Histoire de la Baronnie de Nouailles.

Après avoir demandé l'autorisation à un modo et m'être furieusement posé la question de savoir s'il serait le bienvenu ici, je tente le coup de vous présenter mon background. Cependant s'il se trouve que trop de personnes le déprécie et jugent qu'il n'a rien à faire ici, je le supprime.

Il est un peu daaarrk alors si vous vous sentez l'âme sensible, je vous conseille de ne pas continuer votre lecture. De plus j'ai essayé de faire au plus court alors question narration, c'est pas ca.

Vous êtes encore là, alors c'est parti.

Histoire de la Baronnie de Nouailles.




Dramatis Personae

Tancred, Duc de Quenelles, père de Tancred II
Tancred II, Duc de Quenelles
Guingamor, Chevalier du Royaume puis de la quête puis chevalier Vampire, père de 5 fils et de 2 filles, époux de Chrodegard
Trademant : Chevalier du royaume, vassal et ami de Guingamor
Chrodegard, épouse de Guingamor, mère de 5 fils et de 2 filles
Jasperre : ainé de Guingamor
Carloman: 2ème fils de Guingamor
Aguignen : 3ème fils de Guingamor
Onderic : 4ème fils de Guingamor
Nascien : 5ème fils de Guingamor
Mathilde : fille de Guingamor
Tiphaine : fille de Guingamor
Berenfroy : fils de Trademant et de Chrodegard.
Eléanor : damoiselle du Graal, promise de Jasperre
Morgana, La Fée Enchanteresse.
Louen Cœur de Lion: Roi de Bretonnie.

Synopsis:

Guingamor est envoyé par Tancred en principauté frontalière pour aider les ressortissants bretonniens.
La guerre s'en retrouve difficile et longue. Les principaux adversaires des Bretonniens sont des Morts vivants avec de puissants vampires surtout de type Lahmianes à leur tête. Il s'en suit un carnage de la population, de plus de nombreux frères d’armes passent de vie à trépas à non-vie.
Après une victoire à la Pyrrhus, Guingamor rentre au pays, changé, plus pragmatique. Il rajoute de la pression sur le peuple afin d'augmenter le rendement et la production. Les paysans en ont un peu assez et demandent une entrevue avec Guingamor afin d'alléger leur peine.
Guingamor, choqué par cette demande, fait tout bonnement empaler 50 paysans autour de ses remparts pour l'exemple.
Un beau jour, Guingamor reçoit une visite de Tancred, Duc de Quenelles. La Cour est choquée par la vue et l’odeur des cadavres. Tancred conseille à Guingamor de partir en quête du Graal.
Guingamor n’est pas trop heureux de cette mission : a quoi bon partir en quête de mystères alors qu’il a tant de problèmes a résoudre. En plus laisser sa femme gérer les affaires…
Guingamor part, laissant Trademant au poste de régisseur. Il n’est vraiment pas content de partir.
Il est visité en rêve par une Dame vêtue de noir et portant un Graal remplit de sang qui lui murmure des promesses de pouvoir et de vengeance.
Au château, Trademant veut asseoir son pouvoir au profit de Chrodegard. Il rumine sa jalousie qui se mue en colère puis en haine au fil des mois.
Mathilde et Tiphaine disparaissent mystérieusement, kidnappées par les "fées".
Après un banquet où Chrodegard a rabattu son claquet à Trademant, ce dernier rejoint Chrodegard pour lui expliquer son point de vue sur la question. Le ton monte et après avoir reçu une gifle, Il tente de la tuer puis se ravise et ne fait que la violer. Ayant repris ses esprits, il s’enfuit retrouver Guingamor.
Chrodegard est devenue enceinte et muette à cause du traumatisme. Les enfants ne comprennent pas ce qu’il se passe.
Guingamor et Trademant découvrent la Dame noire et boivent à son calice. Elle les mord pendant qu’ils boivent et deviennent des vampires.
Ils restent avec elle un long moment.
Chrodegard accouche de Berenfroy. Elle l'aime tout autant que les autres même connaissant son origine.
Ils oublient petit à petit l'existence de Mathilde et de Tiphaine. En effet, leurs souvenirs d'elles sont peu à peu effacés par les "fées".
Guingamor revient au château, clamant qu’il a trouve le Graal. Trademant reste caché.
Guingamor découvre l'existence de Berenfroy et décide de le prendre sous son aile et de l'éduquer seul.
Il est invite par Tancred Ier pour fêter sa réussite. Guingamor tente d'assassiner Tancred Ier mais par un malheureux concours de circonstance, c'est Godefroy, le fils ainé du Duc qui est emporté dans lla tombe. Guingamor, déçu d'avoir raté son coup, s’enfuie chez lui avec l’aide de Trademant.
Tancred, futur Tancred II, le fils cadet du Duc est à présent destiné à prendre les rênes du Duché à la mort de son père. Celui-ci réunit une armée et assiège le château de Guingamor afin de venger son fils.
Chrodegard et ses fils sont emprisonnés dans la chambre seigneuriale au sommet du donjon.
Les hommes d’armes fidèles à Guingamor, renforcés par de nouvelles troupes plus mortes que vivantes tiennent le coup.
La nuit tombe et alors que Morrslieb s'élève dans le ciel, de plus en plus présente, les troupes de Tancred Ier pénètrent dans le château. Alors que Guingamor et Trademant fuient le combat vers la chambre seigneuriale, la bataille fait rage dans la cour et on ne compte plus les morts.
La lune maléfique semble être fixée sur le donjon alors que minuit approche.
Guingamor commence un étrange rituel. Il doit profiter du carnage ambiant pour concentrer les énergies magiques dégagées par les morts sur le donjon où le sacrifice de sa famille sera la clef de voute. Les enfants sont attachés et surveillés par Trademant alors que Guingamor commence par sa femme. Alors qu'elle est torturée, Chrodegard regarde ses enfants avec compassion et sans une larme. Une étrange aura commence à se dessiner autour d'elle. Ses lèvres se meuvent et la chanson de Gilles se fait entendre par dessus le vacarme. La voix paraît irréelle. Guingamor n'arrête pourtant pas son affaire.
Trademant est attiré par ce spectacle cruel. C'est à cet instant que Jasperre en profite pour échapper à la vigilance de Trademant et se rue sur son père. Celui-ci réplique d'un violent soufflet et Jasperre s'étale à terre avec une marque indélébile sur le visage.
Alors que l'aura s'intensifie, la chanson de Gilles s'achève en même temps que la vie de Chrodegard. Lors de son dernier souffle, une explosion de lumière pure inonde la chambre puis tout le château. Cette fois ce sont les cris de Guingamor et de Trademant qui se font entendre.
Alors que la lumière se dissipe et que les yeux s'adaptent à l'obscurité, Ces deux derniers ont disparus en même temps que Berenfroy. Les morts vivants ne sont plus animés et les troupes de Tancred Ier reprennent rapidement le contrôle de la bataille.
Les hommes d'armes qui affrontaient Tancred Ier sont massacrés alors qu'ils tentaient de se rendre.
Tancred Ier pénètre dans la chambre avec sa suite et découvre les restes de Chrodegard ainsi que les enfants qui peinaient à se libérer de leur liens.
Au petit matin après avoir fait le décompte des blessés et brulé les cadavres des roturiers, Tancred Ier réunit sa cour dans la salle seigneuriale et annonce la confiscation des terres de Guingamor et la destitution de toute sa lignée.
Alors que Tancred Ier jette dehors les frères restants comme de simples roturiers, La Fée Enchanteresse apparaît et annonce que la Dame a entendu l'appel de Chrodegard et bien que la lignée soit destituée, la déesse souhaite que les fils ne perdent pas leur rang de chevalier. De plus ils recevront l'aide du chevalier de Sinople dans les moments les plus durs de leur existence. Ils ne possèdent plus de nom mais reçoivent un écu azur(couleur de Quenelles), mantelé de sinople (représentant le soutien du chevalier du chevalier de Sinople) à filière d'argent (représentant l'aura de la Dame) qui représente leur nouveau blason.
C'est à eux maintenant de se trouver un nom et un domaine s'ils en sont capables.
C'est ainsi que les 5 frères se retrouvent tous chevaliers errants.
Mais pas de nom ni de titre de chevalier du royaume sans terre.
Où qu'ils aillent, ils sont mal reçus et leur honneur est mis à l'épreuve.
Pendant ce temps, Guingamor et Trademant s'en retournent vers leur Dame noire, qui, très mécontente que le rituel ait échoué, leur impose de domestiquer un dragon spécifique, un des derniers grand wyrms blancs de Norsca.
Lors de leurs épreuves, les frères se retrouvent souvent associés à d'autres chevaliers errants et damoiselles dont les réactions vis à vis d'eux sont très partagées. Ou on les considère avec mépris en ne voyant que le déshonneur de leur absence de nom ou au contraire on voit leur effort pour retrouver leur condition de chevalier et leur volonté de servir la Dame et le Roi.
Ils rencontrent des compagnons fidèles et Jasperre arrive même à se faire aimer par une damoiselle du Graal, Eléanor, qui voit en lui l'homme défiguré, à jamais marqué par la déchéance de son père mais elle voit aussi le cœur troublé qui cherche à racheter le fait de ne pas avoir sauvé sa mère par une dévotion sans faille pour la Dame. Il promirent de s'unir une fois qu'ils auront trouvé une terre et un nom.
Pendant ce temps, Tancred Ier succombe face à Heinrich Kemmler lors d'une bataille qui restera dans les annales, celle du pont de Monfort. C'est naturellement Tancred, le fils de Tancred Ier qui devient Tancred II et hérite du duché.
Guingamor et Trademant réussirent leur mission et retournèrent à leur maitresse. Berenfroy est élevé par la Dame noire dans la perversion la plus totale. Ils montent une armée afin d'envahir le duché de Quenelles. Ils commencèrent l'invasion.
Le Roi, à ce moment en visite au duché de Quenelles car il faisait une tournée d'inspection de ses vassaux, rassemble une gigantesque ost pour contrer cette menace.
Après moult escarmouches, la bataille finale arrive.
Les frères sans noms et leurs compagnons rejoignent l'armée mais ils sont considérés indignes de chevaucher avec le reste des chevaliers et ils doivent rejoindre les péons maniant l'arc et les servants des trébuchets. Ils doivent surtout protéger les quelques Damoiselles qui préviennent l'armée de la magie corrompue de leurs ennemis.
Alors que les chevaliers mettent genoux à terre pour prier la Dame, ils ont la vision de Guingamor sous des traits corrompus chevauchant un dragon blanc. Tancred II promet le titre de marquis à qui occirait le monstre.
Le Roi Louen Cœur de Lion mena la bataille, juché sur son hippogriffe.
Au plus fort de la bataille, les chevaliers semblèrent plus forts car les rangs innombrables des morts vivants avaient du mal à se reformer suite aux dissipations des sorts ennemis par les damoiselles.
Les frères affrontèrent les charognards volants envoyés par l'ennemi pour réduire à néant les soutiens des chevaliers.
Guingamor, ne comprenant pas pourquoi les chauves souris géantes qu'il avait envoyé ne parvenaient pas à faire taire les machines de guerre et les damoiselle, quitta le combat et s'envola vers la zone de déploiement adverse.
Il fût surpris de retrouver ses fils mais cela n'avait pas d'importance.
Eux furent partagé entre les souvenirs de leur père et la haine qu'ils avaient contre le monstre qu'il était devenu.
Le dragon ravagea les rangs des archers et tua quelques damoiselles.
Ils essayèrent de contenir le dragon comme ils purent. Les trois damoiselles restantes dont Eléanor parvinrent à enraciner le dragon grâce à leur pouvoir. Jasperre enfourcha un destrier et, portant l'écu donné par Morgana, s'élança à la charge. Les autres combattirent avec peine leur père et plusieurs furent blessé. Jasperre enfonça sa lance dans le cœur de son père qui fût projeté à terre. Jasperre mis pied à terre pour l'achever. Celui-ci, dans un rire, lui promis que tout espoir était vain et que la Dame noire aurait le dessus quoiqu'il arrive. Ce ne seraient ni eux ni leurs sœurs ici présentes qui allaient l'empêcher de régner sur toute la Bretonnie. Le temps de l'honneur et de la bravoure était fini pour les chevaliers bretonniens.
Il avait en effet reconnu ses filles et c'est comme ceci que les frères et les soeurs prirent connaissance de leurs liens de parenté.
Jasperre fut choqué par cette annonce comme ses frères et ses soeurs désormais unis.
Le sort d'enracinement prit subitement fin et le dragon se libéra de ses liens. Ils cracha son souffle mortel sur les damoiselles. Les chevaliers tentèrent de les protéger mais Mathilde succomba malgré tout. Jasperre s'élança sur le dragon mais celui ci l'attrapa dans sa gueule et l'avala. Puis il se prépara à répandre son souffle sur les chevaliers médusés.
Il fût pris d'un spasme et balança sa tête de tout les cotés. Il étouffait.
Pensant que c'était leur frère qui rendait le dragon fou de douleur, ils profitèrent de la faiblesse du monstre pour le décapiter.
Ils fouillèrent le corps du dragon mais ils ne retrouvèrent que quelques morceaux intacts de leur frère bien aimé. C'était le bouclier donné par La Fée, qui s'était coincé dans la gorge de la bête, qui avait permis aux chevaliers de le terrasser.
Pendant ce temps, les morts vivant purent engluer les chevaliers par leur nombre mais un tir de trébuchet chanceux aplatit un des nécromanciens, dissipant ainsi tout un pan de l'armée. Profitant de cette brèche, les bretonniens lancèrent une nouvelle charge qui à terme mit fin aux ambitions des seigneurs de la nuit.
On retrouva Trademant parmi les victimes mais plusieurs chevaliers dirent avoir aperçu un autre vampire, plus puissant que Trademant ou même Guingamor, qui se serait échappé.
Tancred II reconnut que les frères avaient vaincu le dragon mais que comme ils ne possédaient pas de terre et au vu de leur origine, ils ne pouvaient devenir marquis.
Louen lui même approcha, se fit conter toute l'histoire et considérant la prouesse de ces chevaliers errants et la mauvaise foi du duc, obligea celui-ci à lui céder les terres sur lesquelles ils se trouvaient, le territoire de Nouailles. Puis ils fit agenouiller les frères, les adouba et remit au plus vieux des quatre restants, Carloman, le titre de baron de Nouailles. Cela signifiait qu'ils devenaient les vassaux directs du roi et qu'ils n'auraient à répondre qu'à lui. Il leur donna aussi la mission de purifier le territoire et d'empêcher toute incursion de ce côté de la Bretonnie. Quand au duc, il lui fit remarquer qu'il n'était pas encore parti en quête et le lui conseilla fortement de le faire. C'est pour cela que, sur le blason du duché de Quenelles, figure la Fleur de Lys, symbole de la quête.
Carloman, accompagné d'Eléanor, de ses frères et de sa sœur à peine retrouvée, enterrèrent Jasperre et Tiphaine. Jasperre étant décédé, la marque d'infamie qu'il portait sur le visage n'était plus. Ils reprirent une nouvelle vie et appliquèrent une tête de dragon argent sur leur blason, symbole de la mort de leur honte et de la naissance de leur nouvelle vie à servir la Dame.
Ils partirent tous en quête le jour suivant laissant Eléanor et Tiphaine le soin d'administrer le domaine. Ils étaient conscient qu'ils ne pourraient trouver le Graal qu'après avoir expié leur passé.
Carloman, Aguignen et Nascien y arrivèrent finalement mais Onderic était trop rempli de rancœur et il comprirent qu'ils ne pourrait jamais trouver le Graal. Ils lui donnèrent la mission de porter la Grande bannière au combat lorsque la baronnie partirait en guerre afin de l'avoir de temps en temps avec eux.
Les compagnons des frères ainsi que de nouveaux chevaliers devinrent les vassaux de Carloman et ils gardèrent leur blason mais durent les modifier un peu pour porter les couleurs azur, sinople et argent de leur suzerain.
On les surnomme désormais les dragons de Nouailles.

L'histoire est intéressante, mais le texte manque de ponctuation et il regorge de fautes. Une bonne relecture serait necessaire.

Oui, bon il y a ça aussi, c'est vrai, mea culpa.
en même temps, je l'ai finit à 3h du mat...

Bon, c'est plutôt sympathique, avec une vision assez sombre de la Bretonnie que personnellement j'aime bien, mais le style parfois télégraphique et les fautes déservent l'ensemble. En retravaillant un tout petit peu ton texte, tu devrais pouvoir en faire un truc plus lisible.

Ensuite, il y a, dirais-je, de l'excès, par moment. Massacrer cinq cent paysans d'un coup, par exemple, même pour un super-vilain de haut vol, c'est un peu gros (en plus d'être fort peu judicieux à bien des égards).

De même, faire intervenir dans l'histoire d'une simple baronnie le duc de Quenelles, le roi de Bretonnie et le Chevalier de Sinople, là aussi, ça fait beaucoup. Pour que Loulou se déplace jusque dans le duché de Quenelles, il faudrait vraiment que l'invasion de Guingamor mette tout le royaume en danger. Quant au Chevalier de Sinople, c'est le protecteur des sites sacrés de Bretonnie, pas un messager de la Dame, et il est d'autre part un peu étrange qu'il daigne s'occuper du sort de quelques malheureux chevaliers.

L'assassinat du duc pose aussi un peu problème, ne serait-ce que parce que c'est suicidaire de la part de Guingamor. On voit mal ce qu'il espérait en tirer ; cela ne pouvait que lui apporter les pires ennuis. L'autre problème va me donner l'occasion de répéter encore une fois (c'est l'une de mes nombreuses manies ) qu'il est dangereux de faire faire (ou de faire subir) n'importe quoi à des personnages importants du monde de Warhammer ; en effet, le méchantissime Heinrich Kemmler a devancé Guingamor : c'est lui qui a tué Tancred de Quenelles (à la bataille du Pont de Montfort, si je ne m'abuse). Cet épisode est donc à revoir, m'est avis, à moins de supposer que le duc a pu mourir deux fois.

Autre truc bizarre, le fait que Guingamor sache que ses deux filles sont devenues des damoiselles du Graal ; on se demande qui le lui a dit, et aussi pourquoi elles ne l'ont pas elles-mêmes dit à leurs frères.

Il y a d'autres choses qui me dérangent un peu, comme le coup des damoiselles qui, lors de la bataille, restent dans les rangs arrières sans protection (comme de l'artillerie, mais en robe de soie ), mais c'est secondaire.

Bref, c'est un bon historique, mais certains points méritent selon moi d'être revus. Bonne continuation, donc.

Edit : J'avais oublié ça...

Deus Ex a écrit:

Alors que l'aura s'intensifie, la chanson de Gilles s'achève en même temps la vie de Chrodegard et lors de son dernier souffle, une explosion de lumière pure inonde la chambre puis tout le château.

C'est une intervention divine, ou Chrodegard est une sorcière qui a échappée à la Fée Enchanteresse ?

Deus Ex a écrit:

Quand au duc, il lui fit remarquer qu'il n'était pas encore parti en quête et le lui conseilla fortement de le faire.

Là, c'est un peu bizarre aussi. La majorité des chevaliers ne se lancent jamais dans la quête du Graal, et il n'y a rien de déshonorant là-dedans.

Voilà, tu as fait connaissance avec le Roi des Pinailleurs.

Re-edit (pinailler, c'est un tout un art) :

Deus Ex a écrit:

Le roi rassembla une gigantesque ost pour contrer cette menace.

UN ost, par les couilles de Gilles le Breton, UN ost ! Qu'est-ce que vous avez tous à écrire une ost ?

Baron Guilhem de La Tour a écrit:

Bon, c'est bien sympathique, mais le style parfois télégraphique et les fautes déservent l'ensemble. En retravaillant un tout petit peu ton texte, tu devrais pouvoir en faire un truc plus lisible.

Oui je sais . Désolé, je ferais ça quand j'en aurai le temps, c'est promis.

Citation :

Ensuite, il y a, dirais-je, de l'excès, par moment. Massacrer cinq cent paysans d'un coup, par exemple, même pour un super-vilain de haut vol, c'est un peu gros (en plus d'être fort peu judicieux à bien des égards).

C'est Trotro mystérieux? Il aurait été implicitement poussé par la Dame Noire afin qu'il soit envoyé en quête afin qu'il la rencontre en personne et qu'elle accomplisse son plan.

Citation :

De même, faire intervenir dans l'histoire d'une simple baronnie le duc de Quenelles, le roi de Bretonnie et le Chevalier de Sinople, là aussi, ça fait beaucoup. Pour que Loulou se déplace jusque dans le duché de Quenelles, il faudrait vraiment que l'invasion de Guingamor mette tout le royaume en danger. Quant au Chevalier de Sinople, c'est le protecteur des sites sacrés de Bretonnie, pas un messager de la Dame, et il est d'autre part un peu étrange qu'il daigne s'occuper du sort de quelques malheureux chevaliers.

Ben je me suis dit que la Bretonnie ne doit pas être bien grande et qu'un duché qui se fasse attaquer, c'est plutôt un évènement important et ça ne doit pas arriver toutes les semaines . Je me suis dit aussi que les persos dits spéciaux tels que Louen et le chevalier de Sinople n'apparaissent pas seulement quand un général du Chaos Trotrofoore tente d'envahir le vieux monde. C'est pour ça que j'ai voulu les inclure. Le chevalier de Sinople a quand même des liens fort avec la dame, non? Et puis c'est pour donner une explication au vert que je mets sur les blasons de mes chevaliers tout en ne faisant qu'une petite entorse à la logique GW.

Citation :

L'assassinat du duc pose aussi un peu problème, ne serait-ce que parce que c'est suicidaire de la part de Guingamor. On voit mal ce qu'il espérait en tirer ; cela ne pouvait que lui apporter les pires ennuis. L'autre problème va me donner l'occasion de répéter encore une fois (c'est l'une de mes nombreuses manies ) qu'il est dangereux de faire faire (ou de faire subir) n'importe quoi à des personnages importants du monde de Warhammer ; en effet, le méchantissime Heinrich Kemmler a devancé Guingamor : c'est lui qui a tué Tancred de Quenelles (à la bataille du Pont de Montfort, si je ne m'abuse). Cet épisode est donc à revoir, m'est avis, à moins de supposer que le duc a pu mourir deux fois.

Oups, je ne savais pas... mouais... je vais voir comment changer ça... en même temps c'est pas comme le flouffe GW était super cohérent mais un perso qui meurt 2 fois, c'est vrai que ça fait beaucoup.

Citation :

Autre truc bizarre, le fait que Guingamor sache que ses deux filles sont devenues des damoiselles du Graal ; on se demande qui le lui a dit, et aussi pourquoi elles ne l'ont pas elles-mêmes dit à leurs frères.

Je voulais qu'il se souvienne d'elles, car il les a connu quand elles étaient plus jeunes ; pas comme ses frères dont leurs souvenirs d'elles auraient été effacés par les "fées". Il révèle ainsi leur origine aux damoiselles qui, elles aussi l'avait oublié, réunissant ainsi la famille "sans nom".

Citation :

Il y a d'autres choses qui me dérangent un peu, comme le coup des damoiselles qui, lors de la bataille, restent dans les rangs arrières sans protection (comme de l'artillerie, mais en robe de soie ), mais c'est secondaire.

Comme je n'ai pas encore joué avec les Bretos, Je ne suis pas trop au point avec la stratégie de cette armée. Je les imaginaient un peu comme des sorciers impériaux à cette échelle de bataille.

Citation :

Bref, c'est sympa, mais certains points méritent selon moi d'être revus. Bonne continuation, donc.

Merci, ça fait quand même super plaisir

Deus Ex a écrit:

Citation :

Ensuite, il y a, dirais-je, de l'excès, par moment. Massacrer cinq cent paysans d'un coup, par exemple, même pour un super-vilain de haut vol, c'est un peu gros (en plus d'être fort peu judicieux à bien des égards).

C'est Trotro mystérieux? Il aurait été implicitement poussé par la Dame Noire afin qu'il soit envoyé en quête afin qu'il la rencontre en personne et qu'elle accomplisse son plan.

Que Guingamor soit un fou sanguinaire manipulé par cette mystérieuse Dark Dame, soit. Mais cinq cents personnes, c'est la population d'une bourgade. Pour massacrer autant de monde d'un coup, il faut une armée entière, et je vois mal comment ça peut ne pas finir en mutinerie de ladite armée ou en révolte sanglante des paysans qui restent (qui étaient déjà un peu remontés, selon ton texte ) ; si rien de tout cela n'arrive, le responsable, même noble, a sans doute peu de chance d'échapper au bannissement et à la mort.

Tout ça pour dire que c'est le nombre que je trouve peu réaliste, pas le massacre en lui-même. Cinquante paysans empallés, soit dix fois moins, ce serait déjà pas mal (et ça justifierait amplement de se lancer dans la quête du Graal pour se racheter).

Deus Ex a écrit:

la Bretonnie ne doit pas être bien grande et qu'un duché qui se fasse attaquer, c'est plutôt un évènement important et ça ne doit pas arriver toutes les semaines . Je me suis dit aussi que les persos dits spéciaux tels que Louen et le chevalier de Sinople n'apparaissent pas seulement quand un général du Chaos Trotrofoore tente d'envahir le vieux monde. C'est pour ça que j'ai voulu les inclure.

La Bretonnie, c'est à peu près la France, donc ce n'est pas si petit que ça. Si Louen se déplace, il le fait avec son armée, ce qui est lourd de conséquences et très, très lent (d'autant plus que Quenelles est un duché situé très au sud quand Couronne est on ne peut plus au nord). Il faut donc qu'il soit prévenu longtemps à l'avance, et qu'il juge la menace suffisamment importante pour se déplacer.

Ensuite, si, la Bretonnie est attaquée en permanence, on est dans le violentissime monde de Warhammer. Sérieusement, un duc a de quoi se défendre contre à peu près n'importe quoi, sauf exception genre invasion d'Archaon le Tro Forre (mais c'est rare ), donc pour moi (ce n'est que mon avis, hein), si Louen se trouvait dans le duché de Quenelles, ce ne pouvait être que par hasard (ceci dit, c'est possible).

En bref : si le duc de Quenelles intervient, c'est que l'invasion de Guingamor menace tout le duché. Si Louen intervient, c'est que le royaume entier est en danger, à moins qu'il ne soit là pour une autre raison et ne décide de donner un coup de main tant qu'il est là.

Mais bon, c'est ton historique, donc tu peux faire un peu ce que tu veux, et si la présence de Louen t'arrange, ne change rien.

Deus Ex a écrit:

Le chevalier de Sinople a quand même des liens fort avec la dame, non?

Sans aucun doute, mais c'est un combattant, pas un messager. C'est la Fée Enchanteresse qui peut s'occuper de transmettre les consignes de la direction. Et pour une affaire somme toute mineure, comme celle-ci, ce serait plutôt le boulot d'une Damoiselle du Graal particulièrement influente (et je vois mal un duc rejeter l'avis d'une Damoiselle).

Deus Ex a écrit:

Et puis c'est pour donner une explication au vert que je mets sur les blasons de mes chevaliers tout en ne faisant qu'une petite entorse à la logique GW.

Je n'ai moi non plus aucune envie de renoncer au vert ; je me dis donc tout simplement que la baronnie de La Tour fait un usage un peu particulier des couleurs héraldiques, et c'est tout. Dans un pays aussi vaste que la Bretonnie, il y a forcément des exceptions aux sacro-saintes règles héraldiques.

Deus Ex a écrit:

Citation :

Autre truc bizarre, le fait que Guingamor sache que ses deux filles sont devenues des damoiselles du Graal ; on se demande qui le lui a dit, et aussi pourquoi elles ne l'ont pas elles-mêmes dit à leurs frères.

Je voulais qu'il se souvienne d'elles, car il les a connu quand elles étaient plus jeunes ; pas comme ses frères dont leurs souvenirs d'elles auraient été effacés par les "fées". Il révèle ainsi leur origine aux damoiselles qui, elles aussi l'avait oublié, réunissant ainsi la famille "sans nom".

Ah, comme ça, ça tient debout. Mais dans ce cas, je crois qu'il faudrait le dire explicitement dans le texte.

Deus Ex a écrit:

Citation :

Il y a d'autres choses qui me dérangent un peu, comme le coup des damoiselles qui, lors de la bataille, restent dans les rangs arrières sans protection (comme de l'artillerie, mais en robe de soie ), mais c'est secondaire.

Comme je n'ai pas encore joué avec les Bretos, Je ne suis pas trop au point avec la stratégie de cette armée. Je les imaginaient un peu comme des sorciers impériaux à cette échelle de bataille.

C'est moins une question de stratégie que de coutumes. Les Damoiselles sont à la fois des magiciennes et ce qui se rapproche le plus de prêtresses de la Dame. Je les vois donc plutôt accompagner les chevaliers au combat que rester en arrière. En tout cas, aucun noble ne les laisserait sans protection sur le champ de bataille.

Baron Guilhem de La Tour a écrit:

Je n'ai moi non plus aucune envie de renoncer au vert ; je me dis donc tout simplement que la baronnie de La Tour fait un usage un peu particulier des couleurs héraldiques, et c'est tout. Dans un pays aussi vaste que la Bretonnie, il y a forcément des exceptions aux sacro-saintes règles héraldiques.

Comme les armes à enquerre

J'ai tenté une relecture et corrigé pas mal de fautes mais je suis certain qu'il en reste un bon paquet. J'ai aussi corrigé quelques incohérences précisées ci-dessus.
J'ai absolument besoin de la présence de Louen pour la simple raison que lui seul peut accorder le titre de baron.
J'ai dit que la présence des chevaliers à l'arrière de l'armée est pour protéger les damoiselles.
Je pense que le texte est plus facile à comprendre mais je n'ai pas encore trouvé de solution pour Tancred qui meurt 2 fois et j'aurais aimé garder le duché de Quenelles. Et puis pourquoi ce serait à moi et pas à GW de modifier son flouffe?
Si quelqu'un a une petite idée?

C'est quand même marrant que tout le monde, moi y compris veut faire son flouffe bien distinct de celui de GW mais pas trop : baronnie mais pas duché existant, héraldique pas "conforme", etc...

Les armes à enquerres sont remarquables pour bien montrer que, de part leur spécificité, elles sont au dessus des règles d'héraldique. Comme le blason de Jerusalem qui était de mémoire croix Or sur fond Argent.

Si tu es fils aîné ou le plus vieux cadet encore vivant d'un baron, n'es-tu point baron d'office à la mort ou à l'abdication de ton père ?
M'étonnerait que Louen se déplace à chaque fois qu'un baron meurt, si ?

Non, bien sur mais dans mon cas, il s'agit de la création d'un baronnie, c'est à dire un province qui n'appartient à aucun duché. Comme le baron est le vassal direct du Roi, c'est à lui de l'adouber.

Pourquoi ne pas l'affilier à un Duché ?

Je suis Comte, je suis affilié au Duché de Moussillon (bien que n'ayant pas été nommé comte par l'inexistant duc de Moussillon mais par la destitution du comte d'Andragon (qui était un enfant de 7 ans), dont je me suis approprié le titre et le domaine en étant le seul réclamant, domaine que j'ai renommé Castagne comme la baronnie de feu mon père Dregor de Castagne), et j'ai comme vassaux des Barons, qui eux-mêmes ont pour vassaux des Chevaliers.

Mais c'est parce que Castagne est un tout petit comté. Normalement un comte peut avoir comme vassaux des vicomtes, qui eux-mêmes ont pour vassaux des vidames, eux-mêmes ayant pour vassaux des barons, eux-mêmes ayant pour vassaux des chevaliers, eux-mêmes étant suzerains des écuyers.

En fait, selon le supplément JdR sur la Bretonnie, que je n'ai pas pour l'instant mais que je cite de mémoire, les titres de noblesses ne sont pas comme des grades : un baron n'est pas moins fort qu'un comte, ...
Une baronnie est un mini-duché car il est directement sous l'autorité du Roi comme un duché mais en infiniment moins puissant...
Un marquis, par exemple est un noble qui possède un territoire dangereusement exposé aux attaques et qui reçoit la mission de le protéger. Ca peut être un territoire frontalier dont la survie est vitale pour toutes les terres qui s'étendent au delà. Il arrive d'ailleurs que le titre de marquis qoit vu comme une punition.
En ce qui concerne le comte, je ne sais plus.
Sinon, il n'y a pas d'intermédiaire entre le titre de Duc et celui de Chevalier.
Tous les vassaux d'un duc sont des chevaliers, le reste est purement honorifique.

Enfin chacun fait comme il veut, n'est-ce pas

Ah bon. Il faudra que je relise mon supplément JdR alors.

Deus Ex a écrit:

Enfin chacun fait comme il veut, n'est-ce pas

Tout à fait d'accord, après tout l'univers de warhammer est vaste et tout est possible (quoique pour que le roy se déplace tout de même...).
Par exemple moi, étant Moussillonais de coeur (j'adore les causes desespérées), j'ai choisi, plutôt que de faire un chevalier amer et noir, une chevalière plein d'espoir casseuse de morbacs suceurs de sang et autres parasites. Tout ça pour dire que j'applaudis ton texte, même s'il n'est pas parfait, car tu prends des libertés pour te faire ton chti duché perso. après tout, c'est souvent en personnalisant qu'on prend du plaisir...

La comtesse Hélène de Grismerie

Shenlys a écrit:

Tout à fait d'accord, après tout l'univers de warhammer est vaste et tout est possible (quoique pour que le roy se déplace tout de même...).

Mais si, il est trotrofoore le Roi et puis il a une reputation de guerrier qui a combattu dans moult bataille. Et puis s'il attend sur son trone que la Bretonnie soit envahie pour commencer a bouger, il doit s'ennuyer grave.

Citation :

Tout ça pour dire que j'applaudis ton texte

Merci beaucoup, au moins d'avoir pris le temps de le lire.

Bon, j'ai survolé le texte et les corrections que j'ai remarquées sont à mon sens les bienvenues.

L'intervention de la Fée Enchanteresse me convainc bien plus que celle du Chevalier de Sinople, et peut selon moi tout à fait justifier l'usage du vert sur les blasons ; après tout, la Dame est aussi une déesse de la nature.

Deus Ex a écrit:

J'ai absolument besoin de la présence de Louen pour la simple raison que lui seul peut accorder le titre de baron.

C'est ce que je supposais...

Dans ce cas, si tu tiens à un titre de baron pour Carloman, tu as sans doute raison de conserver l'intervention de Louen. On pourrait essayer de contourner la difficulté en supposant par exemple que le duc confie à Carloman un domaine qui était déjà une baronnie auparavant, en admettant qu'il en ait le pouvoir, ce qui est loin d'être évident ; mais ta solution est plus simple et plus convaincante -et puis c'est quand même plus valorisant de faire intervenir Louen, faut bien se faire plaisir de temps en temps.

Reste à savoir ce qu'il faisait là, mais on peut toujours se dire qu'il venait de repousser quelque invasion majeure de peaux-vertes (ou de n'importe quoi d'autre ) et qu'il se trouvait donc fort opportunément dans la région avec ses troupes -mais tu n'es pas obligé d'aimer cette version, et d'ailleurs ton texte n'a pas vraiment besoin de préciser ça.

Deus Ex a écrit:

Je pense que le texte est plus facile à comprendre mais je n'ai pas encore trouvé de solution pour Tancred qui meurt 2 fois et j'aurais aimé garder le duché de Quenelles. Et puis pourquoi ce serait à moi et pas à GW de modifier son flouffe?
Si quelqu'un a une petite idée?

Le premier Elu du Chaos, le regretté Morcar (ou Morkar ?), est lui aussi mort deux fois selon GW, si je ne m'abuse. Il doit y avoir un bouquin qui dit qu'il s'est fait poutrer par Aenarion et un autre qui déclare sans rire que c'est Sigmar qui s'en est chargé. Mais ne te sens pas obligé d'être aussi incohérent que GW.

Bon, pour rendre ton texte plus flouffiquement correct, il suffit selon moi de remplacer Tancred par un membre important de sa cour, un de ses parents par exemple. Ce meurtre révèle la folie de Guingamor, et pousse le duc a se débarrasser de ce vassal désobligeant. Bref, l'épisode reste presque le même.

Dernière précision, si ton histoire se déroule avant la fatidique année 2495 (du calendrier impérial, bien évidemment), le duc sera Tancred Ier ; après, ce sera Tancred II (je suppose hardiment que la succession se fit immédiatement et sans anicroche ).

Deus Ex a écrit:

C'est quand même marrant que tout le monde, moi y compris veut faire son flouffe bien distinct de celui de GW mais pas trop : baronnie mais pas duché existant, héraldique pas "conforme", etc...

C'est que la plupart des gens qui font le petit effort de rédiger un texte de flouffe pour leur armée essaient de faire preuve d'originalité tout en inscrivant leur histoire dans le background officiel.

Et pour ma part, j'aime trop le vert pour m'en priver, donc je suppose que les chevaliers de La Tour sont comme moi et qu'ils l'utilisent malgré les règles héraldiques courantes. Faut pas se faire chier, non plus.

Deus Ex a écrit:

Les armes à enquerres sont remarquables pour bien montrer que, de part leur spécificité, elles sont au dessus des règles d'héraldique. Comme le blason de Jerusalem qui était de mémoire croix Or sur fond Argent.

Oui, je crois que c'est ça. C'est l'exemple que l'on cite toujours quand on parle du cas des armes à enquerre (et c'est d'ailleurs le seul qui me vienne à l'esprit, soit dit en passant ).

Deus Ex a écrit:

Et puis s'il attend sur son trone que la Bretonnie soit envahie pour commencer a bouger, il doit s'ennuyer grave.

Louen est duc de Couronne ; à ce titre, et comme tous les ducs, il n'a pas le temps de s'ennuyer. Il pourrait se battre quasiment en permanence sans quitter son domaine si ça lui chantait. Et puis il a ses terres et le royaume dans son ensemble à gouverner.

Donc non, l'excuse « c'est du flouffe GW, donc c'est tro forre et TGCM », c'est bien beau, mais il ne faut pas en abuser.

ca y est, Tancred ne meurt plus 2 fois et le Roi n'est plus en visite par hasard.

Sinon, j'ai dessiné le blason de la Baronnie et ceux de ses chefs et vous pourrez les trouver là