voila le rapport de bataille de ma première bataille online. 2000pts de bretos contre 2000 pts de sylvains menés par le seigneur zéphyrventdest Il fut rare de voir les sylvains sortir de leurs forêts. Néanmoins, ce jour là, une petite force d’elfes franchit les frontières Bretonniennes en remontant le fleuve de Brienne. Malgré l’entente cordiale qui régnait entre ces deux peuples, l’entrée en Bretonnie sans accords préalables et de surcroît par une force armée, fut interprétée comme une agression.
Très vite, les chevaliers de Quenelles s’organisèrent pour aller à la rencontre de l’envahisseur « aux oreilles pointues ». Alors que les chevaliers galopaient à vive allure, et que les gueux trimaient à les rattraper, un vieillard et son épouse surgirent d’un bosquet et manquèrent de peu de se faire piétiner par le Duc de Quenelles qui marchait en tête de l’armée.
-Halteee, cria le Duc, Qui êtes-vous malheureux ? Vous cherchez à mourir ?
Les deux paysans se mirent à genoux, l’homme entama :
-Mon bon Duc de Quenelles ! Nous sommes sauvés ! Que la Dame vous bénisse !
Le vieux lui conta alors comment il avait vu des elfes sortir de la Loren et que malgré leurs apparences courtoises, il avait tout de suite compris qu’il ne faisait pas bon à rester dans sa chaumière. Ainsi donc il s’enfuit avec sa femme laissant leur demeure en l’état. Il indiqua au Duc l’emplacement de son habitation. Celui-ci ne perdit point un instant, éperonna son destrier et suivit les directives du vieillard.
Quelques temps plus tard, les bretonniens arrivèrent face à leurs ennemis qui avait établi un bivouac près de la chaumière du vieux et de la vieille. Les deux armées se positionnèrent avant de donner l’assaut. En attendant les gueux qui avaient été distancés, les preux chevaliers mirent pied à terre afin d’entamer une prière pour s’attirer la grâce de la Dame.
Les forces sylvestres et bretonniennes attendaient un signal afin d’engager le combat. C’est alors qu’un enchanteur elfique utilisa ses pouvoirs afin de faire sortir des entrailles de la terre une petite forêt. Ceci était une démonstration de la magie elfique qui inquiéta plus d’un gueux dans les rangs bretonniens, laissant indifférents tous les chevaliers qui étaient encore perdus dans leurs prières. Un vent de magie souffla sur tout le champ de bataille provoquant un immense nuage de poussière. Ce cumulus était tellement opaque et dense que les deux armées ne s’aperçurent plus l’espace d’un instant. Il se dissipa … le silence… la bataille commença !
La suite dès jeudi soir lorsque tous les tours seront finis... il y aura des zooms... et les listes