Le Royaume de Bretonnie
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 Les chroniques d'Itançe

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julien
Chevalier de la Quête
julien


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MessageSujet: Les chroniques d'Itançe   Les chroniques d'Itançe EmptyVen 20 Jan 2006 - 18:44

Les chroniques du chevalier Humbert

Durant les longues soirées d'hiver, le comte Philippe d'Itançe aime à entendre l'histoire de ses ancêtres chantées par les troubadours. La chanson d'Itance est connue de tous en Quenelles.

En 1808 du calendrier imperial, un cadet de famille, venu de Gasconnie arriva devant Quenelles. Ne pouvant rester chez lui, il etait devenu errant pour montrer sa valeur et recevoir un fief. Se nommant Humbert, portant un blason simplement or, il se mît au service du duc. Dès lors, il connu une vie paisible tout en profitant des enseignements des chevaliers plus agés que lui.

En 1813, la fievre rouge s'abbatit sur le Royaume. Le duché fut fortement touché. Au meme moment, alors que nombres de personnes decedaient, un nouvel envahisseur foula la terre de Bretonnie: les hommes rats! Ayant échappé à l'epidemie, Humbert etait enfermé dans Quenelles avec les autres troupes du duc. La ville etait assiegée. Les immondes rats étaient innombrables! Cela faisait deja plusieurs jours que les murailles etaient assaillies. Chacun faisaient son devoir et tous se couvraient de gloire en repoussant les viles créatures du haut des murailles. rambo rambo

Apres plusieurs semaines de combats terribles, une armée bretonniene fut aperçue au loin. Il s'agissait des étendarts du duc Mérovée de Moussillon. Du haut des plus hautes tours, les defenseurs virent, alors, l'armée de secour fondre sur les rats...paraissant meme aidée dans leur charge, pour certains, par des membres du peuple fée. Le sang du duc Guillaume ne fit qu'un tour. "Que tous les hommes capablent de monter à cheval me suivent!! Pour Quenelles, la Dame et le Roy!!!" Quelques minutes plus tard, herses et pont levis de la ville laissèrent passer les bannières de Quenelles pour tendre la main à Moussillon.

Le combat fut acharné. Plus les charges se succedèrent et plus la tache semblait immense à accomplir. Rats ogres, nuées de vermines,...l'ennemi etait infini. C'est alors que le duc Guillaume fut encerclé avec les chevaliers de sa bannière. Sur le point de succomber sous le nombre, ils furent sauvés par une féroce charge d'errants mené par le chevalier de gasconnie au blason or: Humbert. Dans leur élan, les errants etablirent la jonction avec Mérovée de Moussillon. La Victoire etait acquise!! La Dame soi louée!!! cheers

Voulant récompenser celui qui lui avait sauvé la vie, le duc Gullaume de Quenelles se mit en quete d'Humbert. Personne ne l'avait revu apres la charge. De nombreux errants avaient continué loin dans les rangs ennemis et peu en etaient revenus. Le champ de bataille fut alors fouillé. Alors que damoiselles et serviteurs portaient assistance aux blessés et mourrants, que de grands buchers etaient allumés pour faire disparaitre les corps des abominations tuées, les hommes de Guillaume cherchaient Humbert. Finissant par le trouver, ils appelèrent le duc. Arrivant sur place, celui ci constata que "le preux" errant etait blessé et inconscient. Demandant de le faire transporter dans son chateau, le duc se rendit compte que la main ensanglantée du chevalier avait marqué le blason or. Un sourire se dessina sur ses levres. (voir dessin)

Les chroniques d'Itançe Itancedebut0031bf.th

Quelques jours plus tard, se rétablissant à l'interieur du chateau du duc, Humbert eu la surprise de voir Guillaume de Quenelles, en personne, venir à son chevet. Lui demandant de se lever et se s'agenouiller, le duc arma Humbert chevalier du Royaume en lui presentant un nouveau blason en l'honneur du sang versé à la defense de Quenelles: 3 bandes de gueule sur fond or.
Désormais, il fit parti de la maison du duc. Il consacra sa vie à la defense de Quenelles tout en accomplissant la quete du Graal. A sa mort, le Chevalier du Graal Humbert le "preux" eut droit à de grandes funerailles. Sa descendance etait fixée durablement dans le duché.


Dernière édition par le Jeu 25 Mai 2006 - 19:13, édité 4 fois
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bohémond 16
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MessageSujet: Re: Les chroniques d'Itançe   Les chroniques d'Itançe EmptyVen 20 Jan 2006 - 21:30

J'aime beaucoup l'histoire. Etn plus avec le dessin au milieu ça en jette qaund même. Voila
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julien
Chevalier de la Quête
julien


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MessageSujet: Re: Les chroniques d'Itançe   Les chroniques d'Itançe EmptySam 21 Jan 2006 - 13:22

meci bcp. je v tacher de vite chanter la suite Very Happy
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Agravain
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Agravain


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MessageSujet: Re: Les chroniques d'Itançe   Les chroniques d'Itançe EmptySam 21 Jan 2006 - 13:55

j'aime bien thumleft

continue

et oublie pas le concours de texte study
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julien
Chevalier de la Quête
julien


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MessageSujet: Re: Les chroniques d'Itançe   Les chroniques d'Itançe EmptyJeu 25 Mai 2006 - 19:12

La chronique du chevalier Hugues

Nous sommes en 965 selon le calendrier bretonnien ( 1943 selon le calendrier imperial)

Alors que la neige recouvre les terres et que les corbeaux croissent dans la froidure, des troubles sont signalés aux marges du duché de Quenelles dans le Massif d'Orquemont. Voulant être informé des évenements par un homme de confiance, le duc envoie le chevalier Hugues, de la lignée d'Humbert, avec une petite troupe de loyals seigneurs.

(debut de bd non fini https://labretonnie.forumactif.com/viewtopic.forum?t=1381)

Arrivé sur place, Hugues fut confronté à de terribles massacres. Le Baron Jehan le juste n'avait rien pu faire pour éviter les atrocités. L'ennemi restait introuvable.Il n’avait laissé aucune trace. Une dizaine de hameaux avaient été brûlé et même un lieu saint, le prieuré de Morals, avait été violé!! Sacrilège suprême!! Lançant la chasse aux meurtriers, l'armée de Jehan se mît en route. S'enfonçant dans le Massif d'Orquemont, la peur et la colère s’installaient contre cet adversaire insaisissable. Il fallait venger les morts !! C’etait une priorité aux yeux de tous.

Un pas de plus vers le désir de vengeance fut franchi après que Jehan et ses hommes découvrirent en ruine le castel de Monserre … Les hauts murs comportaient de grandes brèches et les pierres étaient noircies par la suie. Etrangement, le lieu était complètement désert. Il n’y avait pas âme qui vive. Seul le vent glacial d’hiver soufflait et rendait le lieu sinistre. Un grand mal avait agi ici… Ne voulant prendre plus de risque, le Baron Jehan décida d’implanter le campement pour la nuit au milieu des ruines. On y sera plus à l’abri que dans les bois. Alors que les gueux montaient les tentes, Hugues inspecta les défenses. Si l’ennemi attaquait, il n’y aurait aucune issue. Le castel surplombait un précipice … Il ne fallait songer qu’à la victoire ou à la mort.

La nuit venue, la pleine lune éclairait le ciel. Tout à coup, un cri d’outre tombe et monstrueusement aigu déchira l’obscurité. Un moment figé, les hommes de veille sonnèrent l’alarme. Réveillés en sursaut, les chevaliers s’armèrent en vitesse. Premier à cheval, Hugues se rendit au coté du Baron Jehan. « Portez vous sur la brèche nord du mur ! Pas un ennemi ne doit passer ! » L’heure n’était pas au folle charge. Il fallait défendre ce Castel.
Debout sur le reste des murailles, les défenseurs ne distinguaient rien. En effet, la pleine était cachée par les nuages. Entendant des bruits angoissant se rapprocher, Jehan fit tirer une volée de flèche enflammée par les gueux le plus loin possible… Quelle ne fut pas la surprise, l’horreur de la vision de l’ennemi approchant. Des meutes de loups féroces s’avançaient avec derrière elles des flots de squelettes et de choses mortes … Traversée par un sentiment de peur, les hommes d’armes ne restèrent à leur poste que grâce à la présence des chevaliers à leurs cotés. Et le silence de la nuit laissa place aux fracas des armes.

Les loups se jetèrent sur les archers. En quelques secondes, un grand nombre de ces gueux furent occis. Avec l’arrivée des squelettes, le combat se développa dans tout le castel. Les hommes se défendaient avec honneur mais petit à petit, leur nombre diminuait. Obligé d’abandonner les murs, les derniers chevaliers se regroupèrent dans la cour. Pendant un instant, Hugues eu l’impression qu’une jeune femme,…la Dame, lui soufflait un mot d’encouragement aux oreilles. Il se jeta alors dans la mêlée. Si la mort devait le prendre, autant que la Dame soit fière de lui. Au milieu du combat, il vît le Baron Jehan transpercé de lances et s’effondrer sous le nombre. Reculant petit à petit, le petit groupe de chevalier arriva au pied du précipice. Priant la dame une dernière fois, il s’élançait au devant de la mort. Dans la mêlée, Hugues trébucha et par la force de ses adversaires, fut entraîné dans le vide du précipice. La dernière chose qu’il senti fut les rochers et les arbres rencontrés lors de sa chute…


Hugues se réveilla quelques jours plus tard dans une chapelle du graal perdue sous le lierre. Un chevalier ermite l’avait recueilli. Il l’avait trouvé en se rendant à Monserre par un passage secret, creusé du bas de la falaise. Il n’avait trouvé aucun corps dans le castel. Seul Hugues inconscient au fond du précipice avait survécu. Miraculeusement, il n’avait aucune blessure sérieuse. La Dame ne l’avait pas abandonné. N’attendant pas d’avoir entièrement repris ses forces, Hugues décida de prendre la route de Quenelles pour quérir des renforts. L’ennemi n’était pas n’ importe qui ! Malgré les paroles de sagesse du chevalier du graal, il ne pouvait attendre plus longtemps. Le parcours fut difficile mais le froid participa à mieux cicatriser les légères blessures. A peine arrivé à Quenelles, il se fit annoncer à la cour du duc. Ce dernier le reçut aussitôt. Prenant connaissance de la situation, il fit rassembler un important ost. A la veille de partir vers le nord, le duc appela Hugues. Lui priant de s’agenouiller, il lui donna le titre de Premier Paladin de Quenelles et lui confia le commandement de l’armée. Montant sur son destrier, regardant les chevaliers devant lui, le nouveau commandant s’écria « En avant messires ! Allons purger Orquemont !! » « Pour la Dame et Quenelles ! »

Sur place, la situation était critique. Le bruit qu’une armée de morts menées par un chevalier sombre, au regard glacial, se répandait. On prétendait qu’il revendiquait le massif d’Orquemont. Serais ce le Duc Rouge, battu en Aquitanie il y a quelques années qui reviendrait ?
En tout cas, il fallait réagir. Une fois sur place, Hugues organisa la défense. Des courriers furent envoyés à tous les seigneurs locaux pour les rallier à sa bannière au nom du Duc. Les plus faibles avaient pour tâche de défendre leur château en protégeant leur gueux. La lutte s’étala sur un an. A chaque fois que l’on pensait avoir piégé l’armée ennemie, elle se révélait introuvable…

Finalement, la grande bataille eu lieu en automne 1944 / 966. Au couché du soleil, la cavalerie bretonnienne faisait face aux troupes de celui qui se faisait appeler le Baron d’Orquemont ! « Chevaliers, la Dame est avec nous ! Nous en aurons fini dans quelques heures ! En avant !! En avannnttt !!! » La lutte s’engagea aussitôt. Les os craquaient et les peaux étaient déchirées… Le combat fut rude. Au centre, le Comte de Brusse, une ville du sud de Quenelles, traversa les lignes des morts et tomba sur le Baron d’Orquemont en personne. Le défiant, il n’eu même pas le temps de dégainer son épée, qu’il fut traverser par la lame de son adversaire. Le cri du vainqueur se répercuta sur tout le champ de bataille. Mais à coté de lui, toute son armée partait en fumée. La charge bretonnienne avait tout emporté… C’est à ce moment que Hugues se présenta devant le sombre chevalier en disant « Par mon honneur, je te promet que bientôt tu ne seras plus ! ». Sentant une nouvelle foi, la Dame lui parlé, il chargea son ennemi et le cloua sur place de la pointe de sa lance. Il fallu pourtant que Hugues descende de cheval pour asséner un coup d’épée et enfin achever le Baron d’Orquemont. La victoire était à lui ! Louez soit la Dame !! Se remettant en selle, il laissa là son ennemi et parti parachever son triomphe.

Au petit matin, les chevaliers purent constater leur victoire. Leurs pertes étaient sévères mais l’honneur et la gloire avaient triomphé. Seul bémol au tableau, le corps du Baron d’Orquemont avait disparu. Les gueux propagèrent le bruit que ses propres loups l’avaient dévoré. Seul un petit groupe d’archers déclara avoir vu des personnes, à la peau livide, venir chercher le corps dans un carrosse noir… L’alcool avait du les abrutir.
Retournant à Quenelles à la tête des troupes ducales, le Premier Paladin Hugues fut reçu avec les plus grands honneurs. Pour fêter la victoire, le vin des coteaux du fleuve Brienne coula à flot ! Les gueux de la ville reçurent même des légumes et des céréales. En récompense de ses exploits, Hugues devînt Comte de Brusse (le dernier étant mort sans descendant dans la bataille) et Paladin à vie de Quenelles. Son blason gagna la couleur azur pour marquer sa vassalité au duché. La lignée d’Humbert était bien devenu une des grandes du duché !
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