Le Royaume de Bretonnie
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Le Royaume de Bretonnie
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 En l'hnneur de Bastiglia di Toga

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Edwin
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Edwin


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Localisation : Avec ma toile et mes fusains entraint de faire un superbe nue...
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MessageSujet: En l'hnneur de Bastiglia di Toga   En l'hnneur de Bastiglia di Toga EmptyDim 17 Aoû 2008 - 12:16

Cette histoire est en l'honneur de la figurine de Bastiglia di Toga, pour lui rendre hommage et en éspérant ne pas t'offenser, mon frère
Al'ile de beauté
Edwin
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Edwin
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MessageSujet: je sais, c plutot court   En l'hnneur de Bastiglia di Toga EmptyDim 17 Aoû 2008 - 12:17

Les bruits des convives se tarirent quand le grand troubadour Edwin s’avança au centre de la pièce. Il était vêtu d’une cape de voyage noir, ses cheveux mi-longs encadraient un visage que les années d’errance n’avaient rendu que plus beau. Une barbe de plusieurs jours lui mangeait le visage. Il s’o sa cithare et commença a jouer la mélodie indispensable a son récit. Enfin, de sa voix suave, il entama son histoire:

« L’homme de cette baronnie était un jeune et fougueux chevalier. L’épisode que je vais vous narrer et son accession au titre d’ami des elfes qui lui valut de sur croient un magnifique coursier elfique. Cela se passa dans la rigueur de l’hiver, le paysage semblait mort sous le manteau de neige. Pourtant, à des endroits, l’herbe grasse pointait sous le linceul qui emprisonnait la campagne. Le printemps arrivait, entamant son combat pour le retour des beaux jour et le début des tournois. Le jeune baron se réchauffait, prés de sa douce, assis sur des fauteuils de soie rouge. Il s’était abîmait dans la contemplation des flammes qui s’élancer joyeusement dans l’âtre. La femme était d’une beauté sans pareille. Sa silhouette gracile se dessinait sur la robe blanche qu’elle portait. Selon la légende, cette jeune dame faisait preuve d’une vivacité d’esprit peu commune, elle conseiller son époux et organisait les réception Les bruits qui me sont parvenu font également écho de sa rage dans les débats. Sa beauté désarçonnée ses interlocuteurs et son esprit les broyaient impitoyablement telle une charge de cavalerie.
Brisant cette scène idyllique, un chevalier pénétra dans la pièce tenant son heaume sous le bras. Il se frappa la poitrine avec son poing dans un salut de plus martial et pris la parole:
-Messire, Madame, un étranger demande à vous voir.
-Un étranger dit-tu?
-Oui Seigneur, et il dit également que la survit de sa race dépend de votre décision.
-Comment cela, sa race, intervint la jeune femme
-Eh bien madame, il vaut mieux que vous constatiez par vous-même.
-Très bien, fais le entrer, ordonna le baron
Le chevalier sortit et un homme entra. Il était vêtu d’une cape azur et portait une armure de belle facture. Il rabaissa le capuchon de sa cape et le baron vit son visage. Des nattes de guerres coiffaient ses longs cheveux blonds. Des yeux acier fixait le couple. Dans ces yeux, le baron voyait une sagesse qui provenait des temps anciens. Un nez aquilin surmontait une bouche qui semblait inexistante. Le natif d’Uthuan prit la parole:
-Baron, je me fais en ces heures le messager de Tyrion, sa voix était empreinte d’un ton Autun et méprisant qui caractérisé ceux de sa race décadente. Il vous demande de l’aide car nous sommes à la prise avec une immense armée de parjures. On dit que Morathi elle-même est sur son pégase ailée. Vous devez faire mandez vos chevaliers et partir sur l’heure. De plus…
-Écoutait moi, chien d’elfe, Je vais combattre, pour la gloire et la bretonnie mais je ne tolèrerai que vous me donnez des ordres. Perdait votre ton, dans deux heures, nous partirons, vous chevaucherai a ma droite, dans la charge. Votre peuple est faible et je ne vois pas pourquoi je devrai combattre pour vous sauvez mais je sais que si vous êtes défait, les corsaires noirs descendrons sur nos terres et pilleront sans pitié. Alors oui je vous aiderez mais ne vous faites aucune illusions, vous combattrez derrière moi pour ne pas que je me prenne un dague dans le cœur.
-Alors ne perdait pas de temps en palabre inutile et réunissait vos chevaliers. Lança l’elfe d’un ton glacial
6-Ma mie, vous resterez ici et assurerai la régence en mon absence.
-Non je veux…
-Silence, vous resterez ici, je ne veux pas vous perdre, coupa le baron
-Il en sera fait selon votre bon plaisir, Seigneur, cracha l’épouse.

Deux heures plus tard, la cour était emplie de chevalier qui était sur leur lourd chevaux. Le ciel était percé de hampe. Des les couleur des chevalier donnait le spectacle d’une éclosion de fleur au printemps Plus de deux mille chevaliers avait répondu a l’appel de leur seigneur. Tous était prés pourfendre les ennemis. Le baron se mit a cheval et le lança au trot. L’elfe chevauchait à sa droite, et les chevaliers les suivirent. Un chant, reprit par des milliers de voix s’éleva dans le ciel d’hivers. Les elfes allaient abreuver la terre de leur sang.
Après quelques heures de chevauchait, la rumeur des combat se fit entendre. Enfin, l’ost arriva devant le champ de bataille. Plus d’une dizaine de milliers d’elfes s’affrontaient, les flèches volaient, les carreaux transperçaient les armures les plus épaisses. Les balistes arrosait les rangs de soldats qui s’écroulaient, fauchait le trait mortel. Le ciel était parcouru de dragon, de manticore. La magie illuminait le ciel. Les lanciers se battait dans la mêlait affrontant homme comme bêtes, des char écrasait tous sur leur passage. Des hydres gigantesques enflammaient des rangs entiers de hauts elfes. Se redressant sur son cheval, le baron sortit des rangs. Il regarda ses troupes. Enfin il dit, d’une voie forte et impatiente:
Chevaliers, en ce jour, vous allez combattre, pour vos femmes, pour la terre, pour l’honneur. Les elfes combatte les engeances de la trahison, allons nous leur laissez toute la gloire. NON! Nous allons charger les rangs impies, nous les écraseront sous nos sabots. Nous ne nous arrêterons que lorsqu’ils seront morts ou quand nous serons mort. Il y a de cela quatre ans, je vous est fais chevalier. Vous avez prêter serment, HONOREZ LE!!! Pour la dame!
Le cri fut repris par les deux mille gorges. Le bruit des sabots martelant le sol empli l’air comme le tonnerre. Le baron était a la pointe de la charge, suivit par l’elfes et les deux milles. Le choc manqua de désarçonnait le baron, les elfes noirs n’avait pas eu le temps de reformer leur rangs. Ils tombèrent par milliers. Quand notre baron décapita un maître des bêtes, l’hydre qu’il contrôlait libérais de toutes emprise se retourna contre ses anciens maître carbonisant des dizaines de lanciers. Ce fut un jour de sang, car aucun prisonnier ne fut fait. Au coucher du soleil, la victoire était assuré et les elfes avait fuis. Les corbeaux dévorais les yeux des morts et achevait les blessés. Il semblait que Morathi avait disparue depuis un bon moment. Mais le prit de la victoires était lourds, cinq cent femmes dormirait dans une couche froide. A la fin de la bataille. Le baron sera l’elfes dans ses bras, l’appellant son frères et le remerciant pour la gloire de cette victoire. L’elfe invita l’homme à le suivre pour rencontrer Tyrion, cette requête surprit les elfes présents mais aucun ne se harda à faire un commentaire. Le baron suivit son ami jusqu’a un pavillon blanc au dessus duquel flottait des oriflammes. Le baron pénétra à l’intérieur. Une dizaine d’elfes était assis en cercle. Le jeune hommes se tourna vers celui qui portais les vêtement les plus riches et s’adressa a lui en ces termes:
-Noble Tyrion, je suis honorai de vous rencontrer dit l’homme d’une voix qui se voulait solennel.
L’elfe éclata d’un rire sonore et musical, vite rejoins par les autres.
-Je ne suis pas tirions mais Teclis, mon frère, lui est derrière toi.
Le baron se retourna et vit que le visage de son ami était éclairé d’un large sourire. Le jeune homme se mit a genou et ajouta
-Je suis désolé de vous avoir confondus avec votre frère noble Tyrion.
-Allons tutoie moi et ce n’est pas grave
-Bien noble Tyrion
-Et laisse tomber les titre pompeux mon ami. Ton cheval est mort me semble t’il.
-C’est vrai, mon ami, mais au château, j’en ai plus d’un.
-Alors accepte le mien, il n’y a pas de meilleur cheval que Malhandir. Mais garde sa livrée d’or et d’argent, car en ce jour je te nomme ami des elfes. Ces couleurs indiquerons au elfes de ne pas te transperçais de leur flèche.
-C’est un cadeau très précieux et je ne peux l’accepter.
-Je t’en prie, quand tu mourras, Malhandir me reviendra.
Eh bien merci, mon ami
-Ne m’oublie pas, protège ta femme car elle Est-ce que tu a de plus précieux. Va, rejoins la. Aime la pour le temps de ta courte vie. Aime la car c’est ta plus belle victoire, comble la, car son corps est un pays fascinant. Et surtout, protège la, car le monde est mauvais pour la colombe qu’elle est. Sa pureté pourrait être corrompus comme l’on était nos frères.
-Je garderai tes paroles à l’esprit.

Quelques jours plus tard, le baron était de retour. Plus jamais, il ne fut défait, car son destrier le portais. Sa postérité fut assurée et sa femme lui donna plus de bonheur qu’il n’en faut à un homme. On raconte qu’une fois par décennie un étranger enveloppait dans une cape azur venait s’entretenir avec le baron. Quand le baron mourut son visage avait gardé sa jeunesse. Certains virent de loin une silhouette sur une colline puis elle s’enfonça dans les bois. On raconte également que le cheval du baron disparut et que, tous les dix ans, On trouve sur la tombe du baron deux roses. L’une blanche, l’autre jaune...»

La voie du troubadour mourut dans l’ovation qui suivit son récit. Sa remarquable prestation avait cueilli des larmes ah bien des dames. Edwin alla manger à la droite du maître des lieux. Il mangea en prêtant une oreille distraite aux félicitations du baron. A coté du troubadour, à sa gauche se tenait la fille du baron. Il senti une main se poser sur sa cuisse et remonter lentement. Le grand troubadour se leva et quitta la table, pour se rendre aux latrines. En chemin, il fut rejoins par la fille et profita largement de ses charmes. Il n’était plus question revenir a la table du baron après avoir copuler avec sa fille, aussi, il monta sur son cheval corbeau et s’enfuit dans la nuit. Ah décidément, il ne changerai jamais, sacrifier un lit pour les belles jambes d’une femme. Encore une nuit qu’il passerait dehors, pour cette fois…
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Edwin
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MessageSujet: re   En l'hnneur de Bastiglia di Toga EmptyDim 17 Aoû 2008 - 12:18

Cher baron
Je sais, c'est plutot rapide, mais soyez indulgent, et j'attends tes insultes ou tes félicitations
en attendant
Edwin
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Otterburn
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MessageSujet: Re: En l'hnneur de Bastiglia di Toga   En l'hnneur de Bastiglia di Toga EmptyDim 17 Aoû 2008 - 13:33

Oulà !!! grand merci !!! Very Happy
Bon c'est peut être un peu trop, pour un simple Bretonnien, mais en tout cas je te remercie, j'ai beaucoup apprécié !!!
Vraiment merci !!!
Je posterais mon BG très bientot, mais par contre Tyrion ne sera pas présent.
En faite Historiquement le destrier de Tyrion est l'un des destriers elfiqus le plus pur, descendant direct du destrier d'Aenaryon (pour te dire le monstre). Voilà pourquoi Malhaudir posséde le profil d'un monstre.
Hélas je ne peux pas faire chevaucher mon personnage par une créature qui est aussi forte. Mais en tout cas j'ai adoré ton texte !! Et après tout les troubadours oréolent toujours bien plus les récits. C'est la légende.
Donc ton texte sera celui de la légende Razz

Encore Merci noble compagnon cheers

ps=> tu devrais essayer de trouver la figouze de Tristan le troubadour, un vieux perso spé
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Edwin
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Edwin


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MessageSujet: merci   En l'hnneur de Bastiglia di Toga EmptyDim 17 Aoû 2008 - 13:45

Content que cela t'est plu
C'est vrai que le destrier de Tyrion est un monstre mais bon imagine ton seigneur qui se déplace de 10pas. J'adore.
J'espère que ta GB seras aussi belle que ton général. Je sent venir une légende, un nouvelle légende. Désormais la légende devient l'Histoire
Amicalement
Edwin
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