Discussion: Le bouseux tournoi de Géorgie

Le Lord était profondément exaspéré. La séance de doléance se déroulait depuis plusieurs heures et les requêtes que ses vassaux lui soumettaient convergeaient vers un seul et unique cas : celui de Fulbert et de ses affres.

Ce dernier était connu pour être un jeune homme aventureux ayant un succès retentissant auprès des dames de la contrée. Il en résultait un fort ressentiment de la part des maris, des pères et des frères de ces dernières, outrés de le voir voler leurs vertus. Tous réclamaient de le voir châtier en subissant les souffrances les plus exquises et les plus exotiques. Le Lord aurait bien voulu répondre favorablement à leur demande, tant le jeune chevalier était source d'ennui pour sa charge. Mais la promesse faite au défunt père de ce dernier de veiller sur lui l'empêchait d'agir de la sorte. Il lui fallait donc trouver une solution, et éloigner Fulbert de la vindicte collective.

C'est à ce stade de réflexion que l'on annonça un messager de la Cours de Couronne.

- Lord del Insula, j'apporte une missive de la plus haute importance ! Le Baron Georges, sous l'accord du Roi, organise prochainement un tournoi en ses terres. Tout chevalier qui le désire est invité à y participer.
- Fort bien, j'accepte l'invitation avec grand plaisir. Un de mes chevaliers aura l'honneur de défendre mes couleurs, et j'assisterai volontiers à ce tournoi. Transmets mes amitiés au Baron et à notre bon Roi. Pour la Dame !
- Il sera fait selon vos désir, mon Seigneur !

Alors que le messager quittait la salle d'audience, Insula se réjouissait intérieurement. Il avait trouvé l'occasion qu'il espérait. Il enverrait Fulbert concourir. Cependant, une partie de lui-même restait inquiète. Lors du dernier tournoi qui c'était déroulé à la Baronnie de Havras, Fulbert s'était retrouvé mêlé au fameux scandale de l'explosion de la Saincte Cave. Sans parler des agitations nocturnes qu'il avait provoqué là-bas. Il fallait à tout pris éviter que cela ne se reproduise, surtout en cas de présence du Roi.

Le baron Gérald arrêta son cheval lorsqu'il arriva en vue de la grotte, même à cette distance il pouvait apercevoir les symboles profanateurs des homme-bêtes et sentir leurs odeurs… Le chevalier de la quête sortit un parchemin pour le consulter :

Quête principale :
- La quête du Graal : nettoyer le repère du minotaure Huntervil.

Quête secondaire :
- Défier un chevalier de Havras dans un concours de boissons.
- Récolter 10 plumes de Pégase.
- Profaner un 3 temples de Sigmar.
- Escorter le marchand Erotuf.
- Rapporté la jarretelle à demoiselle Élise.

Gérald soupirât en enroulant le parchemin enchanté, que lui avait confié la prophétesse Sophie, pour le guider dans sa quête du Graal. Il était hors de question qu'il perde son temps a escorter un gueux ou à récolter des plumes. Il tapota la sacoche de son cheval, en pensant qui devrait peut-être ramener un jour la jarretelle à sa propriétaire.
Le chevalier dégaina son épée à deux mains, et appliqua la stratégie ancestrale et infaillible des Bretonniens : charger dans le ta en hurlant « pour la Dame ! ». Il occit rapidement les deux Ungos qui gardait l'entrée de la grotte, mit pied à terre et défonça d'un puissant coup de pied la porte rudimentaire qui fermait l'entrée de la grotte en hurlant « Milice ! ».
20 Ungors, 10 Gors, 3 Bestigoes et un dédale de grottes plus tard, Gérald se retrouva devant une porte décorée de crânes. Une pensée le frappa : ses adversaires auraient pu le tuer s'ils l’avaient attaqué ensemble, au lieu de cela il les avait cueillis par petits groupes dans les différents éléments de la caverne. Le vétéran haussa les épaules, au fond cela faisait bien son affaire, il prit une inspiration et défonça la porte décorée de crânes en hurlant une énième fois « Milice ! ».
Le Minotaure laissa poliment le chevalier rentré dans la pièce, avant de de le charger en beuglant. Gérald se jeta en avant, évitant de justesse un coup de hache démesurée qui siffla au-dessus de sa tête, et enfonça son épée dans le cœur de son imposant adversaire. La bête s'effondra, transpercé, en manquant d'écraser son pourfendeur.
Le chevalier de la quête mise 20 minutes à récupérer son épée (c'est tout de même lourd un Minotaure), il consulta à nouveau son parchemin enchanté :

- La quête du Graal : allez tuer le dragon Ysera.
Gérald jura, ce dragon se trouvait à l'autre bout de la Bretonnie ! Il remarqua une nouvelle ligne dans la section « quête secondaire » :
- Gagner le bouseux tournois de Géorgie.
Voilà qui était bien plus à son goût ! C'est qu'il commençait en avoir assez de courir tout le pays ! Le vin et le confort lui manquait. Et puis, il trouvera peut-être un chevalier de Havras là-bas…

Lorsque l’on entend parler de Connardos de Connardie, on ne peut s’empêcher de penser au sobriquet bien utilisé parmi les citoyens bretonniens. Mais pour comprendre ce nom si unique, la question à se poser est plutôt d’où vient cette insulte justement. Si on regarde en détail les contes et histoires bretonniens, on remarque la mention de la baronnie de Connardie. Une petite île au large de des côtes Brionnaises complètement isolée du monde extérieur.

Cet isolationnisme s’expliquant par le fait que les habitants de l’île sont en fait des bretonniens natifs qui ont fui la guerre, les orcs et tout ce qui s’ensuit pour se réfugier sur leur île. Avec les temps, les Connardiens, dont l’instinct de survie primait par-dessus-tout, ont commencé à apprécier de moins en moins leurs voisins continentaux et cet honneur qui leur est si cher. Les Connardiens considérant cela comme de la folie inutilement dangereuse. Cette haine devint si palpable que les bretonniens continentaux ont fini par utiliser le sobriquet de « connard » pour traiter quelqu’un de lâche, couard, condescendant, etc…

C’est ainsi que l’unique héritier de la baronnie, Connardos de Connardie, grandit dans l’ombre de cette image péjorative. Excédé par l’inaction des Connardiens, qui avaient fini par s’y faire, le jeune noble partit sur le continent dans une croisade personnelle pour que le nom de sa famille soit redoré.
Lorsqu’il en entendit parler, le tournoi de Géorgie sembla, pour lui, une belle occasion de prouver sa valeur et ainsi obtenir le respect qui lui faisait cruellement défaut. Même si dans les faits, personne sur le continent ne se souvient de cette petite baronnie isolée…

Connardos de Connardie est de taille moyenne, rien ne le fait sortir de l’ordinaire physiquement parlant. On le remarque surtout par son côté caractériel et sanguin quand il s’agit de sa famille et d’une certaine insulte… Il réprouve par-dessus tout de faire passer l’honneur avant la survie et ne sacrifiera jamais pour une soi-disant « plus grande cause ».
Il tient à son image de marque et ne montrera que du dédain pour les chevaliers continentaux qui de toute façon font de même avec lui.

A lire absolument : https://labretonnie.forumactif.com/t7143-bd-graaleux-malgre-lui

Meilleur cavalier des sergents montés du baron Georges, Gontran malarmé est un descendant d'une ligné de militaires qui servaient les seigneurs de Couronne de génération en génération. Sa maîtrise des armes est telle qu'elle lui a permit d'intégrer la prestigieuse unité de cavalier des "Gueux d'Elites" du baron Georges. Gontran habite dans le quartier des casernes du château et comme tous les gardes de l'unité d'élite, il porte une cotte de maille et quelques protections de plates fournie par le baron. Gontran porte aussi une barbe brune et manie un morgenstern.

Von Essen est un ancien bourgmestre d'une petite ville impériale, devenu un vampire assoiffé de sang et de gloire, constamment à l'affut de nouvelles expériences que la vie éternelle peut lui offrir. Il a des espions un peu partout dans le Vieux Monde, et a pour ambition de noter dans ses archives les moindres événements qui lui semblent d'importance. Il a ainsi entendu parler de ce tournoi, exceptionnellement ouvert à un manant, qui plus est promettant à ce manant d'obtenir le titre de chevalier. Von Essen a décidé sur le champ qu'il volerait à ce mortel et le titre, et la gloire !
Rien ne vaut en plus une nouvelle occasion d'humilier les mortels, et montrer la supériorité des vampires...
Il nourrit par ailleurs de tendres sentiments envers une gente vampiresse, et compte bien lui montrer sa valeur au tournoi ! Elle lui a soufflé qu'elle y serait présente incognito, parmi les dames de la cour...  

Portant de gueules aux deux clés d’argent passées en sautoir, au chef cousu de sinople chargé des lettrines A et D antiques d’ord, de taille moyenne, le crane luisant et sa longue barbe brune hirsute, le seigneur Estienne d’Ajol, fils d’Alain, gouverne une petite terre sans richesses quelque part dans une vallée de la baronnie de Lorraine. La seule activité de la petite bourgade d’Ajol réside dans la conception de sa fameuse andouille. Cette étrange mixture mélangeant viande et estomac de porc, d’obscures épices et de vin blanc, le tout fumé au bois de hêtre, et réputée dans toute la région.

Le Comte Estienne règne sans ambition sur les terres du val d’Ajol, rendant la justice avec une absence totale de sévérité. Il faut dire que les occupations ne sont guère légion, et pourchasser les voleurs de poule reste un loisir comme un autre. En de rares occasions, des bandits de grand chemin égarés s’aventurent sur ses terres. C’est alors une véritable fête pour le Comte Estienne et sa dizaine de gens d’arme. Battue et course-poursuite à travers les bois sont alors de mise, conclu par quelques pendaisons soigneusement mises en scène.

Alors qu’un vieillard de passage vint saluer le Comte, il appris à ce dernier qu’un tournoi allait bientôt avoir lieu en Géorgie. Saisit par une excitation sans bornes, le Comte Estienne y envoya aussitôt un messager afin de prévenir le Baron Georges de sa participation et de son arrivée prochaine. Une fête allait également être organisée en l’honneur du vilain de passage (la bourgade d’Ajol ne manque jamais une occasion, même insignifiante, pour finir à quatre pattes sous les tables), jusqu’à ce que l’on apprenne que ce dernier s’en venait du duché de Lyonesse. Même si les étrangers restent les bienvenus dans le val, aucun Ajolais ne peut tolérer que l’on dise haut et fort que la seule véritable andouille provient de Guéméné. Les festivités tournèrent rapidement en bottage de train dans les règles Bretonniennes de l’art.

Charles Hubert de la Bath de Gransette de Baisebaule, sorti sans grande gloire au premier tour du tournoi de Havras contre Léogand de Fort-Montier. C'est une sombre brute handicapée par une intelligence de lémurien. Inspiré du personnage du dessin animé "Merlin l'enchanteur", Kay, dont Arthur est l'écuyer.



Il est accompagné de sa sœur, Penthésilée de Gransette, dont le père désespère toujours de trouver un époux convenable (et qui convienne à Penthésilée).
Il porte d'or au lion de sable, les armes de son père, qu'il brise par une cotice de gueule.



Frère André prenait le soleil dans la cour du château, assis devant la table d'inscription au tournoi signalée par les armes de son seigneur.
Une masse s'interposa entre lui et le soleil et un poing s'abattit sur icelle table. Sorti brutalement de sa torpeur, André contempla le nouveau venu : un chevalier massif au larges épaules qui aurait pu paraître redoutable n'eut été son regard bovin.
- Inscrivez céans mon nom sur le registre de joute : Charles Hubert de la Bath de Gransette !
ordonna t-il d'une voix forte.
- De Gransette, continua t-il. Il commença a épeler : G ...R ... le silence qui suivit comme le regard désespéré qu'il jeta alentour montrèrent que ses connaissances linguistiques venaient d'atteindre leurs limites.
A quelques pas derrière lui une jeune fille partit d'un rire franc. Fraîche et jolie, ses mouvements souples et félins contrastaient singulièrement avec la lourdeur de Charles-Hubert. Manquant s'étouffer, elle parvint a articuler :
- Mais quand donc cesserez-vous de vous couvrir de ridicule dés que nous entrons en un quelconque castel ?
L'inscription faites, André contempla le couple qui s'éloignait tandis que le sire de Gransette s'emportait sur celle qui semblait être sa sœur :
- Attends que nous soyons entrés au logis, père saura te rappeler le respect que tu me dois, fois de Gransette ![/quote]

- Aïïïeeeuuuu !!! Mais Monseigneur pourquoi me frapper ? Pas avec le bouclier cela fait atrocement mal !

- Pour que tu te hâtes enfin vilain nabot. Tu ralentis notre bonne marche vers le fief du baron Georges et le tournoi nous attend. Au train où tu avances nous serons en retard pour les inscriptions.

- Dois-je rappeler à Monseigneur que s'il avait daigné m'accorder ne serait-ce qu'une mule ou une vielle carne nous serions déjà arrivés.

A ces mots, le baron de Jehan de Maislanchon asséna derechef un coup de bouclier à son écuyer. S'ensuivit logiquement une longue plainte de ce dernier.


- Tu as la langue par trop pendue et finasses sans arrêt mais je te ferai avancer malgré toi !!!

- Non, non Monseigneur, ne frappez plus c'est inutile. Vous allez abîmer votre écu à la longue. Je cesse de maugréer, la cause est entendue.  
- Voilà qui est mieux Troussenard, je suis navré de constater que la force seule te fasse entendre raison.

- Pardonnez ma curiosité Monseigneur mais pourquoi tournoyer ? Cela fait des années que nous n'avons plus participé à des joutes. Que justifie un tel engouement ? Surtout pour ce tournoi du baron Georges...Nous sommes bien éloigné du domaine de votre Seigneurie.

- Les enjeux te dépassent Troussenard, tu ne les comprendrais point. Mais je vais tout de même satisfaire ta vulgaire curiosité.

- Monseigneur est trop bon...

- Je ne me rends pas à ce tournoi pour le simple plaisir de la joute ou pour voir de stupides donzelles tomber en pâmoison telles de stupides perruches...Sache Troussenard que j'ai eu vent d'une terrible nouvelle : un gueux de la plus basse extraction a été autorisé à tournoyer. Qui plus est, dans le cas, hautement improbable, où ce misérable viendrait à remporter la victoire, il  serait anobli séance tenante. C'est félonie et je ne saurai le tolérer. Ainsi, moi, Jehan de Maislanchon, baron de Frontegoche, défenseur farouche et gardien inébranlable de l'ordre établi, mettrait tout en oeuvre pour faire obstacle à ce manant. Car enfin que se passera t'il le jour où la roture pourra accéder aux honneurs, où chacun sera reconnu selon son mérite et non par sa naissance, ce serait la fin du royaume !

Troussenard, bien que moyennement convaincu mais redoutant un énième coup d'écu, acquiesça servilement aux propos de son Seigneur et maître.

- Ah Troussenard, nous voilà enfin arrivés ! J'aperçois le castel du baron Georges. Fais sonner le tocsin pour annoncer mon auguste présence...

Il serait trop long de détailler 1000 d'histoire, depuis les longues luttes lors de la grande campagne contre les hordes de Kaaraz'Or'Ghul en l'an 1502 du calendrier impérial, jusqu'à aujourd'hui.
Pour faire court, on pourrait décrire son histoire par de longues années de combats contre le chaos (où il aurait, dit-on tué des gors par centaines) et d'autres périodes à percer les secrets d'Athel Loren. Vénérant Loec, il a la langue habile, et c'est surement ce qui lui a sauvé la vie plusieurs fois, ça et sa manie de ne jamais mentir, mais de jouer avec le sens des mots avec toutes la pratique d'un elfe de Cythral.
Toutefois, durant les derniers mois, On peut retrouver trace du capitaine du Clan Du Datia Yawë dans un lieu étrange appelé "la Taverne de la Non-Vie" où on raconte qu'il prépare une expédition sur les terres du Grand Necromancien.

Toutefois, et c'est sans doute la raison de sa venue en Bretonnie, il participe aussi au Grand Conseil de la Fin des Temps, où il s'est plus ou moins auto-proclamé représentant des terres de l'ouest du vieux monde, mais dans un soucis de partialité, il serait venu pour quérir des nouvelles du royaume de Bretonnie. Arrivé en ce lieu (fort odorant), il décida de vérifier si les hommes sont toujours ceux qui, il y a quelques centaines d'années, lançaient de si belles charges épiques.

Celui que l'on appelle l'elfe est un poète, méfiant, rancunier, essayant d'être discret, mais malheureusement, il ne résiste que difficilement à un verre des boissons de l'Ouest.
PS: Il  toujours un farfadet, ou deux, ou dix dans sa cape...

Philibert est le descendant de Pacôme, l'un des onze chevaliers fondateurs de la baronnie de Corgenon. Âgé de 32 ans, il est toujours accompagné par son valet et écuyer nommé Marceau. Ce dernier porte au dos de la mule qui les accompagne tout l'attirail pour le long séjour prévu lors de ce grand tournoi. Il porte l’or à serre de faucon de gueules attestant de l’appartenance de ses ancêtres au duché d’Aquitanie.
Philibert dit le Vigoureux est le vassal le plus proche du Baron Arthas, le fief de la Tulipe domine la Baronnie. Ses qualités de combattant l’ont naturellement désigné pour défendre les couleurs de Corgenon au Bouseux tournoi de Géorgie.

L'Armorique est un très ancien duché bretonnien se situant à l'ouest d'Artenois, il fut jadis en proie à de nombreuses calamités, épidémies, famines, nécromancie, attaques de corsaires elfes noirs et d'hommes bêtes… Affaiblie de toute part, le duché était sur le point de disparaître. Les nobles pensant à une malédiction quittèrent la région afin de s'installer ailleurs et devinrent ainsi vassaux des autres ducs de Bretonnie. A la mort du dernier duc d'Armorique, Moussillon annexa ces terres par arrangement diplomatique et familial. C'est ainsi que l'ancien duché d'Armorique n'est plus qu'un ensemble de petites baronnies dépendantes de Mousillon, les barons sont tous des descendants plus ou moins directs de l'ancien duc d'Armorique et la plupart rêvent de reconstruire le vieux duché. Depuis 835 (1813 C.I.) et l'annexion des terres du nord de Mousillon par Lyonesse, les baronnies d'Armorique répondent au duc de Lyonesse. Aujourd'hui les blasons portant l'hermine sont rependus dans toute la Bretonnie hérités des anciens seigneurs d'Armoriques qui avaient quitté leurs terres jadis.

Le baron Alberic d'Armorique, fils de Goudard et baron de Fortbiant, est inquiet de l'absence du duc de Lyonesse parti en croisade contre les nordiques, en son absence il craint un soulèvement des baronnies voisines soutenues par Mousillon qui leur promet le retour de l'ancien duché, vile ruse et mensonge de Mousillon pour Alberic. Redoutant la guerre civile, Alberic demanda l'aide du Roy. Il vint en personne à Couronne pour demander de l'aide. Mais à la place, le roi l'envoya à un maudit tournoi en Géorgie affirmant que la guerre civile peut attendre, l'honneur de la chevalerie est plus importante et son sort dépendra de ce tournoi…

Alberic a une petite barbe et moustache noire et est en bonne condition physique. Il porte le blason brisé de la maison d'Armorique, parti de sable et d'argent en senestre du chef d'une moucheture d'hermine.