Le mot du MJ

Ouah, j'aime bien cette illustration !
Elle vient d'où, d'une BD ? D'un livre de vulgarisation historique ?

En tout cas, elle est sympa.

Je sais pas, je l'ai trouvée sur Google.

Sinon une autre bonne référence possible est la tapisserie de Bayeux :


En tout cas cela me servira de sources d'inspiration.

Sympa, cette illustration. En tout cas, c'est bien comme ça que je m'imaginais les croisés bretonniens...

Dangorn de Castagne a écrit:

En tout cas, Le Baron de Havras a été fort bien inspiré d'intituler son aventure "le Chant du Désert".

Bien vu.

Pour ce qui est du désert, il se formera autour de nous dès que nous nous mettrons à chanter, je suppose.

Le baron de Havras a écrit:

Tiens, pour les collèges de magie, je n'avais pas vérifié. Mais j'avais prévu de revoir un peu les infos côté impérial de toute façon (ne serait-ce que relire les histoires de la formation des chevaliers pantères et des clwns en armures cuivrées).

Effectivement, l'histoire des ordres de chevalerie impériaux est à prendre en compte. Les Chevaliers Panthères, ceux du Lion d'or, du Soleil Flamboyant et les Chevaliers Griffons n'existent pas encore (et j'en oublie sans doute).

Pour ma part, je conjecture avec audace que l'Empire de cette époque reculée ressemble beaucoup à la Bretonnie ; les nobles étant encore des dirigeants politiques et non des courtisans grotesques comme ils le sont aujourd'hui (tous !), je pense que les chevaliers tendent à suivre leur seigneur au combat, et pas à s'organiser en ordres.

Le baron de Havras a écrit:

(et pour les armes à poudre, ça coulait de source, pour moi)

Je sais. Mais je suis un être malveillant.

Le baron de Havras a écrit:

Néanmoins, on constate que le sieur Baudoin tient sa lance de manière archaïque

Il la tient de manière tellement archaïque qu'il la tient avec une main droite qui se trouve au bout de son bras gauche.

Baron Guilhem de La Tour a écrit:

Il la tient de manière tellement archaïque qu'il la tient avec une main droite qui se trouve au bout de son bras gauche.

Hein ?!? T'as une image à nous montrer qu'on se fende la poire avec toi ?


Sinon, noble et grand Baron de Havras, la Lance Impétueuse, ô grand maistre du forum et du RP (je ne lèche pas les bottes, c'est juste un petit rappel), peux tu nous dire où doit-on poster nos persos ?

Vu comment ce topic est parti en sucette, je propose d'en créer un spécialement pour éviter qu'on ait à chercher qui est qui, qui fait quoi, qui peut faire ci, qui peut faire ça, etc.

Bon, en même temps je demande, mais mon perso n'est pas vraiment entièrement figé là
'faut pas vendre mémé avant de l'avoir tuée ni pousser l'ours dans les orties quand même !

Guillebert a écrit:

Baron Guilhem de La Tour a écrit:

Il la tient de manière tellement archaïque qu'il la tient avec une main droite qui se trouve au bout de son bras gauche.

Hein ?!? T'as une image à nous montrer qu'on se fende la poire avec toi ?

Nan. Ouvre juste ton LA à la page neuf, et regarde bien la main de Baudoin. Le dessinateur a mis une main droite sur un bras gauche. Si tu n'es pas convaincu, prends toi-même la position de Baudoin, et regarde ta main : tu verras que la position du dessin est impossible ; on devrait normalement voir le dos de la main, et non les doigts.

Pour couronner le tout, la lance de Baudouin passe derrière sa tête, ce qui parachève le désastre anatomique. La conclusion qui s'impose est que Baudoin de Brionne était un mutant particulièrement souple. Ou que le dessinateur a raté quelques cours essentiels lors de sa formation.

Guillebert a écrit:

Sinon, noble et grand Baron de Havras, la Lance Impétueuse, ô grand maistre du forum et du RP (je ne lèche pas les bottes, c'est juste un petit rappel), peux tu nous dire où doit-on poster nos persos ?

Je plussoie (ça faisait longtemps que ça me démangeait).

Guillebert a écrit:

Vu comment ce topic est parti en sucette

Bof, pas tant que ça... On ne fait que parler de nos projets de persos et préciser le contexte historique du RP.

Citation :

Il la tient de manière tellement archaïque qu'il la tient avec une main droite qui se trouve au bout de son bras gauche.

malformation congénitale. De fait, personne n'a jamais été capable de reproduire la fameuse "botte de Baudouin".
Le pauvre est obligé de passer son bras derrière la tête pour pouvoir combattre directement avec sa deuxième main droite.

Pour les ordres de chevalerie de l'Empire, mes souvenirs étaient bons.

http://fr.games-workshop.com/warhammer/empire/peinture/chevaliers/galerie/panther.asp

http://fr.games-workshop.com/warhammer/empire/peinture/chevaliers/galerie/blazingsun.asp

http://fr.games-workshop.com/warhammer/empire/peinture/chevaliers/galerie/lion.asp

J'ai bien réfléchi et jouer un templier de la lumière éternelle me plait bien

http://fr.games-workshop.com/warhammer/empire/peinture/chevaliers/galerie/light.asp

Je me suis rappelé un truc intéressant (mais peut-être notre MJ le sait-il déjà) : le site de GW propose en téléchargement (gratuit, il suffit de s'inscrire) un supplément pour jouer les Arabiens à Warmaster. Ce supplément comporte une partie flouffe assez fournie, que je reproduis ici (tant pis pour le copyright, et puis après tout, c'est en libre téléchargement, hein ). Je crois qu'il s'agit de l'historique le plus détaillé qui soit encore complètement officiel.

On notera un point intéressant : les sorciers ont des difficultés à utiliser leur art en Arabie, à cause de l'éloignement des pôles d'où se déverse l'énergie magique. On apprend également qu'il reste pas mal d'elfes en Arabie. Le passage sur les génies en bouteille est assez sympa lui aussi. Sinon, ça confirme en gros ce qu'on pouvait imaginer.

Citation :

L’Arabie s’étend le long de la côte nord-ouest des Terres du Sud, entre les Montagnes Atalan et le Grand Océan. À l’est se trouve le Grand Désert qui sépare l’Arabie de la Terre des Morts. Bien que le climat de la région soit sec et chaud, les vents soufflant de l’ouest amènent leur lot de précipitations sous forme de nuages noirs venant se heurter aux sommets des Montagnes Atalan. Ces pluies alimentent maints ruisseaux qui, durant l’hiver tout au moins, se rassemblent en de larges rivières coulant vers l’ouest. Ainsi, dans ces contrées arides, les oueds ou rivières apportent l’eau indispensable aux villes et villages. On note aussi de nombreuses oasis dans les régions désertiques du sud.

Les arabiens sont de grands marins qui depuis des siècles pêchent dans les mers bordant leurs terres et s’en servent comme voie de commerce. Ils échangent des biens avec le Vieux Monde au nord et voyagent à l’ouest jusqu’en Ulthuan. Les hauts elfes ne permettent pas aux navires arabiens d’aller plus à l’ouest, mais leurs boutres mouillent fréquemment dans les ports extérieurs de Lothern. Pour leur part, les elfes maintiennent des comptoirs commerciaux dans les villes arabiennes de Copher et Lashiek depuis des temps immémoriaux. Les elfes et les arabiens ont toujours gardé contact, même lorsque les premiers abandonnèrent le Vieux Monde durant des siècles. Mais les Arabiens, non contents d’avoir le pied marin, sont aussi courageux et aventureux, et il n’est pas rare qu’ils délaissent la pêche pour la piraterie. Ce n’est d’ailleurs par un hasard si Lashiek a été surnommée dans le monde entier la Cité des Corsaires.

La portion la plus densément peuplée d’Arabie se trouve au nord de la Rivière du Serpent, cette dernière étant le plus grand cours d’eau de ces terres à ne jamais tarir. L’Arabie compte quatre grandes cités : Lashiek, Copher, Martek et Alhaka, aussi connue sous le nom d’Al-haikk (la Cité des Voleurs en arabien). Chacune d’elles est entourée de terres qui forment des principautés indépendantes dirigées par un sultan ou un calife. Au sud de la Rivière du Serpent, les terres sont moins fertiles et bien plus arides. On n’y trouve aucune grande cité et seuls des nomades ou des communautés mystiques recluses y vivent. À l’est des Montagnes Atalan, le Grand Désert s’étend sur des centaines de lieues en direction de la Terre des Morts. Les vallées de l’est abritent quelques rares oasis fournissant de l’eau aux tribus nomades qui vivent dans l’ombre des montagnes et escortent les caravanes à travers les cols dangereux.

L’Arabie se trouve loin des pôles et de la source des vents magiques qui se déversent sur le monde. C’est pourquoi, si la magie est commune dans le Vieux Monde, elle est bien plus rare en Arabie où les sorciers ont des difficultés à exercer leur art. En conséquence, la magie arabienne s’est développée différemment de celles des autres nations humaines. Les sorciers arabiens emploient leurs pouvoirs pour contrôler les esprits élémentaires du désert, les djinns, les effrits, les génies et autres. Ces entités sont vénérées par les gens superstitieux d’Arabie qui croient qu’elles doivent être apaisées par des offrandes telles que de la nourriture. Tous ces esprits sont des démons, mais leur éloignement de la source septentrionale de la magie est tel qu’ils doivent rester près d’artefacts magiques puissants pour conserver leur forme sur le plan matériel. Il leur arrive aussi de demeurer en des lieux où persiste une magie résiduelle, mais dans ce cas, leur pouvoir est très limité. Une bonne part de la magie arabienne consiste à créer et employer des prisons magiques comme des cages, des cristaux, ou des boîtes pour capturer les démons et les réduire en esclavage.

Les dirigeants arabiens lèvent leurs propres armées dans les grandes villes et au sein des tribus vivant dans les terres alentour. Les chefs de ces tribus sont appelés émirs, ou cheiks dans le cas des nomades du sud et de l’est. Ceux qui gouvernent les cités portent le titre de sultan, et celui d’Alhaka est reconnu comme le Grand Sultan, commandeur suprême de toute l’Arabie. Les sultans sont fiers de leurs troupes et en particulier de leur cavalerie, si bien qu’ils ne reculent devant aucune dépense pour l’équiper et l’entretenir. La croyance veut que les chevaux arabiens descendent des coursiers elfiques qui furent amenés dans la région il y a des siècles. Ce sont des créatures d’une grande valeur, rapides et pleines de grâce. L’élite de l’infanterie arabienne est également très bien équipée, avec des armures d’acier poli, des tulwars tranchants et des vêtements de soie fine. Ces gardes prétoriens accompagnent les sultans lorsqu’ils quittent leurs palais féeriques et leur loyauté sans faille est amplement récompensée, les richesses et le luxe s’ajoutant au prestige. Les soldats du rang sont équipés de manière plus simple avec des lances ou des arcs. En plus de ces soldats réguliers et des troupes de garnison, un sultan peut compter sur les forces irrégulières tirées des tribus du désert, à l’instar des méharistes des terres du sud et de l’est.

Lanciers : Les armées d’Arabie sont basées sur des régiments d’infanterie. En temps de paix, ces troupes restent en garnisons dans les cités et les villes d’où elles font respecter l’ordre sur toute l’Arabie. La majorité de ces combattants manient de longues lances et des boucliers, et combattent en rangs disciplinés. Certains régiments remplacent, par tradition, la lance par le cimeterre, ou arborent des uniformes propres à leur lieu d’origine.

Archers : Les arabiens ont foi en l’arc, et toutes les cités d’Arabie comptent des contingents d’archers. Bien que les armes à poudre leur soient connues, elles ne sont pas aussi courantes que dans l’Empire et les troupes ordinaires n’en sont que rarement équipées.

Gardes : Les gardes des souverains d’Arabie sont très bien équipés et leur loyauté est légendaire. Chaque sultan, calife, vizir ou sorcier finance sa propre garde. Le dévouement de ces hommes à leur maître est tel qu’ils se donneront la mort sans hésiter si celui-ci l’exige. Des contingents aussi fidèles se retrouvent dans les communautés du sud, à l’instar des Filles de la Fureur de Tariq, venues de la Terre des Assassins, ou de la Garde Silencieuse de la Montagne des Eunuques.

Chevaliers : Les chevaux sont particulièrement prisés en Arabie, aussi bien par les sultans de la côte que par les cheiks du désert, et les arabiens sont fiers, à juste titre, de leur cavalerie. De longues lances, de grands heaumes et des armures scintillantes sont les signes les plus distinctifs de leurs chevaliers.

Cavaliers du Désert : Les profondeurs des déserts abritent de féroces nomades, les meilleurs cavaliers de toute l’Arabie. Les cités côtières entretiennent aussi de la cavalerie légère pour patrouiller à leurs abords, mais tous s’accordent à dire que les cavaliers du désert sont les plus intrépides.

Méharistes : Le dromadaire est la bête de somme arabienne par excellence et il est fréquent de voir des caravanes entières de ces animaux émerger du désert pour vendre leurs biens sur les souks et bazars des villes de la côte : épices rares, étoffes et denrées des vallées orientales des Montagnes Atalan et des contrées au-delà. Seuls les féroces combattants des tribus du désert chevauchent ces montures au combat. Ces méharistes téméraires et sans pitié arpentent les sables changeants du désert grâce à un mystérieux sens de l’orientation. Ils sont guidés aussi bien par leur connaissance du milieu que par leurs montures, mais d’aucuns prétendent que c’est leur soif de sang qui les fait avancer !

Tapis Volants : Les sorciers d’Arabie ont l’art de lier des esprits des airs à des objets physiques, le plus célèbre étant sans doute le tapis volant. Ces tapis transportent deux, parfois trois, passagers armés d’arcs ou d’autres projectiles. On peut citer pêle-mêle des joyeusetés comme des pots remplis de scorpions, des jarres de fourmis rouges ou des essaims de frelons.

Éléphants : Les éléphants sont des créatures exotiques, même en Arabie, car ils sont originaires des savanes situées plus au sud, en marge des jungles. Les sultans aiment collectionner toutes sortes de monstres et de fauves et la compétition entre eux est acharnée pour savoir qui détiendra la plus grosse ménagerie d’éléphants. Ces animaux sont féroces est dangereux, surtout lorsqu’ils sont équipés d’une tour de bois harnachée à leur dos et remplie de combattants armés de piques et d’armes de jet.

Personnages : Le commandant d’une armée arabienne est le plus souvent un vizir, voire le Grand Vizir du Grand Sultan lui-même. Rares sont en effet les sultans à se risquer en personne sur le champ de bataille, même si l’histoire a retenu des exceptions comme le puissant Jaffar qui conduisit son armée jusqu’en Tilée et assiégea la cité de Tobaro. Sous les ordres du commandant suprême se trouvent de nobles émirs et des cheiks du désert. Au même rang, on compte les sorciers d’Arabie, qu’ils soient astrologues du sultan ou mystiques des déserts du sud. Ils peuvent monter sur des tapis volants magiques ou contraindre les djinns à les transporter d’un lieu à l’autre. Les chefs militaires vont parfois au combat à dos d’éléphant pour souligner leur rang.

Ah ouais, y a quelques trucs intéressants. deux trois noms de villes auxquels je ne pensais plus et, surtout, l'histoire des vents de magie qui pourra concerner certains joueurs.
Etrange par contre qu'ils parlent de l'attaque de Jaffar sur la Tilée et pas de son invasion de l'Estalie.

Pour vos persos, j'aimerais qu'on en discute par MP.
Vous me dites ce que vous aimeriez jouer et on règle les détails ensemble.

Bon, voilà, j'ai fini la fiche type (enfin, je crois...). Même si je ne l'ai pas relue pour le moment, vous voyez les informations qu'il faut.
Mais peut-être avez-vous d'autres idées de trucs indispensables à ajouter ?

A part, je trouve bon que certains fassent des duos et je peux leur conseiller, pour l'avoir fait, d'écrire des dialogues en commun pour permettre de donner un dynamisme au duo.
Tenez, je vous mets un exemple venant d'un autre RP.
Dans cette scène, mon personnage nommé Arius (oui, encore... mais j'ai baptisé le personnage de la poursuite du faux Astrabell comme ça en l'honneur de celui-ci ) et celui de mon camarade, nommé Gawdat, viennent d'arriver auprès d'un capitaine de navire, un dénommé Marcoff, pour recevoir leur mission.
Celui-ci, utilisant un vocabulaire très maritime avec des expressions du type "Mollusque sans arrêtes" pour parler de l'intendant de sa cité, semble pourtant leur cacher quelque chose...

Citation :

Gawdat avait posé de justes questions et le capitaine les avait éludées. Manifestement, de grands mystères devaient entourer cette nouvelle mission, mais la chose, loin de décontenancer le jeune Arius, le counduisit à penser qu'il y aurait là matière à amusement.
L'intendant qui les avait envoyés en mission auprès de Marcoff avait également, aux dires du capitaine, passé la consigne de ne rien leur révéler de précis avant que la mission ne soit vraiment lancée. Mais pourquoi attendre qu'ils soient coincés en mer ? Craignait-il qu'ils tentent de quitter le bateau une fois au courant ? Non, ce devait être autre chose... sans doute craignaient-ils que la vérité cachée derrière cette mission ne se repande dans la ville et y sème la panique. Toujours était-il qu'Arius et Gawdat se trouvaient aux pieds du mur et n'avaient d'autre choix que de se lancer à l'aveugle dans une aventure que le capitaine s'accordait lui-même à reconnaître comme une dure mission.
Sur ce dernier point, Arius émit un léger ricanement en entendant ce brave homme parler avec beaucoup d'assurance de "la plus dure aventure qu'ils aient connue". Bien qu'habitué aux voyages en mers hostiles, que savait-il de leur vie ? Avait-il eu à voir toute sa terre, son frère ou tous ses amis mourir sous ses yeux ? Avait-il eu à subir les affres d'un conflit au coeur d'un royaume en proie à la guerre civile ? Avait-il seulement eu à prendre la vie de quelqu'un qu'il appreciait pour des raisons qu'il jugeait lui-même contestables ?
Certes, l'expérience devait parler lorsqu'il évoquait cette terre hostile, mais Arius comme Gawdat avaient eu à observer assez de spectacles ecoeurants pour être blindés contre n'importe quoi, du moins était-ce le sentiment du jeune comte.
Il y avait beaucoup plus à craindre de l'impalpable que des ennemis de chair et d'os, et c'était certainement cela que le capitaine Marcoff avait en tête à cet instant lorsqu'il évoquait les terribles dangers auxquels ils feraient face. Toutefois, le seul esprit qu'Arius avait à redouter était le sien et nul autre. Il avait trop à faire avec lui-même pour pouvoir se soucier de quelque démon aquatique.
Laissant tous ces sujets sérieux aux oubliettes, le jeune combattant retourna vite à ses préoccupations métaphysiques. Un dauphin nageait-il plus vite qu'un kraken ? Les méduses étaient-elles des animaux, des végéteaux, ou une catégorie bien à part ? L'univers possédait encore assez de secrets pour permettre à un homme de se libérer un instant des réalités.

Bientôt, ils eurent à prendre congé du capitaine qui les laissa libre d'aller où leur plaisait avant le départ, prévu pour le lendemain. Point de déjeuner, donc. Tout cela était fort décevant, mais il fallait faire avec.
De retour sur le port, les deux guerriers partirent en direction de l'auberge la plus proche en vue de s'y procurer les ravitaillements nécessaires et un lieu où passer la nuit. En chemin, ils partagèrent leurs impressions.

"Ce Marculf fait bien des mystères, ne trouves-tu pas ?" demanda Arius à son compagnon d'armes.
- Tu as donc un peu écouté ?
- Vaguement... il faut reconnaître qu'il n'y avait pas grand chose d'autre à faire dans cette cabine. J'ai au moins assez écouté pour entendre que tu lui proposais notre aide pour les tâches ingrates et les manoeuvres.
- Une chance pour toi, il n'a rien entendu. A croire que tu arrives à faire parler ton estomac à ta guise.
- Et quelle est cette histoire de royaume aquatique ? Nous allons devoir aller sous l'eau ?
- C'est bien ce que je pensais. tu n'as rien écouté de ce qu'avait dit l'intendant non plus.
- Pourquoi l'aurais-je fait ? Tant que tu es là, il y a au moins une personne qui écoute. C'est amplement suffisant pour accepter les missions.
- Heureusement que tu ne manies pas ton épée comme tu raisonnes.
- Mais, je le fais...
- Touché... changeons de sujet. Merci de m'avoir laissé parler.
- C'était tout naturel, je l'avais promis.
- Comme quoi, il t'arrive d'être discipliné. Tu n'es pas encore un cas totalement désespéré.
Pour en revenir à la mission, elle consiste à rallier un royaume sous-marin, mais l'on n'en sait pas beaucoup plus. La situation est sur le point de dégénérer et il va falloir que nous fassions preuve de prudence mais aussi d'une bonne dose d'audace pour la mener à bien.
- Alors ça, j'en fais mon affaire !
- J'aurais peut-être dû dire au capitaine de t'enchaîner dans la calle. En tout cas, nous ne sommes pas les seuls à avoir répondu à l'appel. Tu as vu ces elfes ?
- Des elfes ? Tu veux dire des gens avec des oreilles pointues et des manières étranges ? Ah non ! Ne me dis pas qu'il y en a sur ce bateau !
- Du calme. Ce n'est pas le moment de nous faire une crise d'instabilité ! Ils pourront sûrement être utiles à leur façon.
- Et tu crois qu'ils sont aussi mandatés par l'intendant ?
- J'en doute, il nous avait clairement spécifié que nous étions les seuls qu'il avait trouvé et je le crois. Il n'aurait pas envoyé une autre équipe pour nous mettre des bâtons dans les roues. Il n'aurait rien à y gagner.
- Quand même, ne trouver que deux personnes pour quelque chose d'aussi important. Marculf avait raison... c'est un vrai mollusque sans arrête, alors.
-J'étais sûr que cela, au moins, tu l'avais entendu.

Les deux camarades rirent alors de bon coeur. L'auberge était à présent juste devant eux. ils pourraient certainement y acheter quelques vivres pour le voyage ou même y louer une chambre pour la nuit, si l'envie de passer une dernière nuit au sol les prenait, mais pour l'heure, ils devaient trouver un moyen d'occuper leur journée. En effet, c'était encore le matin et ils ne savaient comment meubler leur temps.
Partir le lendemain. etrange idée alors que tout semblait prêt pour le départ. Le capitaine attendait-il encore quelqu'un ?
Quoiqu'il en fut, les deux guerriers n'avaient de meilleure option que d'entrer dans l'auberge pour y passer les quinze ou vingt prochaines heures. En y pénétrant, Arius apercut l'écriteau sur lequel étaient inscrits les mots "A l'espadon dansant". Avec celà, il avait de quoi s'occuper l'esprit pour une bonne heure... restait à trouver autre chose pour les heures qui suivraient.

Vous comprenez donc que le message avait été posté par moi et que les répliques de mon ami étaient bien les siennes. Nous faisions ça en alternance, un coup dans ses messages, un coup dans les miens, ce qui faisait de notre équipe la plus originale de tous les joueurs de ce RP.

Le baron de Havras a écrit:

A part, je trouve bon que certains fassent des duos et je peux leur conseiller, pour l'avoir fait, d'écrire des dialogues en commun pour permettre de donner un dynamisme au duo.

Il faudra y réfléchir, en effet. Je suppose que ça demande un peu plus de boulot et une bonne coordination, mais ça vaut le coup d'essayer.

Autre chose, pourrait-on fixer, comme il en avait été question, des dates (plus ou moins définitives) pour le début et la fin du RP ? On éviterait ainsi les absences de joueurs qui tombent mal, les périodes creuses, etc. Il me semble que voir le bout du tunnel aiderait tout le monde, MJ compris. Il serait dommage que le premier RP du forum ne se terminât point pour de bêtes questions logistiques.

Ensuite, si ce n'est pas trop tôt pour le demander, d'où partiront les persos, et comment (je suppose que ce sera en bâteau, mais on a le choix entre Brionne et la Tilée) ?

Sur ce, je vais revoir ma fiche. Je me suis rendu compte que, le baron de Havras ayant sournoisement ajouté plein de trucs au modèle, celle que je lui ai envoyée est incomplète.

Le baron bis a écrit:

Autre chose, pourrait-on fixer, comme il en avait été question, des dates (plus ou moins définitives) pour le début et la fin du RP ? On éviterait ainsi les absences de joueurs qui tombent mal, les périodes creuses, etc. Il me semble que voir le bout du tunnel aiderait tout le monde, MJ compris. Il serait dommage que le premier RP du forum ne se terminât point pour de bêtes questions logistiques.

Non, pas de dates pour la fin d'une aventure. Le MJ décide de quand commence et termine son aventure.
Il ne faut pas croire qu'un jeu de rôle est une chose ultra-préparée. Pour le premier truc qu'on va faire dans cette section, ça va être 95% d'impro, alors je ne vois pas comment on pourrait fixer une date quelconque par avance.
Il y a beaucoup trop d'éléments imprévisibles (et tout MJ te le dira) pour que l'on puisse prévoir la tournure des événements. Un groupe particulièrement stupide ne fera pas long feu, tandis qu'un groupe de gens se triturant un peu trop les méninges voudra faire des choses auxquelles le MJ n'aurait jamais pensé, ce qui peut aboutir sur un nouveau scénario complet.
Il faut voir aussi qu'il est difficile de savoir où commence et où finit une aventure. Ca risque de se passer sur plusieurs discussions selon ce que font les joueurs et donc de s'arrêter pour certains alors que ça continuera pour d'autres.
Ceci étant dit, moi je commence toujours des trucs sans jamais les finir, quand ça dure sur des mois ou des années. C'est comme ça, j'adore lancer des projets.
Pour les problèmes de disponibilités, il faudra faire au cas par cas, en fonction de ce qu'étaient en train de faire le personnage et son groupe.
Je pense que la façon la plus saine de procéder serait de laisser le MJ changer provisoirement le PJ en PNJ avec comme règle d'or qu'un personnage ne doit pas mourir si son propriétaire n'est pas aux commandes (sauf si ce dernier vient faire un saut sur le forum pour dire "tu peux me faire crever dans ta partie").

Citation :

Ensuite, si ce n'est pas trop tôt pour le demander, d'où partiront les persos, et comment (je suppose que ce sera en bâteau, mais on a le choix entre Brionne et la Tilée) ?

Ca dépendra des persos. Je ne connais pas encore tous vos persos donc je n'ai pas encore pu décider de la position de départ de chacun, d'où la nécessité des MP.

Bon, il ne nous reste plus qu'à nous en remettre à la bienveillance des dieux pour que notre RP ne connaisse pas une triste fin (ou pire, pas de fin du tout ).

Le baron de Havras a écrit:

Je pense que la façon la plus saine de procéder serait de laisser le MJ changer provisoirement le PJ en PNJ avec comme règle d'or qu'un personnage ne doit pas mourir si son propriétaire n'est pas aux commandes (sauf si ce dernier vient faire un saut sur le forum pour dire "tu peux me faire crever dans ta partie").

Voilà qui me semble bel et bon. Et puis tu pourras en profiter pour mettre le PJ dans tout un tas de situations ridicules et dégradantes pour châtier le joueur de son absence.

"Seigneur Florimond, vous avez un postérieur, ma foi... fort accueillant."

Baron Guilhem de La Tour a écrit:

"Seigneur Florimond, vous avez un postérieur, ma foi... fort accueillant."

Tu t'réveilles et tu sens une coulée suintante qui descend le long d'ta cuisse...

Bon, j'ai enfin posté ma fiche.

Et je sens que je vais bien m'entendre avec le chevalier Cyrill. Suffit de comparer ces deux passages, extraits de nos fiches respectives.

Cyrill a écrit:

Mon nom ? Qu’en ferais-je croquant ? Mes aïeuls, glorieux ou infâmants, ont quelques couches de terre sur la figure ; la Dame ne les oublie point, et moi non plus, mais mon nom qu’en ferai-je ? Un passe-droit ? (...) Et toi ? De quel noble cuissage te prétexteras-tu ? Ou auras-tu la bonté de laisser tes aïeuls se reposer profondément dans leurs cryptes et de ne faire comme si ta lance était enfin ton seul bien ?

Le noble et preux baron Guilhem de La Tour a écrit:

Beren est né dans une famille riche et puissante, et a grandi au sein d'une cour hédoniste ; privilégié depuis l'enfance, sa vie s'est jusqu'ici résumée à suivre son bon plaisir. L'errance n'est pour lui qu'une nouvelle distraction. (...) Si l'on ajoute à cela qu'il tire une grande fierté de sa haute naissance, on comprendra qu'il puisse parfois devenir passablement exaspérant.

Je crois que ça promet.

Petit hobereau sans le sou, va.

PS : Et je me suis gourré ; c'est "vous avez un postérieur, ma foi... très hospitalier."

Bon, bah je pense qu'on va pouvoir commencer très bientôt. Les autres joueurs rejoindront au fur et à mesure. J'ai pas besoin que vous soyez tous au même endroit pour commencer.

Bon, par contre, pour des raisons de dynamisme et d'immersion (et comme il faut, pour la cohérence de l'ensemble, que nous utilisions tous le même temps), je propose que tous les messages soient écrits au présent.
Ca risque de ne pas être évident, en particulier pour le MJ, puisque le passé simple est plus indiqué pour la narration, mais c'est sûrement la meilleure chose à faire.

Le baron de Havras a écrit:

Bon, bah je pense qu'on va pouvoir commencer très bientôt. Les autres joueurs rejoindront au fur et à mesure. J'ai pas besoin que vous soyez tous au même endroit pour commencer.

Ouais, les traînards nous auront rejoints bien assez vite.

Le baron de Havras a écrit:

Bon, par contre, pour des raisons de dynamisme et d'immersion (et comme il faut, pour la cohérence de l'ensemble, que nous utilisions tous le même temps), je propose que tous les messages soient écrits au présent.
Ca risque de ne pas être évident, en particulier pour le MJ, puisque le passé simple est plus indiqué pour la narration, mais c'est sûrement la meilleure chose à faire.

Mouais... là, je suis de l'avis inverse. Le passé simple est le temps classique de la narration, et il est difficile de se plonger dans un texte écrit au présent et non au passé simple ; c'est tellement inhabituel que ça en rend la lecture pénible quand c'est sur tout un récit.

J'ai lu (à défaut d'y avoir participé) des RP où l'on utilisait le présent, et je dois dire que c'était assez peu convaincant. Comparons simplement...

« Beren se mit à gesticuler en tous sens et à brailler. Le MJ voulait leur imposer une narration au présent ? Saisissant le luth d'Eugène, il en porta un rude coup au MJ, qui le feinta ardoitement et riposta, vif comme l'éclair, en lui lançant en pleine figure une bouteille de Bordeleau 1537. Beren s'effondra. Le MJ s'adressa aux joueurs : "D'autres questions ?" »

« Beren se met à gesticuler en tous sens et à brailler. Le MJ veut leur imposer une narration au présent ? Saisissant le luth d'Eugène, il en porte un rude coup au MJ, qui le feinte ardoitement et riposte, vif comme l'éclair, en lui lançant en pleine figure une bouteille de Bordeleau 1537. Beren s'effondre. Le MJ s'adresse aux joueurs : "D'autres questions ?" »

Voilà. Je trouve le présent trop sec et pas assez fluide. C'est un avis personnel (et celui d'un joueur sans expérience), mais il me semble que les objectifs de dynamisme et d'immersion seraient mieux atteints en utilisant le passé simple. Et il serait agréable de pouvoir lire par la suite le RP comme un roman.

D'ailleurs, comme je pense que nous posterons pas mal de dialogues, le texte restera assez vivant, malgré le passé.

Bon, mais je me plierai bien sûr aux exigences du MJ, hein (et à la vox populi si elle le soutient).

J'ai composé une brève ode pour plussoyer les dires de mon bon seigneur Beren. Laissez-moi vous la chanter :

Sire Beren a bien raison
Le présent quelle drôle d'idée
Le passé est bien plus indiqué
Pour une belle narration !

Merci, merci. Je signerai les autographes plus tard.

Comme vous voudrez pour le temps... mais je ne veux pas voir d'horreurs dans les messages, parce que des "il ouvra la porte", j'en ai déjà vu pas mal. Hors ouvrer une porte demande plus de temps que de simplement l'ouvrir et n'a surtout rien à voir avec l'action, en général.

Je ne pense pas que ça te pose de problème à toi, mais faudrait pas que ça handicape certains autres.

A part ça, j'ai chopé pas mal de photos et de dessins qui devront me servir à représenter les lieux et les personnages. Nous somems sur un support informatique, alors autant en profiter pour être visuel (et ne soyez pas outrés si j'utilise sans vergogne des images de films).

Dangorn de Castagne a écrit:

J'ai composé une brève ode pour plussoyer les dires de mon bon seigneur Beren. Laissez-moi vous la chanter :

Sire Beren a bien raison
Le présent quelle drôle d'idée
Le passé est bien plus indiqué
Pour une belle narration !

Merci, merci. Je signerai les autographes plus tard.

Le premier sera pour moi, si tu veux bien.

Curieusement, je préfère cette ode à ta précédente chanson.

Le baron de Havras a écrit:

Comme vous voudrez pour le temps... mais je ne veux pas voir d'horreurs dans les messages, parce que des "il ouvra la porte", j'en ai déjà vu pas mal. Hors ouvrer une porte demande plus de temps que de simplement l'ouvrir et n'a surtout rien à voir avec l'action, en général.

Je ne pense pas que ça te pose de problème à toi, mais faudrait pas que ça handicape certains autres.

« Beren arrivit à l'auberge. Il descendu de sa monture avec grâce et pria sa bourse à la main. « Holà, tavernier ! » criu-t-il « A boire ! » On lui réponda avec mauvaise humeur : « On ne sert pas les chevaliers de La Tour, ici, c'est une maison convenable. » « Malepeste ! Meurs donc, maraud ! » hurlit Beren en sortissant son épée. Et paf, l'aubergiste est mourru. »

Le baron de Havras a écrit:

A part ça, j'ai chopé pas mal de photos et de dessins qui devront me servir à représenter les lieux et les personnages. Nous somems sur un support informatique, alors autant en profiter pour être visuel (et ne soyez pas outrés si j'utilise sans vergogne des images de films).

Voilà une excellente idée, ce me semble.

Baron Guilhem de La Tour a écrit:

« Beren arrivit à l'auberge. Il descendu de sa monture avec grâce et pria sa bourse à la main. « Holà, tavernier ! » criu-t-il « A boire ! » On lui réponda avec mauvaise humeur : « On ne sert pas les chevaliers de La Tour, ici, c'est une maison convenable. » « Malepeste ! Meurs donc, maraud ! » hurlit Beren en sortissant son épée. Et paf, l'aubergiste est mourru. »

Morbleu, Baron-bis, fais gaffe quand tu postes des trucs comme ça, j'ai failli mourir de rire devant mon ordi


Comme ce pauvre homme qui un jour inventa la blague la plus drôle du monde :

Voilà j'ai posté ma fiche, je vais jouer une Damoiselle du Graal. Celui qui se moquera de moi attention à lui je lui jette un maléfice

J'ai décidé de faire ce personnage pour apporter un soutient magique au groupe, et essayer de soigner et atténuer les sorts ennemis.

Diantre la donzelle !

Cela m'inspirera une galante chanson, à coup sûr !

Oh là là, j'ai l'impression qu'il nous a envoyé une sacrée gourgandine, notre corsicanien.
Quand je répondais dans mon MP qu'une femme était utile dans un groupe car elle pouvait toujours séduire un ennemi au lieu de le charger, je ne voulais pas dire qu'elle devait se faire une joie de coucher avec tous les PNJ pour débusquer les slaaneshi !

En tout cas, je sens qu'on va se marrer avec tous ces persos. j'attends avec impatience de voir les autres.
Par contre, je voulais commencer ce soir, mais j'ai finalement consacré ma soirée à autre chose et comme je me lèverai tôt demain (ça m'arrive... de temps à autres), je ne vais pas avoir le temps de le faire maintenant.

j'ai longtemps hésité, mais entre mon boulot, ma vie de famille, ce forum et celui de léonardo, j'ai peur de manquer de temps.
peut-être viendrai-je plus tard, mais pour l'instant, je serai + boulet qu'autre chose. donc, mon perso n'est pas dispo.
je suis cependant dans la lecture de vos posts, Breto avant tout.

ps: eudes pourrait amener un peu de fraicheur, si vous pouviez la contacter. c'est tonton qui parle.

Euh au début je pensais regarder mais j'ai vu la description de la demoiselle. Y a moyen d'être un pnj slanneshi

Si ça vous dérange pas de trainer un débutant dans le RP.

Dangorn de Castagne a écrit:

Comme ce pauvre homme qui un jour inventa la blague la plus drôle du monde

Ah oui, ça aussi c'est magnifique.

Je crois que j'ai une idée : on apprend cette blague en arabien et on la chante en chargeant, avec un accompagnement musical de ta part ; nul ne pourra résister aux croisés et la guerre sera vite remportée.

Le baron de Havras a écrit:

En tout cas, je sens qu'on va se marrer avec tous ces persos. j'attends avec impatience de voir les autres.

Effectivement. Normalement, je devrais assez vite m'accrocher avec le sire de Boisaurouge au sujet de l'importance qu'il faut accorder à la naissance et me faire changer en grenouille par Mélisende pour mes intentions déshonnêtes à son égard (je suis bien content d'avoir décrit Beren comme un sex-symbol et un dragueur dont la subtilité rendrait jaloux Franck Dubosc ).

Baron Guilhem de La Tour a écrit:

Le baron de Havras a écrit:

En tout cas, je sens qu'on va se marrer avec tous ces persos. j'attends avec impatience de voir les autres.

Effectivement. Normalement, je devrais assez vite m'accrocher avec le sire de Boisaurouge au sujet de l'importance qu'il faut accorder à la naissance et me faire changer en grenouille par Mélisende pour mes intentions déshonnêtes à son égard (je suis bien content d'avoir décrit Beren comme un sex-symbol et un dragueur dont la subtilité rendrait jaloux Franck Dubosc ).

Je suis impatient

J'ai juste voulu coller au mieux au fluff, car il est dit dans "Les Chevaliers du Graal" que les Damoiselles du Graal ne reculent jamais devant les plaisirs de la chair
Après, plaisir de la chair = luxure et comme une demoiselle est ce qui se rapporte le plus à un clergé, j'ai voulu montrer qu'elle prenait du bon temps mais sans tomber dans l'extrémisme slaaneshi

Ensuite faites attention car une Demoiselle du Graal n'est pas une Lady et elle n'apprécie guère se faire courtiser

Interdiction de violer le personnage d'un autre joueur. Et c'est valable dans les deux sens, hein !

argna a écrit:

Si ça vous dérange pas de trainer un débutant dans le RP.

Bien sûr ! Tout le monde est accepté !
Si l'envie de jouer te prend, tu n'as qu'à me mp pour me parler du perso que tu aimerais incarner.

Didier a écrit:

j'ai longtemps hésité, mais entre mon boulot, ma vie de famille, ce forum et celui de léonardo, j'ai peur de manquer de temps.
peut-être viendrai-je plus tard, mais pour l'instant, je serai + boulet qu'autre chose. donc, mon perso n'est pas dispo.

Si tu veux, tu peux jouer à part des autres pour le moment et commencer, par exemple, directement en Arabie, pour les rencontrer finalement plus tard (un perso comme celui que voudrait faire Guillebert commencerait par exemple directement en Estalie, au départ des bateaux, tandis que les autres sont encore en Bretonnie).
Enfin, c'est toi qui vois.