Le Royaume de Bretonnie
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 A la quête du bonheur . . .

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3 participants
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Araquan
Paysan
Araquan


Nombre de messages : 31
Age : 29
Date d'inscription : 08/11/2007

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MessageSujet: A la quête du bonheur . . .   A la quête du bonheur . . . EmptySam 10 Nov 2007 - 4:02

Salutation, mesdemoiselles, duchesses, comtesses, ducs, barons, et autre nobles.

Si vous le souhaitez, laissez-moi vous conter une histoire d’aventure, de hauts fais d’armes, parlant d’honneur et de noblesse, une épopée comme vous aimez.
Maintenant, je vous prie de faire le silence dans la salle et, de me laisser vous contez d’incroyables aventures . . .


Chapitre 1

Le hennissement des destriers se heurtant aux forces impurs de l’Empire, les lances se cassant sur les corps devenus sans vie des fantassins. Les arquebusiers firent feu, plusieurs cavaliers tombèrent. En même temps, d’autres chevaliers dégainant leurs lames, fendant l’air dans un sifflement aigu, arrivant à une incroyable vitesse sur les pauvres fantassins. Très vite, le sang s’éparpillât dans la plaine qui était autre fois d’une herbe d’un vert éclatant. Aujourd’hui, le sol était rouge, taché de ce liquide coulant à travers les corps sans vie.
Araquan, chevalier possédant un fief, eu le désir de prouver qu’il méritait son fief ; il fit briller sa lame au dessus d’innombrables ennemis. Frappant de tous les côtés, en compagnie de ses acolytes. Mais, même la Dame ne peut rendre invincible les chevaliers et, du sang se mit à couler de ses multiples plaies. Infatigable, de même que tous les chevaliers qui l’accompagnaient, il se taillait un chemin à travers l’armée ennemie, envoyant des âmes hors de leurs enveloppes charnelles. Les balles ainsi que les flèches sifflaient à ses côtés, tandis que les gueux tentaient de tuer leurs adversaires, mais ils n’étaient rien face à la force de leurs puissants chevaliers. La dame les protégeait tous, elle défend son peuple tel une mère bienveillante veille sur son nourrisson.
L’armée de l’empire, en couard décida de sonner la retraite. Alors que nos puissants chevaliers les poursuivaient, d’étranges bruits parvinrent à leurs oreilles, ressemblant à des coups de tonnerre. Très vite, la terre sortit du sol, éclatant ; tandis que des boulets la transperçaient de toute part. Certains de nos puissants cavaliers tombèrent, puissent-ils rejoindre la Dame. Certains destriers prirent peurs et voulurent s’enfuir, mais leurs maîtres ne les laissèrent pas faire. Pendant que d’autres chevaux s’écroulaient, mort sous nos soldats.
Un ruisseau coulait derrière les batteries de notre ennemis, et, Il apparut soudain, le défenseur de Bretonnie, l’ennemis des chevaliers de la quête. Le Chevalier de Sinople reprit vie, à travers la brume et la terre. Il revenait nous aider. Une étincelle engendra un feu dans le cœur de nos vaillants cavaliers. Ils se mirent à redoubler d’efforts, frappant toujours plus fort, toujours plus vite, toujours avec plus de précision. Tandis que notre précieux défenseur pourfendait les servants des batteries.
La bataille fut vite gagnée, et notre bien-aimé défenseur se dématérialisa.
Araquan, avec ses compagnons, regarda le champ de bataille. Quels ravages peut faire la guerre, autre fois, ce champ était d’un vert éclatant, resplendissant tel un soleil. Aujourd’hui, il n’était d’autre qu’une plaine ravagé, la terre mise à nue, l’odeur des plantes brûlé et de la mort ; voilà de quoi était maintenant composé ce terrain.

-Vous êtes tous là ? demanda le chef.
-Non, il manque Lyones, Bardarbe ainsi que Riyense.

Les hommes laissèrent s’écouler une minute de silence, en hommage à leurs compagnons péries sous les hommes de l’empire. Tel est fait la guerre : de tristesse, de rage mais pas de joie et d’amour. Ces hommes ont détruits des vies, combien d’enfants souhaitaient le retour de leur père ? Combien de mère le retour de leur mari ? Combien de damoiselles le retour de leur amant ? Aujourd’hui, après cette bataille, ainsi que toutes les guerres, des enfants riant à leur père sont devenus en quelques secondes orphelin, des épouses, mère de famille en moins d’une minute sont devenu veuves. Tel est la guerre, rien qu’un malheur, n’est-ce-pas mon Duc ?

-Si, tu as raison, troubadour.

Après cette triste minute, chaque guerrier regagna son quartier. Ses écuyers ôtant sa cuirasse, Araquan s’allongea sur son lit, méditant sur la bataille, avant que le sommeil ne l’emporte.

Le lendemain, le Roy voulut récompenser les jeunes damoiseaux en les adoubant chevalier mais aussi offrir un fief aux Chevaliers Errants et féliciter ses autre guerriers pour leur victoire.

-Chevaliers, vous êtes tous des prud’hommes, courtois, discipliné, sans peur et sans reproches. Vous avez bien combattu pour la majorité. Les couards seront traités comme ils le méritent, et les vaillants se verront offrir une récompense.

Après la remise des terres, le Roy engagea une grande fête, damoiselles et duchesses, ducs et hauts barrons, noble en tout genre, tous furent convié à un bal.
Les troubadours chantaient tandis que des bouffons dansaient au milieu des nobles.
Les damoiselles dansaient en compagnie de leurs prétendants, certains ducs discutaient des mésaventures de Gabriel le Fol, tandis que d’autre parlaient guerres et stratégies en tout genre.
La joie était au rendez-vous, effaçant ainsi la tristesse de la bataille.
Araquan, observa la scène, voyant ses amis chantaient et dansaient. Lui, n’était pas vraiment d’humeur. Il avait quelque peu envie de vomir, car face à lui, se trouvait une dame, aussi resplendissante que le soleil et douce que la lune . . . Il avait tout essayé, tout. Mais, jamais il n’avait réussit à la conquérir. Le jeune chevalier avait aussi essayait de l’oublier, oublier leur délicieuse rencontre, oublier sa voix aussi mielleuse que le miel que nous prodigue nos amis les abeilles. Oublier sa beauté, oublier son caractère, oublier la douceur de sa peau. Mais il ne le pouvait. Et la voir ainsi, au bras d’un autre homme le révoltait, il décida de partir. Et le jeune chevalier quitta la salle d’un regard noir.

Araquan eut une nuit mouvementé peuplé de rêve ou une dame l’appelait à une chapelle, et où il but dans le saint Calice. Puis, sa dame apparaissait au bras de son compagnon, le rejetant. Enfin, il vit une scène de bataille ou il chargeait seul sur une troupe largement supérieure en nombre, armée de la grande bannière, les couleurs de sa dame sur son épaule ; ses armoiries sur son blason et une lame, différente de la sienne, une lame d’or et d’argent, d’une incroyable beauté. Et enfin, une réplique du Grall pendait à sa ceinture. Avec cela, il chargea l’ennemi, et il tomba de son destrier. Soudain, plus rien, Araquan se réveilla en sueur, plusieurs image apparurent dans sa tête en plus de ses rêve, la Fée Enchanteresse apparaissant lui disant de venir, le Saint Graal à porter de main et sa dame à côté.
Il appela ses écuyers, se fit armée sur le champ, prit un rapide déjeuner, rempli un sac de nourriture et d’affaires dont il ne peut se passer. Il vit une mèche des cheveux de sa dame, hésitant à la prendre, finalement, il l’accrocha à sa ceinture.
Le jeune chevalier grimpa sur son destrier, prêt à affronter mille dangers pour trouver le Saint Graal.
Il alla trouver le chef de son régiment, lui dit qu’il partait ; et enfin il prit la route, par monts et par vaut.
Le soleil se levant devant un cavalier solitaire, la mer se dessinant au loin, l’horizon, voilà où il devait aller, affronter les nombreux dangers du Vieux Monde et qui sait, peut-être devra-t-il aller jusqu’en Ulthuan. . .
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Florent de la cour
Chevalier du saint Graal
Florent de la cour


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MessageSujet: Re: A la quête du bonheur . . .   A la quête du bonheur . . . EmptySam 10 Nov 2007 - 16:58

Le texte est bien écrit jeune chevalier !

Tu as un très bon style ,malgré tout , il persiste quelques fautes notamment dans les premières phrases où il n'y a pas de verbes conjugués .Ceci étant c'est loin d'être gravissime.

Par contre la bataille contre l'empire , c'est moyen , sachant que notre bon Roy est en bon accord avec karl franz ... Niveau historique ,c'est moyen mais elle est bien contée cette bataille .

Citation :
Tel est la guerre, rien qu’un malheur, n’est-ce-pas mon Duc ?

-Si, tu as raison, troubadour.

C'est un peu bizarre tout de même , le narrateur c'est le troubadour et il s'adresse directement au duc, je n'ai pas pigé tout de suite , je pense que ce serait à éviter dans les prochains écrits.

Je te souhaite bonne continuation! Moi j'ai essayé aussi mais j'ai de moins en moins de temps entre les cours les devoirs et les loisirs ...
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Baron Guilhem de La Tour
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MessageSujet: Re: A la quête du bonheur . . .   A la quête du bonheur . . . EmptySam 17 Nov 2007 - 2:37

J'ai lu ton texte vite fait, et ça m'a l'air plutôt bien parti. Bon courage pour la suite. thumright

Suivent quelques remarques en vrac...

Tout d'abord, il me semble que tu as un certain talent d'écriture, et plusieurs passages sont assez réussis. En revanche, il y a quand même pas mal de fautes et quelques expressions que je trouve maladroites. Par exemple :

Araquan a écrit:
Le hennissement des destriers se heurtant aux forces impures de l’Empire, les lances se cassant sur les corps devenus sans vie des fantassins.
Utiliser des participes présents à la place de verbes conjugués, ça passe assez mal ; c'est possible en grec ancien, pas en français.

Araquan a écrit:
Araquan, chevalier possédant un fief, eut le désir de prouver qu’il méritait son fief ;
Mieux vaut éviter ce genre de répétitions. Wink

Araquan a écrit:
notre bien-aimé défenseur se dématérialisa
Hmm. C'est une opinion toute personnelle, mais je trouve que l'expression fait un peu Star Trek ("téléportez-moi à la base, monsieur Spok"). Mr. Green

Araquan a écrit:
sa voix aussi mielleuse que le miel que nous prodiguent nos amies les abeilles.
Encore une fois, la répétition me semble malvenue ; dans ce cas précis, c'est même ce qu'on appelle un pléonasme (n'ayons pas peur des mots). De plus, l'adjectif "mielleux" ne signifie pas comme on pourrait le penser "doux comme le miel", mais plutôt "d'une douceur hypocrite". Pas très flatteur pour la dame, donc...

Araquan a écrit:
Oublier sa beauté, oublier son caractère, oublier la douceur de sa peau.
Holà, attention ! Laughing Si le chevalier a déjà pu se faire une idée sur la douceur de la peau de son aimée, on pourrait supposer qu'à un moment ou à un autre, elle lui a accordé ses faveurs...

A propos de cette dame, je crois qu'il serait bon de la nommer.

Araquan a écrit:
Il alla trouver le chef de son régiment
Je pense que "son seigneur" conviendrait mieux. Le terme "chef de régiment" fait un peu trop moderne et n'est pas très fidèle au fluff bretonnien.

Florent del castle a écrit:
Par contre la bataille contre l'empire , c'est moyen , sachant que notre bon Roy est en bon accord avec karl franz ... Niveau historique ,c'est moyen mais elle est bien contée cette bataille .
En bon accord, c'est vite dit... Twisted Evil

Sérieusement, c'est vrai que ça fait bizarre. Si Louen et Karl Franz s'affrontaient, ils entraîneraient le Vieux Monde tout entier dans la guerre.

Florent del castle a écrit:
Citation :
Tel est la guerre, rien qu’un malheur, n’est-ce-pas mon Duc ?

-Si, tu as raison, troubadour.

C'est un peu bizarre tout de même , le narrateur c'est le troubadour et il s'adresse directement au duc, je n'ai pas pigé tout de suite , je pense que ce serait à éviter dans les prochains écrits.
Je plussoie, c'est un peu confus. Confused

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