Salut à tous,
Après quelques mois d’absence du forum et des tables de jeu, j'ai repris le week-end dernier contre des Elfes Noirs, histoire de découvrir leur nouveau livre !
Partie en 3000 points, LANO pour ma part. Ma liste n'est pas optimisée, je voulais me faire plaisir et tenter des choses ^^
J'ai pris des photos et elles sont visibles
ici :
https://www.dropbox.com/sh/f60rg8wxt7q63pa/mFNtQWU4PpEdit : si vous regardez les photos, les chevaliers à pieds sont représentés par des hommes d'armes, avec 3 fig de chevaliers à pied au premier rang, et les paysans sont représentés par 40 hommes d'armes. A part ça, tout est bon et tout est peint
Sans plus attendre, le rapport :
Bretonnie (LANO) - Elfes Noirs
3000 PointsMa liste :Général : Roland, l'un des deux seigneurs, qui sera avec les chevaliers du royaume.
> Deux seigneurs sur destriers, l'un avec un profil moulinet et le second avec coup fatal héroïque pour avoir de quoi gérer les hydres
> Sinople
> Jeanne
> Deux damoiselles, l'une niveau 2 (domaine Breto) et l'autre niveau 1 (domaine de la vie)
> Un croisé, à pied, équipé pour survivre
> 12 chevaliers errants avec EMC et bannière d’impétuosité
> 9 chevaliers du royaume avec EMC
> 20 chevaliers à pied avec fléaux
> 40 paysans avec trois chiens truffiés
> 2 fois 10 archers avec brasero (pour le fun, vu que de toute manière les hydres ont perdu la régen)
> un trébuchet
> 3 pégases avec EMC
> 3 chevaliers du graal
> 1 Sacro-Saint
En face, nos ennemis alignent :> un chaudron de sang soutenu par une quarantaine de furies
> 20 exécuteurs
> 15 chevaliers sur sang-froid
> 30 lanciers
> 2 hydres
> 2 fois 10 arbalétriers
> 6 ombres
> 1 sorcière niveau 2
> 1 perso spécial guerrier sur sang-froid
> 1 grande bannière, avec les exé
Scénario et déploiement :Le scénario tiré est "rencontre fortuite", qui se joue selon les diagonales. Je gagne le tirage et choisi donc la diagonale de séparation et ma moitié de table. Je déploie mon armée en premier. Je décide de placer mes fers de part et d'autre du Sacro-Saint, devant la colline. Sur la gauche, je déploie mes chevaliers à pieds de façon à ce qu'ils puissent aussi bénéficier du pouvoir du S-S. Encore à gauche, je positionne les paysans qui auront pour rôle d'aller retenir quelque menace qui se ferait un peu trop pressante. Leur proximité avec les chevaliers leur permettant de débuter la partie avec un Cd décent. Sur le flanc droit, derrière la forêt, prennent place les chevaliers pégases. Enfin, le trébuchet est déployé sur la colline avec un régiment d'archers. Les archers restants sont déployés à gauche des paysans.
Les chevaliers du graal, Jeanne et une damoiselle constituaient manifestement l'arrière garde de l'armée, et ne sont pas encore présents sur le champ de bataille.
Les vils elfes ne sont qu'à moitié sur la table en ce début de partie. Les furies poussant le chaudron se mettent en face de mes chevaliers, tandis que les exécuteurs semblent vouloir venir défier les chevaliers à pied. Les ombres se déploient à proximité de la vieille tour de sorcier, sans aucun doute avec espoir de venir s'y réfugier. Des arbalétriers accompagnant la sorcière prennent pied dans la forêt, à gauche de la tour. Ladite forêt accueillant également une hydre.
Les armées sont faces à faces, le soleil brille haut dans le ciel alors que les premiers tambours de guerre résonnent, les chevaux s’impatientant tout autant que leurs cavaliers... la bataille peut débuter. Mais pour l'heure, tout le monde patientera encore quelques minutes alors que les chevaliers s'agenouillent pour demander à la Dame sa protection ou, à défaut, une mort honorable.
Tour 1 des ElfesL'arrière garde des forces ennemies rejoint rapidement la ligne de front : les cavaliers sur sang-froids, les lanciers, les arbalétriers et une hydre arrivent par le bord de table droit, et se positionnent à côté des furies. Cela fait du monde et Roland commence à se demander comment attaquer efficacement sans se retrouver embourbé dans d'interminables combats qui signeraient la perte de ses braves.
Au niveau des mouvements, pas grand chose. Les ombres prennent possession de la tour.
La phase de magie se profile et Roland se sent légèrement rassuré : l'ennemi ne semble pas posséder de trop nombreux et puissants sorciers. En fait, l'ennemi ne possède pas énormément de tirs non plus, une aubaine pour nos chevaliers !
Mais revenons à nos moutons : la magie. Les vents soufflent moyennement, et un seul sort passe. Ce dernier demandant à mes gueux de prouver leur valeur face à des lames fantômes, ou quelque chose comme ça. Toujours est-il que de valeur, il n'en n'ont point et une vingtaine d'entre eux trépasse. Les survivants tiennent néanmoins leur position, rassurés par la présence des chevaliers à leurs côtés.
Phase de tir, quelques paysans supplémentaires trépassent mais les survivants, une fois de plus, tiennent bon.
Phase de cac, RAS.
Tour 1 de RolandNos lignes arrières rejoignent également le champ de bataille : les chevaliers du graal se positionnent sur le flanc gauche pour aller chasser de la sorcière et arriver ensuite dans le dos de l'ennemi. Jeanne se faufile entre les archers et le trébuchet afin de rejoindre les rangs des chevaliers. Quant à la Damoiselle, elle décide d'aller balader dans la forêt.
Au niveau des mouvements, les pégases chargent les arbalétriers ennemis, les chevaliers du graal avancent vers les arbalétriers et les paysans sont prêts à se sacrifier en se tenant face à l'hydre. Pas d'autres mouvements, les fers attendent que Jeanne les rejoigne. L'ennemi n'ayant pas une puissance de feu démesurée, cette temporisation ne devrait pas nous couter trop cher.
A noter l'apparition de Sinople, le Saint Chevalier venant aider ses frères dès le début de la bataille. Il apparait dans la forêt, au pied de la tour de sorcier, afin de menacer le dos de l'hydre. Voilà une belle épine qui est sur le point d'être retirée de mon pied gauche, car je ne doute pas une seconde de la capacité de Sinople à se défaire de cet adversaire.
Phase de magie, rien ne passe me semble-t-il.
Phase de tir, le trébuchet balance son énorme rocher en direction d'une hydre mais manque de précision : le projectile tombe quelques mètres à côté. Les archers décochent quelques flèches, histoire de rappeler à tout le monde qu'ils sont là.
Le corps-à-corps, avec les premiers coups de lances donnés par les pégases sur les arbalétriers. Quatre attaques, quatre échecs, les chevaliers ont l'air en grande forme. Leurs montures envoient un ou deux elfes rejoindre le royaume des morts mais cela ne suffit pas à les faire fuir. Flute, première bille dans le parfait engrenage de mon plan de bataille, les pégases sont enlisés pour encore un tour ou deux de cac. Si la Dame est avec moi, les arbalétriers fuiront au tour 2 adverse et j'aurais les pégases libres pour mon tour 2.
Tour 2 des elfes, où les choses sérieuses commencent presqueL'hydre charge mes paysans. Les sang-froids arborent l'étendard de rapidité, et ont de ce fait un mouvement de 10. Se sentant pousser des ailes, ils déclarent une charge à 18ps sur mes chevaliers errants. Hélas pour eux, l'étendard de rapidité porte manifestement mal son nom : ils avancent tout juste de 3 ps. Ouf, j'aurais été bien embêté avec l'un de mes fers chargé par ce qui s'apparente à un rouleau-compresseur.
La sorcière abandonne ses camarades et s'enfonce dans la forêt dans l'espoir d'échapper au courroux des chevaliers du graal. Sur le flanc gauche ennemi, les lanciers avancent et dépassent légèrement les sang-froids, et la seconde hydre se positionne de manière à menacer le flanc de mes chevaliers, si ses derniers restent là.
Phase de magie et de tir, rien de vraiment remarquable à signaler.
Phase de cac, mes pégases continuent à occire leurs adversaires mais ces derniers semblent manifestement prêts à périr jusqu'au dernier. Pégases bloqués un tour de plus, donc.
Quant aux paysans, est-il vraiment nécessaire d'évoquer leur sort ? Puisse leur âme trouver le chemin du royaume de Morr.
Tour 2 de Roland, CHARRRRRRRGEZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZSans un bruit, sans un cri, l'esprit de la Bretonnie charge de dos le monstre ennemi qui termine de piétiner les cadavres de nos gueux.
Roland quant à lui, après quelques instant de réflexion, décide de sonner la charge sur les furies. Une charge combinée. L'idée est simple : détruire les demoiselles nues aux outils pointus, et faire une charge irrésistible pour passer dans le dos de l'ennemi. Le second fer se reformera afin d'encaisser la charge des cavaliers sur sang-froids (partie du plan la plus téméraire. Mais à la guerre, il faut bien prendre quelques risques
. De plus, si les chevaliers errants sortent vivant de ce combat, ils auront alors bien mérité leur adoubement au rang de chevaliers du royaume).
Les chevaliers à pied chargent les exécuteurs. Mieux vaut charger qu'être chargé.
Enfin, les chevaliers du graal chargent la sorcière paniquée qui n'avait pu s'éloigner suffisamment.
Pas d'autres charges et peu de mouvements. Le Sacro-Saint reste derrière les chevaliers et Jeanne avance.
Magie / tir, pas grand chose. Le trébuchet fait encore preuve de maladresse et les archers, acte de présence.
Corps-à-corps : Sinople parvient à blesser l'hydre. La riposte de la créature est bien sûr sans effet, ses têtes essayant vainement de mordre l'être surnaturel. De ce fait, la bête prend peur et s'enfuit ! Le chevalier, estimant que les chances que l'hydre se rallie étaient minimes, décide de se reformer pour menacer le flanc des exécuteurs.
Les deux fers roulent littéralement sur les furies, les quelques survivantes étant poursuivies et anéanties par les chevaliers du royaume. Les chevaliers errants se reforment et présentent un front de cinq pour tenter de résister à l'attaque prochaine des cavaliers sur sang-froids.
Les exécuteurs mettent à terre plusieurs chevaliers à pieds, tandis que ces derniers ripostent et envoient également quelques elfes à terre. Le combat est remporté par nos braves mais les elfes ne laissent transparaitre pas même une once d'inquiétude. Le prochain tour de cac, sans le bénéfice des fléaux, s'annonce compliqué. Le croisé présent dans le régiment succombe sous les coups du héros elfe noir.
Les chevaliers du graal transpercent la sorcière elfe, et continuent leur avancé, se risquant dans les branchages de la forêt. Avec le soutient de la Dame, aucun d'eux n'est désarçonné.
Les chevaliers pégases continuent à s'enliser dans un combat qui devient vraiment beaucoup trop long. Bon, il ne reste plus que deux elfes, la fin approche tout de même...
Tour 3 des elfes, où le combat s'équilibreSans surprise, les cavaliers profitent de l'opportunité qui leur est offerte, et chargent les chevaliers errants, qui maintiennent leur position.
L'hydre termine sa traversée de la forêt et se rapproche dangereusement de mes lignes arrières : trébuchet, archers, Sacro-Saint, elle n'aura que l’embarra du choix. Peu d'autres mouvement.
Plus de magie pour nos ennemis, et peu de tirs vraiment efficaces.
Corps-à-corps : le seigneur présent dans les chevaliers errants lance un défi, relevé par le personnage spécial ennemi. Le calcul est simple : sauvegarde à 2+, relance des 1 et invu de la Dame à 5+, trois PdV. Si je réussis à tenir sous les assauts de mon adversaire, mon coup fatal (héroïque) pourrait me débarrasser de lui. Et bien si le calcul était correct, la froide réalité des dès est venue mettre un terme à ma folle idée : mon seigneur succomba sous les coups elfiquement noirs. Pour le reste du combat, la Dame m'abandonna complètement : aucune sauvegarde à 5+ réussie, le régiment explose et les chevaliers errants le resteront à jamais. Les sang-froids réalisent une charge irrésistible sur mon Sacro-Saint mais la configuration du plateau de jeu à cet instant vire à mon avantage : ils ne peuvent fermer la porte (bloqués par les exé), et mon Sacro-Saint non plus (bloqué par Jeanne). La charge est donc impossible, ils s'arrêtent à 1ps du char... Ouf, un peu de répit.
Les chevaliers à pied perdent quelques-uns des leurs et ne réussissent pas à tuer assez d'elfes : ils fuient. Par bonheur (la Dame est de nouveau à mon soutient) les elfes ratent leur jet de poursuite, mes chevaliers sont toujours vivant !
Les pégases terminent enfin les arbalétriers, et se reforment.
Tour 3 de Roland, où l'on se réorganiseMouvement : Sinople charge de flanc les exécuteurs afin de protéger les chevaliers à pieds, qui se rallient. Le fer de chevaliers du royaume se reforme afin de faire face à l'ennemi : les lanciers et les cavaliers sur sang-froids pourront être chargés au tour prochain. Les chevaliers du graal terminent leur contournement de la tour et arrivent en renforts des chevaliers du royaume.
Les pégases se rapprochent également du centre de la table, où de nouveaux combats vont très bientôt éclater.
Jeanne se faufile et parvient enfin à rejoindre l'unité de chevaliers du royaume ! Elle se sent enfin un peu plus en sécurité. Je fais faire au Sacro-Saint un mouvement latéral sur la gauche afin qu'il ne puisse toujours pas être chargé par les sang-froids.
Peu de tirs (le trébuchet rate sa cible...) et de magie.
Corps-à-corps, il n'y en a qu'un : Sinople choisit de multiplier ses attaques et manifestement, il se trouve dans un bon jour (+5 attaques, pour un total de 9). Plusieurs elfes tombent sous ses coups, et je réussis de ce fait à gagner le combat. Mon adversaire oubliant de se reformer, je bénéficierai du bonus du flanc un tour de plus.
Tour 4 des elfes noirs, où les choses commencent à se déciderL'hydre charge mon Sacro-Saint, bien décidée à le croquer, avec la damoiselle. Les cavaliers sang-froids se reforment pour faire face à mon fer.
Sur mon flanc droit, les lanciers tentent une charge contre le Sacro-Saint (combinée avec l'hydre) mais échouent et n'avancent que de quelques pas : erreur de mon adversaire, l'hydre suffisait et la charge ratée laisse ses lanciers à porté de mon fer. Le but de cette fin de bataille pour moi va donc être d'éviter son régiment de chevalier, beaucoup trop puissant à mon goût, et de détruire le reste de son armée.
Sur mon flanc gauche, les arbalétriers avancent.
Pas de magie, peu de tirs.
Cac, Sinople semble un peu fatigué (+1 attaque) mais parvient tout de même à tuer assez d'elfes pour gagner le combat (mon adversaire ayant un bonus fixe de : 1 rang + 1 bannière + 1 GB contre 1 du flanc pour moi). Le combat tient toujours donc, ce qui m'arrange bien. Non seulement ses exécuteurs sont paralysés, mais en plus Sinople réduit chaque tour leur nombre de façon significative. Tel un Spartiate dans les Thermopyles, je me prends à rêver d'une possible victoire dans ce combat.
L'hydre croque le Sacro-Saint, un cheval et une jambe de la damoiselle, résultat : 4 points de vie en moins et une fuite pas vraiment surprenante. Le monstre a visiblement trop mangé car il se montre assez balourd et ne parvient pas à rattraper le char. Pas même à impacter mes chevaliers à pied.
Tour 4 de Roland, où l'avantage se prendMon fer et mes pégases réalisent une charge combinée sur les lanciers elfes, afin de s'assurer la victoire et de pouvoir passer hors de la ligne de vue des sang-froids. Mes chevaliers à pied se reforment pour faire face à l'hydre (le fléau au premier tour de cac pourrait me permettre de lui arracher quelques pdv). Le Sacro-Saint se rallie. Les chevaliers du graal, dont l'un d'entre a succombé aux carreaux ennemis, chargent de dos les exécuteurs afin de soutenir Sinople et d'accélérer un peu le combat.
Pas de magie, peu de tirs.
Les corps-à-corps. Erreur de ma part : envoyer les chevaliers du graal était une fort mauvaise idée. Malgré leur endurance de 4 et la sauvegarde de la Dame à 5+, les deux chevaliers tombent sous les coups elfes noirs. Sinople est à nouveau on fire (+6 attaques) et provoque des pertes. En dépit de cela, je perds le combat de... 2 points. Sinople se retrouve à 1 pdv ! Il s'en est fallu de peu pour qu'il retourne hanter les forêts Bretonnienne.
De l'autre côté par contre les choses se passent mieux : les lanciers explosent et mon fer peut faire une charge irrésistible afin de passer hors de vu de la cavalerie adverse. Les pégases n'arrivent pas à réfréner, et poursuivent également.
Tour 5 des elfes noirs, où l'on voit la fin approcherLes cavaliers n'ayant aucune cible, se reforment. L'hydre charge les chevaliers à pied qui maintiennent leur position.
Pas de magie. Pas de tirs.
Cac, Sinople continue de tuer les exécuteurs, l'hydre met à terre plusieurs chevaliers à pied qui lui arrachent en contrepartie 1 pdv. Mais les chevaliers fuient et sont rattrapés. C'est donc l'heure des retrouvailles entre l'hydre et le Sacro-Saint, au grand désarroi de ce dernier.
Tour 5 de Roland, où la fin est encore un peu plus procheJe n'ai aucun moyen de mettre les chevaliers du royaume hors de la ligne de vue des sang-froids, ce sont donc les pégases qui vont se sacrifier pour préserver la vie de leur Roi : ils vont se dresser devant la cavalerie ennemie.
Pas de magie.
Tir, le trébuchet change de cible et décide de tenter de réduire en charpie les ombres cachées dans la tour. Le boulet s'élève dans les airs, la trajectoire est parfaite et il vient percuter la structure du bâtiment à hauteur des elfes ! Et pas de chance, seuls quelques gravas les atteignent (1 touche). Un elfe est tué, mais cela ne suffit pas à provoquer de test de panique.
Cac, Sinople termine l'unité d'exécuteurs avec la GB ! Gloire à lui
! Il se reforme pour menacer l'hydre. Le Sacro-Saint est mis à terre et dans un fracas de bois et de métal la structure se disloque. Il n'en reste désormais plus que des ruines, la statue à l'effigie de la Dame brisée sous les pattes du monstres. Voyant cela, la fureur du chevalier de Sinople est démultipliée. La bête ne le sait pas encore, mais elle vient de signer son arrêt de mort.
Tour 6 des elfes noirs, où la défaite leur apparait dans toute sa cruautéLes cavaliers chargent les pégases, faute de pouvoir faire autre chose.
L'hydre se reforme pour faire face à son futur bourreau.
Pas de magie, pas de tirs.
Cac, les pégases résistent !! ... mais prennent la fuite, sont rattrapés et massacrés.
Tour 6 de Roland, pour le Roi et le Dame !
Sinople charge l'hydre restante.
Le trébuchet expédie un second boulet qui suit à peu près la même trajectoire que le précédent. Même trajectoire, même résultat : rien de plus que des gravas qui tombent sur les elfes (1 touche...). Un mort, mais point de panique.
Cac, Sinople blesse l'hydre qui prend la fuite. Le chevalier la rattrape, lui coupe une patte. Puis deux. Du coup elle court moins vite. Il lui coupe alors une tête, puis deux. Puis encore les deux pattes. Puis trois têtes. Bref, le preux et vaillant chevalier est décrété homme du match après avoir occis sa seconde hydre.
Fin de la bataille, les cavaliers elfes prennent la fuite, comprenant que la victoire ne serait pas la leur aujourd'hui. La Bretonnie est préservée, l'honneur de la Dame sauf. Les morts furent glorieuses, le combat âpre, les vivants s'en vont fêter cela à la taverne.
Résultats approximatifs : il reste ~800 points EN sur la table, contre 1500 Breto.
PS : désolé s'il y a des fautes d'orthographe, je ferai une relecture plus tard et corrigerais le cas échéant. Mais après avoir écrit tout ça, besoin d'une pause
Edit : c'est bon, relecture réalisée et fautes corrigées