tels moments, jeunes chevaliers et jeunes nobles venus de toute la Bretonnie se joignent à la cause. De fait, le roy peut déclarer une Guerre Sainte lorsqu’il a besoin de lever rapidement une armée motivée.

Deux de ces Guerres Saintes sont restées dans l’Histoire, gravées en lettres de sang. Lors de la première, on rassembla un immense ost après avoir lancé la Guerre Sainte, des milliers de jeunes aspirants chevaliers se joignirent aux suites des ducs. L’armée extermina les peaux-vertes qui se massaient par tribus entières aux frontières bretonniennes. Les redoutes des peaux-vertes furent conquises. De nouveaux châteaux furent bâtis sur ces nouvelles frontières et nombre de jeunes guerriers en relevèrent les bénéfices, recevant le titre de Chevalier au terme de la campagne.

La plus longue Guerre Sainte eut lieu lorsque les Principautés Frontalières furent submergées par l’ennemi, malgré leur résistance, l’espoir s’amenuisait. Le roy répondit sur-le-champ à leur appel à l’aide et déclara son intention de débarrasser une fois pour toute le Monde de l’engeance des peaux-vertes ! Les érudits, eux, savaient que cette vile espèce ne pourrait jamais être exterminée…

Au début, les victoires se succédèrent à un rythme rapide et les peaux-vertes furent battus à plate couture. Hélas, au fur et à mesure que les années passaient et que de plus en plus de jeunes chevaliers gagnaient la région, la Bretonnie même s’affaiblissait, faute de défenseurs. La guerre se poursuivit sur plus de LX ans, engloutissant des générations entières de chevaliers.

Finalement, il fut mit fin à la Guerre Sainte après une amère défaite. Les armées bretonniennes n’apprécient guère de perdre, et sans la sagesse du roy, de nouvelles troupes se seraient sacrifiées.

Les Morts foulent la Terre

Des siècles auparavant, des légions de guerriers morts-vivants attaquèrent les côtes bretonniennes et des rumeurs de la présence de ces flottes fantômes persistent encore. Le thème du mort se levant de sa tombe revient fréquemment dans les ballades des trouvères bretonniens, ce qui rend bien compte de l’impact qu’ont eu les morts-vivants sur l’imaginaire populaire.

Plus d’un Chevalier de la Quête s’en est allé combattre de telles horreurs, sans jamais en revenir. Le duché maudit de Mousillon était depuis longtemps associé à la mort. Il s’agissait d’un lieu macabre, la ville était bâtie sur un marécage fétide et sujette à de fréquentes inondations, aussi les tombes étaient-elles situées au-dessus du niveau du sol, s’étendant sur des lieues, semblables à de petites villes.

L’une des plus importantes batailles livrées contre les morts-vivants eut lieu contre une horde de cadavres réanimés conduite par un épouvantable nécromancien et un Guerrier du Chaos mort-vivant. La bataille ne put être remportée que grâce à l’héroïsme du duc et de ses chevaliers et ce malgré l’attaque inattendue d’une nuée de rongeurs chaotiques.

Les chevaliers rentrèrent chez eux, le nécromancien parvint à s’échapper et le duc passa le reste de sa vie à le traquer. Hélas, le duc connut une fin tragique au combat contre l’armée de son ennemi, même s’il parvint à la défaire avant de périr.

Terre de Désespoir

Moussillon était un duché maudit, une cité en ruine cernée par des marais putrides, un lieu évité par la plupart des bretonniens. Il se dit que les morts arpentaient ses rues enténébrées, que des horreurs indicibles hantaient les cryptes des châteaux et que la nuit retentissait des hurlements glacials de choses qui ne faisaient plus partie de ce monde.

Des chevaliers déchus ou déshonorés se rassemblaient parfois en ces lieux, de même que des hordes de paysans difformes et malades. Les derniers héritiers de la lignée maudite des Moussillon exerçaient encore une autorité absolue sur le duché. Les représentants de cette noblesse déchue portaient des armures noires comme la suie.

Le premier duc de Moussillon ne se remit jamais de la mort de Gilles le Breton dont il était l’un des compagnons de la première heure. Désespoir et chagrin s’abattirent sur la terre de Moussillon, la mettant petit à petit en ruines. Depuis lors, les choses n’avaient fait qu’empirer et les ténèbres du Chaos y assirent leur domination.

D’aucuns pensent que le lieu même était maudit, il est en tout cas avéré que la vermine y prospérait, que la folie y régnait et que des événements étranges s’y déroulaient quotidiennement.

Il est possible d’isoler deux événements qui semblent avoir jeté l’opprobre des dieux sur Moussillon. Le premier se déroula à l’époque de la Fièvre Rouge, à l’aube du IXe siècle. Trompé par des conseillers corrompus, bien qu’animé d’intentions honorables, le duc se retrouva mêlé à des affaires qui lui échappèrent de plus en plus.

Le duc et ses chevaliers en armures noires n’eurent étrangement pas à souffrir de la Fièvre Rouge, ils chevauchèrent vers le midi, tuant des milliers de créatures chaotiques. La route qu’emprunta son armée était la même que celle suivie jadis par Gilles le Breton et ses Compagnons. Les rêves du duc étaient peuplés de massacres, de mort et d’horreurs, mais dans sa folie naissante il crût être la réincarnation de son ancêtre, le compagnon de Gilles.

Son armée rejoignit celles d’un autre duc et du peuple-fée et une grande victoire s’ensuivit, les hommes-rats fuyant devant l’ire ducale et ses chevaliers noirs. Le duc de Moussillon invita ses pairs à son castel pour y célébrer la victoire. Certains le voyaient comme le sauveur qu’il voulait être, mais les chevaliers furent épouvantés par ce qu’ils virent au banquet.

Le duc était incapable de comprendre le malaise de ses invités et ayant déjà vidé de nombreuses coupes de vin, il clama dans son ivresse que son hospitalité était bafouée. Choqué, le roi tint des propos contre lui et sa cour, de rage le duc l’accusa de jalousie et de complot contre Moussillon. Le souverain le défia donc en combat singulier. Lors du combat qui suivit, le duc arracha la gorge du roi à mains nues, versant son sang dans une coupe avant de la vider d’un trait.

Les autres ducs quittèrent prestement Moussillon pour rassembler leurs armées, poursuivis par des hordes de créatures mutantes et de paysans malformés. Au cours des mois qui suivirent, le duc de Moussillon fut publiquement dénoncé par la Fée Enchanteresse et le nouveau roi. Une invasion en règle fut conduite sur les terres de Moussillon et certains des chevaliers du duché prirent les armes contre leur seigneur, n’ayant aucune envie d’être associés plus longtemps à un être aussi corrompu.

Plus tard, Moussillon fut encore plus souillée lors de l’affaire du Faux Graal. Le duc de cette époque conspira pour devenir roi par traîtrise, il emprisonna la Fée Enchanteresse et prétendit avoir retrouvé le Graal. Ses actions les condamnèrent son duché et lui. À compter de ce jour, le duché n’eut plus de ducs par ordre du roi et la position resta inoccupée.

Déclin et abandon

Tandis que ses ennemis gagnaient en puissance et que la guerre embrasait toutes les terres, le Dieu-Roi Sigmar reforgea les vieilles alliances et remporta de nombreuses victoires, toutefois, cela ne suffit pas. Les Dieux du Chaos étaient unis et rien ne pouvait rivaliser avec eux. Sigmar fut forcé de battre en retraite et de mener un exode vers le Royaume Céleste, le dernier sanctuaire sous les étoiles. Il scella derrière lui les Portes d’Azyr et les sept autres Royaumes Mortels furent abandonnés à leur sombre destin.

Aussi puissantes soient-elles, toutes les civilisations, les grandes cités et les forteresses de l’Âge des Mythes ne pouvaient espérer résister seules face au Chaos. Elles furent assiégées les unes après les autres. Combattant jusqu’à leur dernier souffle. Elles succombèrent à cause des maladies et de la faim.

D’autres civilisations choisirent de fuir et d’opter pour un mode de vie nomade afin d’échapper aux armées du Chaos qui les poursuivaient…

L’Âge de Sigmar
Le retour du Dieu-Roi

Qu’en ce lointain passé, sous la guidance du panthéon du Dieu-Roi, les Royaumes Mortels étaient des lieux merveilleux et glorieux. Des humains, des Duardins et des Aelfs vivaient en harmonie, ils bâtirent des civilisations aussi sages que cultivées. Puis vint l’Âge du Chaos, lorsque les Dieux Sombres lancèrent leurs légions démoniaques contre les Royaumes Mortels. Des empires furent détruits. La connaissance et le savoir furent anéantis et les fidèles de Sigmar impitoyablement massacrés.

Seule Azyrheim survécut. Les survivants des invasions des Dieux Sombres trouvèrent refuge derrière les murs étincelants de la Cité Éternelle et y conservèrent leurs coutumes.

À Sigmaron se rassemblent les peuples libres de l’humanité, leur essence a survécu au cataclysme de leur monde, préservant l’héraldique et les traditions culturelles de civilisations accablées par le poids de luttes incessantes. La clameur d’âmes guerrières emplit les cieux, toutes unies au nom de Sigmar. Bien que certaines de ces tribus aient été chassées de leurs terres, et que d’autres aient dérivé sur les courants du temps, toutes les âmes qui les composent rêvent de prendre leur revanche sur les forces du Chaos, attendant le jour où les Portes d’Azyr se rouvriraient et où les armées de Sigmar reviendraient se venger.

Lorsque l’heure de la revanche arriva, le ciel de chaque royaume s’assombrit sous l’effet de la Tempête de Sigmar…

Les cieux s’agitent et la Tempête de Sigmar tonne dans les Royaumes Mortels. Portées par cet orage céleste, des armées de guerriers en armures étincelantes se manifestent sur les terres et attaquent les forces du Chaos prises au dépourvu.

Ces guerriers et la croisade vengeresse qu’ils mènent annoncent une nouvelle ère de gloire et d’espoir. Ils sont aidés en cela par des légions de soldats mortels d’Azyrheim. Ceux-là même qui s’y étaient rassemblés attendant l’heure de la revanche.

Après de coûteuses victoires, le Dieu-Roi sécurise des têtes de pont dans les Royaumes de la Vie et du Feu. De grandes cités comme Hammerhal et Phoenicium sont fondées. Pour la première fois depuis des millénaires, les descendants directs des bretonniens quittent Azyrheim et peuvent à nouveau fouler le sol de leur terre ancestrale, Ghyran !

Les restes épars de l’humanité viennent s’abriter dans les murailles des nouvelles cités de Sigmar. Appelés les Reconquis, ils trouvent une place au sein de la nouvelle société du Dieu-Roi.

La Dame du Lac

Siècles après siècles, et ce depuis des temps immémoriaux, les bretonniens vénèrent la Dame du Lac, une divinité mythique qui guide leurs roys et protège leurs terres. Il est dit d’elle, qu’elle est l’une des suivantes d’Alarielle la Reine Éternelle.

L’adoration de la Dame remonte à l’aube de l’histoire de l’ancien royaume de Bretonnie, quand elle apparut à Gilles le Breton et à ses compagnons. Auréolée d’une lumière féerique, la Dame émergea d’un lac, portant un calice dont l’éclat se reflétait dans les eaux paisibles. La vénération de la Dame s’est dès lors étendue à toute la Bretonnie. Elle n’apparaît plus que très rarement, et ce n’est qu’au cœur des lieux les plus verdoyants qu’elle se montre parfois aux âmes les plus nobles.

La Dame adopte l’apparence d’une vierge d’un âge indéterminé et à la beauté surnaturelle, mais seuls ceux qui ont surmontés de terrifiants périls et dont le cœur est resté pur ont une chance de l’apercevoir. De nombreux chevaliers, désireux de prouver leur valeur se lancent encore dans la Quête du Graal pour trouver la Dame et peut-être pouvoir boire à son saint calice pour tenter de rejoindre les Chevaliers du Graal subsistant, la fine fleur de la chevalerie bretonnienne. Les bosquets sacrés et les clairières d’énergie mystique sont ses lieux de prédilection et les Chevaliers du Graal ses protecteurs attitrés.

La Bretonnie était parsemée de Chapelles du Graal élevée sur des lieux où la Dame était censée être apparue, qu’il s’agissait de simples autels dressés au bord des chemins ou d’immenses constructions incorporées au château des nobles.

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MessageSujet: La levée bretonnienne   Battletome bretonien ''The Lady's Protectors'' EmptyVen 4 Juin 2021 - 15:12

La suite du texte qui vous est présenté ici pourrait rejoindre en partie celui que Nox-50 vous présentait par le passé.

La Levée Bretonnienne
Protecteur Sacré

Le Protecteur Sacré est un personnage célèbre du folklore et de la tradition qui apparaît dans nombre des lais et des contes les plus populaires de tout le royaume. Il est l’ennemi traditionnel des Chevaliers de la Quête, le Protecteur Sacré les provoque en duel pour qu’ils puissent prouver leur dévotion à la Dame et mériter ainsi de boire à son Saint Calice.

Il est le protecteur de la Bretonnie, son essence est inextricablement liée à celle de la terre même et de la Dame du Lac en personne. Il est apparu à plus d’un Chevalier de la Quête et ceux-ci ont témoigné de la forme d’une silhouette chevauchant un étalon rageur.

C’est le Champion de la Dame du Lac. En plus d’apparaître pour mettre à l’épreuve la foi des Chevaliers de la Quête, il se manifeste dès que son protectorat est menacé. Il jaillit depuis les frondaisons, s’élance des eaux les plus placides ou des cascades tumultueuses, il disparaît aussi subitement qu’il est apparu.

Les armes n’ont que peu d’effet sur lui. Ce qu’il est réellement est l’objet de maints débats et personne, à l’exception de la Fée Enchanteresse, ne connaît la réponse. Certains pensent qu’il est l’âme de la Bretonnie qui a pris forme humaine, d’autres qu’il s’agit de Gilles le Breton en personne, entièrement dévoué à la Dame et à son royaume depuis qu’il a quitté le monde.

La Fée Enchanteresse

Figure d’inspiration et de splendeur, elle est la représentante personnelle de la Dame du Lac et en tant que telle, elle est l’un des êtres les plus influents de la Bretonnie. Sa volonté est celle de la Déesse et même le roy doit accéder à ses requêtes. Les Chevaliers du Graal, ayant fait serment de servir la Dame, sont voués à répondre à l’appel de la Fée Enchanteresse. Leur devoir sacré est plus important que tout et passe même avant leur loyauté à la couronne ou aux ducs car la Dame du Lac et la Fée Enchanteresse incarnent la terre de Bretonnie plus que n’importe quel seigneur mortel. Si la lignée royale venait à être interrompue, elle seule aurait le pouvoir de nommer un successeur.

Certains pensent que la Fée Enchanteresse existe depuis les origines de la Bretonnie, ce qui ferait d’elle un être plurimillénaire… Elle va et vient à sa guise, mue par la volonté de la Dame du Lac. Au gré de ses pérégrinations qui la portent d’une forêt sacrée à une autre, elle rassemble autour d’elle de jeunes enfants, dotés de pouvoirs latents qu’elle seule peut percevoir. Ces jeunes gens sont alors emmenés en un lieu au-delà du temps et des barrières de la chair, le mystérieux Autre-Monde. Les fillettes reviennent parfois, des années plus tard, comme Damoiselles du Graal.

En cas de péril imminent, la Fée Enchanteresse poussera les ducs et le roy en personne à partir en guerre. Il lui arrive de chevaucher auprès des armées et de vouer ses pouvoirs surnaturels à la protection de ceux qui se battent au nom de la Dame.

À ces occasions elle chevauche une licorne, fière et noble monture, une bête dont on dit qu’elle parcourt l’Autre-Monde du folklore bretonnien. On raconte que seules les capricieuses fées qui y résident peuvent chevaucher de telles montures, et le fait que la Fée Enchanteresse en soit capable pousse certains à dire qu’elle n’est pas de ce monde…

Le roy

Sa majesté le roy. Il est le plus grand seigneur de Bretonnie. Grand roy et puissant guerrier, ses sujets voient en lui un exemple de perfection et d’honneur chevaleresque. Combattant de talent, stratège sans égal. Les nobles comme les roturiers et autres paysans parlent de lui avec la même déférence. Féroce mais honorable, sur le champ de bataille comme à la table des négociations, le roy est renommé bien au-delà de ses frontières.

Héros de Bretonnie

Riches de faits héroïques, les légendes content comment de valeureux Chevaliers affrontèrent et défirent des créatures maléfiques. Dans ces gestes et ces poèmes, les nobles Chevaliers pourchassent des dragons qui terrorisent les populations, combattent des barbares et anéantissent des armées entières de peaux-vertes d’une seule main.

En dépit de la conduite rigoureuse qu’ils s’imposent, certains chevaliers deviennent de véritables légendes. Ces héros se distinguent au champ d’honneur en abattant des ennemis particulièrement redoutables. Leur réputation les précède et leur nom comme leur blason sont connus à travers tout les pays qu’ils parcourent.

Le lignage en lui-même n’est pas suffisant et les rejetons de la noblesse doivent prouver leur valeur comme n’importe quel Chevalier. Ceux-ci quel que soit leur rang peuvent atteindre un statut héroïque à travers des actes de bravoure, s’élevant ainsi rapidement au sein de la chevalerie.

Les Seigneurs bretonniens sont de puissants nobles, des chevaliers dont les exploits sont loués dans les Royaumes Mortels et qui incluent de formidables combattants tels les ducs, comtes, barons et autres seigneurs. Nombre d’entre eux sont réputés pour leurs hauts fait d’armes. Ce sont de puissants guerriers doublés d’excellent meneurs d’hommes.

Servantes de la Déesse

Il arrive parfois que des enfants de Bretonnie manifestent des capacités étranges ou mystiques. Ils peuvent avoir des talents divinatoires ou d’autres pouvoirs. Généralement, pour chaque enfant manifestant de tels pouvoirs, des dizaines d’autres ne montrent jamais aucun signe externe de quelque talent surnaturel que ce soit.

Certains de ces enfants, issus de familles riches étaient anciennement envoyés dans l’Empire, l’État voisin, pour y étudier la magie, mais c’était plutôt rare... Avant leur puberté, la plupart d’entre eux seront visités par la Fée Enchanteresse. Elle les emmène alors dans l’Autre-Monde, où leurs pouvoirs seront mis au service de la Dame du Lac en personne. Bien qu’aucun des garçons ne soit jamais revu, des filles reviendront parfois, bien des années plus tard en tant que Damoiselles du Lac.

Les Damoiselles sont de puissantes sorcières, ayant perfectionné leurs talents pendant leurs années d’exils involontaires. Leur magie est liée à la nature plus que la plupart des autres sorciers humains, car elles ont été formées par les servantes de la Dame du Lac. Au combat, elles utilisent leurs pouvoirs pour protéger les guerriers et repousser les maléfices, ainsi que pour faire se déchaîner sur les troupes adverses leurs propres sorts. Elles sont capables de commander aux éléments pour combattre les ennemis de la Bretonnie.

Quand elles ne combattent pas, elles remplissent le rôle de conseillères auprès du roy et des ducs, les guidant de leurs talents divinatoires. Elles peuvent voir l’avenir et lire la vérité dans le cœur des hommes et dispenser des soins magiques en cas de nécessité.

Les Demoiselles du Graal sont les favorites de la Dame et servent loyalement leur déesse depuis fort longtemps. Ce sont de puissantes magiciennes et des sorcières respectées, entraînées par la Fée Enchanteresse en personne. Leurs sortilèges peuvent bouleverser le cours d’une bataille et elles sont précieuses pour attaquer l’ennemi de leurs puissantes magies ou pour protéger les troupes amies.

Chevaliers de Bretonnie

L‘ordre social bretonnien est régi par des croyances et des traditions établies à l’époque de Gilles l’Unificateur, officialisées par son fils. Chacune des classes de la société adhère à des règles strictes. Étant donné l’antiquité des documents originaux, ces règles peuvent être mal interprétées voire détournées par des opportunistes ou des incultes.

Aucun chevalier n’oserait souiller son propre nom, mais si jamais les circonstances l’obligeait à trahir ses idéaux, il déposera immédiatement sa lance et prêtera le Serment de la Quête. La promotion d’un rang de la chevalerie à un autre est de la plus haute importance pour les bretonniens. Ainsi, un chevalier du Graal n’acceptera pas l’autorité d’un Chevalier de la Quête ou d’un simple Chevalier du Royaume. D’une façon générale les chevaliers obéissent sans faillir à leurs supérieurs.

Les impétueux Chevaliers Errants et les fiers Chevaliers du Royaume sont de loin les plus répandus de tous les chevaliers bretonniens. Ils forment l’épine dorsale des armées de Bretonnie !

Chevaliers Errants

Tous les fils de la noblesse doivent suivre la voie de la chevalerie dès la naissance. Bien que leurs origines leur garantissent une place au sein de celle-ci, un jeune noble se doit de gagner son honneur en prouvant sa valeur. Certains atteignent ce statut en servant fidèlement leur seigneur, d’autres grâce à des relations et leur influence. La manière la plus glorieuse et le seul vrai moyen pour un jeune Chevalier de s’accomplir est de réaliser de hauts faits d’armes sur le champ de bataille.

Les Chevaliers Errants ont l’arrogance et l’impétuosité de la jeunesse. Intrépides jusqu’à l’inconscience. Lorsqu’un duc rassemble une armée en vue d’un combat, les Chevaliers Errants rejoignent en masse sa bannière dans l’espoir de prouver leurs compétences martiales. Ils chargent au cœur de l’armée ennemie sans se soucier du danger, se couvrant d’honneur ou connaissant une fin glorieuse. Ceux dont le talent et la bravoure leur permettent de survivre rejoignent alors les rangs des Chevaliers du Royaume.

Chevaliers du Royaume

Une fois qu’un Chevalier Errant a prouvé sa valeur, il devient Chevalier du Royaume. Ces derniers forment la majorité de la noblesse bretonnienne et inspirent le respect. Dès qu’il est fait Chevalier du Royaume, le noble se voit confier la responsabilité d’administrer un domaine, généralement constitué de quelques terres, d’un village et d’un château. Le Chevalier lui-même jure fidélité à un noble de rang supérieur.

Le Chevalier du Royaume a le devoir de défendre ses gens et ses terres, on attend de lui qu’il protège seul son domaine contre toutes les menaces extérieures. Si la situation est plus grave, il peut armer des hommes du village pour l’assister au combat ou encore accueillir sa population dans l’enceinte de son château le temps que les renforts d’autres seigneurs arrivent. Plus que tout, un Chevalier doit respecter l’esprit chevaleresque et suivre ses principes. Le plus important d’entre eux est de répondre à l’appel aux armes de son suzerain, par devoir.

Chevaliers de la Quête

Depuis la lointaine époque de Gilles l’Unificateur, le Saint Graal a toujours été le symbole le plus fort de la chevalerie bretonnienne et le but ultime de tout Chevalier. Si l’un d’entre eux se lançait dans la Quête du Graal, il renonçait à toutes ses possessions. Il confiait dès lors sa lance et par là même la responsabilité de son domaine, à un autre le temps de terminer sa quête. Aujourd’hui encore le chemin d’un Chevalier de la Quête est long et difficile car les années d’errance qui suivent sa décision regorgent d’aventures épiques qui fortifieront son âme et son corps.

Les Chevaliers de la Quête mènent une existence solitaire et n’ont que leur foi comme compagne. Guidé par des visions de la Dame et du Graal. Sa quête ne connaît pas de frontière et il n’est pas rare qu’elle le mène bien au-delà des limites des cités de Sigmar. Il doit prouver sa valeur aux yeux de la Dame, accomplissant des actes de charité, tuant des monstres ignobles et affrontant des adversaires terrifiants, en duel ou sur les champ de bataille. Il garde toujours son but à l’esprit, espérant que ses efforts seront récompensés par une gorgée du Saint Graal. Peu de Chevaliers y parviennent, beaucoup meurent au combat contre quelque atroce créature tandis que d’autres passent une vie entière à le chercher sans succès, l’esprit dévoré par cette obsession.

Chevaliers du Graal

Ce n’est que lorsqu’un Chevalier de la Quête a prouvé que sa pureté et sa valeur ne font plus de doutes que la Dame du Lac peut lui apparaître, le récompensant non seulement de la vision du Saint calice, mais également de la possibilité d’y tremper ses lèvres. En vérité, bien peu se voient accorder un tel honneur. S’ils sont ainsi honorés, ils changent alors pour toujours, leur espérance de vie devient plusieurs fois celle d’un humain et ils gagnent des dons extraordinaires. C’est à partir de cet instant que le Chevalier devient un serviteur exclusif de la Dame et du Graal. Ce lien ne peut être brisé que par sa mort. D’ordinaire, il sacrifie une vie confortable pour une existence vouée au service de la Dame. Certains choisissent parfois cette voie après leur quête mais la plupart décident de garder leurs titres et leurs responsabilités pour continuer à servir la Dame d’une autre façon : en défendant ce qui subsiste de la Bretonnie et de ses idées chevaleresque.

Bénis par la Dame, ce sont des adversaires redoutables. Les Chevaliers du Graal inspirent respect à tous, aussi bien aux paysans qu’aux plus grands ducs. Leurs paroles sont celles de la Dame elle-même et pour la populace, ils sont des dieux vivants.

Chevaliers Pégases

Nombre de Chevaliers ont tentés de posséder l’un de ces chevaux ailés. C’est sur les flancs escarpés des hautes montagnes qu’ils vivent. Ce sont généralement les plus riches des Chevaliers du Royaume qui y parviennent, car ce sont des créatures difficiles à capturer et encore plus à dresser. Il est notoire que c’est un signe de richesse.

Les Chevaliers Pégases sont des Chevaliers du Royaume qui ont la chance de s’être adjoint un fidèle Pégase acceptant de les transporter à la bataille.

Un Pégase peut couvrir de grandes distances. Au combat, les Chevaliers Pégases se rassemblent et partent en avant-garde. Leur vitesse permet de harceler les flancs et les arrières de l’ennemi.

Les Pèlerins du Graal et le Reliquaire du Graal

Partout où va un Chevalier du Graal, le suivent des bandes de fanatiques dont le seul but est de vivre dans la lumière de ces surhommes. Obsédés par cette idée, ils récupèrent tous ce dont le Chevalier se débarrasse. Si un Chevalier du Graal venait à mourir au combat, ces suivants se jetteraient sur son corps pour le dépouiller de ce qui pourrait porter la bénédiction de la Dame, c’est-à-dire à peu près tout.

Les Pèlerins sont fanatiquement loyaux aux Chevaliers du Graal et affrontent quiconque ose les bafouer. Au combat, leur dévotion est telle qu’ils se battront souvent jusqu’au dernier homme plutôt que de fuir devant l’ennemi.

Il est fort probable que quelques-uns de ces pauvres hères aient déjà pu commettre l’erreur de prendre pour mort un Chevalier gravement blessé et de le faire périr, mis en charpie par une horde de ces pèlerins déments. La relique la plus révérée d’un Chevalier du Graal est son corps même et de nombreuses bandes de pèlerins trainent avec elles une charrette de bric et de broc sur laquelle trône un cadavre décati… Le reste du reliquaire est un invraisemblable amas des possessions de plusieurs Chevaliers du Graal décédés et issus des quatre coins de l’horizon.

Hommes d’Armes

À chaque été, ses gens se rendent auprès de leur seigneur afin de lui montrer leurs fils, espérant que ceux-ci seront recrutés en tant qu’hommes d’armes. Durant toute une journée, les Chevaliers examinent les candidats. Au crépuscule, les plus forts et les plus chanceux sont choisis pour recevoir un entraînement sommaire et la livrée de leur seigneur.

Les hommes d’armes fournissent au Chevalier des troupes pour surveiller son domaine. Lorsqu’il est appelé aux armes, il en emmènera avec lui et en laissera d’autres au château. Ceux-ci pouvant prendre en charge la protection des villageois jusqu’à son retour. En temps de paix les hommes d’armes remplissent des tâches de routine, surveillant le domaine et patrouillant les terres.

Archers

Battent les tambours et résonne l’appel de la guerre, chaque homme apte à se battre doit servir sous la bannière de son seigneur, renforcé par la promesse d’une récompense pour les survivants de la campagne à venir. Quelques-uns rejoignent les rangs des hommes d’armes, comblant les pertes ou prenant la place des malades, mais la majorité forme des unités armées d’arcs longs.

Au contraire des hommes d’armes, les archers ne sont pas équipés par l’armurerie seigneuriale. Les arcs maniés sont les leurs, souvent transmis de père en fils. Les archers se rassemblent en rangs serrés sur le champ de bataille et font pleuvoir des grêles de traits sur l’ennemi.

Lorsqu’une armée bretonnienne part en guerre, elle est toujours accompagnée par des masses de villageois et de paysans. Elles incluent des hommes d’armes et plus généralement les archers.

Les hommes d’armes et les archers ne sont pas des troupes très fiables s’ils ne sont pas encadrés, mais ils sont capables de faits courageux.

Sergents Montés

Homme d’arme monté, sergent, est le rang ultime auquel un simple roturier puisse aspirer. Cela lui demande des années de service et seul un acte de bravoure peut lui permettre une telle promotion. Étant donné qu’aucun roturier n’a le droit de chevaucher sur les destriers des nobles, les Sergents Montés vont au combat sur des chevaux de trait. Ils sont souvent envoyés en reconnaissance afin de garder informé le gros de la troupe des mouvements ennemis.

Les Sergents sont les plus privilégiés des roturiers et sont souvent à la tête de milice locales ou de guildes. Ce sont les seuls villageois ou paysans autorisés à monter à cheval.

Montures

Pégases Royaux

Descendants des Pégases de la plus pure race, ils ont suivi les Bretonniens refugiés en Azyrheim. Nobles et fiers, les Pégases Royaux sont extrêmement intelligents et font preuve d’une loyauté sans faille envers leur maître.

Seuls les plus riches des nobles possèdent un Pégase Royal, car ils sont devenu incroyablement rares. Ceux assez chanceux pour en avoir un le traitent avec le plus grand respect, comme s’il était de leur propre sang. Chaque seigneur a dans sa suite plusieurs Chevaliers Errants dont la tâche sera de veiller sur son Pégase Royal, son bien le plus précieux.

Hippogriffes

Hippogriffes monstrueux, ils vivent encore dans les plus hauts pics des montagnes du Royaume des cieux. De temps à autre ils s’aventurent sur la plaine pour dévorer quelques têtes de bétails. Ce sont de redoutables créatures qui se battront jusqu’à la mort contre tous les intrus pénétrant sur leur territoire, simple mortel ou dragon. Seuls les hommes les plus déterminés peuvent les chevaucher, car ils sont d’un caractère ombrageux et prompts à désarçonner leur cavalier s’il relâche son attention.

Dompter un Hippogriffe est un défi qu’un seigneur bretonnien ne peut refuser et cela en fait des montures très prisées. Pour être dressé, l’animal doit être capturé très jeune et étant donné l’instinct territorial des Hippogriffes adultes, se procurer un œuf ou un juvénile est excessivement dangereux. Il arrive que de telles missions soient confiées à des Chevaliers Errants afin qu’ils fassent leurs preuves, mais le plus souvent, un duc trouvera des « volontaires » parmi le peuple, promettant une énorme récompense à ceux qui reviendront avec un jeune Hippogriffe en bonne santé.

Destriers Bretonniens

Vigilant face au chaos, les Bretonni ont toujours été renommés pour leur cavalerie et leurs destriers ont toujours été reconnus comme étant les meilleurs du Vieux Monde. D’anciennes histoires racontent comment la lignée originelle de ces animaux a été fortifiée par l’apport de sang issu des chevaux nordiques, apportant ainsi leur endurance et leur tempérament fougueux. D’autres disent qu’ils descendent des destriers des fées eux-mêmes et que leur puissance coule encore dans les veines des chevaux bretonniens d’aujourd’hui. Quoi qu’il en soit, ceux-ci sont si précieux qu’un décret royal vieux de plusieurs siècles interdit leur exportation. Bien évidemment, seul un noble est autorisé à chevaucher de telles montures.

Trébuchets

Les immenses trébuchets sont d’extraordinaire machines de guerre et de siège. Grâce à une série de mécanismes, de leviers et de rouages, le bras d’un trébuchet est mis en position, son extrémité la plus courte lestée d’un énorme contrepoids fait de pièce de maçonnerie. Une fronde géante est fixée à l’autre bout, chargée de pierres, d’énormes rochers ou même de bétail mort. Lorsque le trébuchet est actionné, l’impulsion supplémentaire qu’ajoute cette fronde permet d’envoyer le projectile plus loin et avec plus de force qu’une simple catapulte. Ce sont des machines capables d’envoyer d’énormes projectiles sur l’ennemi, provoquant un carnage en cas de tir précis.

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